Le Petit Et Grand Commerce Du Au Bonheur Des Dames

La dynastie des Lhomme : -Mme Aurélie : employée du « Bonheur », première (chef de rayon) au rayon confections, femme de M Lhomme - M Lhomme : employé du « Bonheur », premier caissier, mari de Mme Aurélie -Lhomme Albert : employé du « Bonheur », caissier puis renvoyé, fils des Lhomme Les Baudu : -M. Baudu : oncle de Denise, tient une boutique de tissus -Colomban : employé des Baudu -Denise : normande, 20 ans, employée du « Bonheur », vendeuse au rayon confections puis renvoyée puis reprise

Au Bonheur Des Dames, Commentaire de Texte Chapitre XIII, Emile Zola INTRODUCTION : Cet extrait appartient au chapitre XIII du roman d’Émile Zola, « Au Bonheur des Dames ». Zola est considéré comme le représentant du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Dans le roman « Au Bonheur des Dames » Zola entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins, l’une des innovations du Second Empire à travers une histoire d’amour

La dynastie des Lhomme : -Mme Aurélie : employée du « Bonheur », première (chef de rayon) au rayon confections, femme de M Lhomme - M Lhomme : employé du « Bonheur », premier caissier, mari de Mme Aurélie -Lhomme Albert : employé du « Bonheur », caissier puis renvoyé, fils des Lhomme Les Baudu : -M. Baudu : oncle de Denise, tient une boutique de tissus -Colomban : employé des Baudu -Denise : normande, 20 ans, employée du « Bonheur », vendeuse au rayon confections puis renvoyée puis reprise

formulaire Petite (?!!?!) liste des personnages La dynastie des Lhomme : -Mme Aurélie : employée du « Bonheur », première (chef de rayon) au rayon confections, femme de M Lhomme - M Lhomme : employé du « Bonheur », premier caissier, mari de Mme Aurélie -Lhomme Albert : employé du « Bonheur », caissier puis renvoyé, fils des Lhomme Les Baudu : -M. Baudu : oncle de Denise, tient une boutique de tissus -Colomban : employé des Baudu -Denise : normande, 20 ans, employée du « Bonheur », vendeuse

bien, le roman nous entraîne dans le monde des grands magasins, l'une des innovations du Second Empire. Le roman est marqué par trois moments importants qui sont les trois grandes ventes. L'intrigue professionnelle et l'intrigue amoureuse sont constamment enlacées. La modernité, au coeur de l'intrigue, a évolué et a su se faire accepter à travers l'opinion d'une héroïne attachante. L'histoire se passe entre les années 1864 et 1868, à l'époque des grands magasins comme « La Samaritaine » et « Le Bon

Analyse français : Au Bonheur des Dames-Zola : 1) A) Emile Zola est un écrivain et journaliste français. Il est né le 2 avril 1840 à Paris et est mort à l’âge de 62 ans le 29 septembre en 1902. Son père meurt quand il avait 7 ans donc il fut élevé par sa mère et sa grand-mère. A l’âge de 18 ans, après avoir abandonné le lycée, il s’installe à Paris. Il travaille dans la publicité et il devient par la suite journaliste. A l’âge de 30 ans, il devient journaliste parlementaire. Deux ans plus

c'est un roman intitulé Au Bonheur Des Dames écrit par Émile Zola en 1882.Émile Zola est connu dans le monde entier comme grand écrivain journaliste français du 19e siècle. Aussi très célèbre pour sa présence dans l’affaire Dreyfus avec une lettre « j’accuse » que vous avez sûrement étudié l’an passé en histoire. L'histoire se déroule au milieu du 19eme siècle où Paris se modernise et devient de plus en plus riche . C'est l'histoire d'une jeune fille d'une vingtaine d'années appelée Denise qui

l’étude « Au Bonheur des dames », Emile ZOLA. L’invasion de notre quotidien par des objets manufacturés daté seulement de la seconde moitié du XIXème siècle. La révolution industrielle et l’apparition de moyens de production pour les fabriquer en série ont bouleversé les circuits de diffusion et les modes de consommation individuels. Les conditions d’apparition d’une économie marchande sont alors réunies. C’est dans ces circonstances que naissent, sous le Second Empire, les grands magasins parisiens

 Au bonheur des dames Extrait : «... en voilà un magasin ! » Denise était venue à pied de la gare Saint-Lazare, où un train de Cherbourg l'avait débarquée avec ses deux frères, après une nuit passée sur la dure banquette d'un wagon de troisième classe. Elle tenait par la main Pépé, et Jean la suivait, tous les trois brisés du voyage, effarés et perdus au milieu du vaste Paris, le nez levé sur les maisons, demandant à chaque carrefour la rue de la Michodière, dans laquelle leur oncle Baudu demeurait

chapitres, logiquement construits : c’est-à-dire offrant par leur succession même une idée des phases du livre. Chaque chapitre, chaque masse doit être comme une force distincte qui pousse au dénouement. Voir ainsi un sujet par quelques grands tableaux, quelques grands chapitres (12 ou 15) ; au lieu de trop multiplier les scènes, en choisir un nombre restreint et les étudier à fond et avec étendue (comme dans Madeleine Férat). Au lieu de l’analyse courante de Balzac, établir douze, quinze puissantes