Le Petit Soldat

Ils sont 300.000 sur les champs de bataille du monde. 300.000 enfants et jeunes adolescents, arme au poing, dans l’horreur et les massacres, petits soldats de chair dans les guerres des adultes. A l’époque où la plupart des enfants de leur âge ont, ou ne devraient avoir, pour seul combat que celui des études. Ils combattent, de manière volontaire ou forcée, dans les forces armées gouvernementales ou les groupes d’opposition d’une trentaine de pays, en toute légalité. Ils sont utilisés

appartient ce tableau ? 1917 Pendant la 1GM, ici en 1917, pendant la guerre de position sujet Quel est le sujet du tableau ? De quoi parle-t-il ? Le titre peut vous aider. Soldats en train de jouer aux cartes. Destinataire A qui ce tableau est destiné ? Rien dimensions Quelles sont les dimensions du tableau ? petit, grand ? 129x193cm : immense tableau Support et technique Quel est le support du tableau (toile, mur, bois…) ; Quelle technique est employée ? (peinture à l’huile, encre…)

venue de la droite (PS) La tradition Suisse qu’un soldat doive garder son fusil a la maison a été remis en cause Ca fait depuis 300 ans que la relation entre les soldats et leur fusil militaire existe. Au début du XVIIIe siècle les armées françaises de Louis XIV menacent la Suisse et les Bernois pour répliquer arment leur peuple. Pour se marier il fallait également détenir un fusil. « La Constitution, en 1874, rend l’équipement du soldat gratuit. Après la Première Guerre mondiale, les grandes

on reconnaît Captain America à sa tenue, son bouclier aux couleurs du drapeau américain. Son visage est masqué; il porte sur le front la lettre A et de chaque côté de la tête de petites ailes comme le dieu Hermès, messager des dieux, sur le torse une étoile renvoie à la bannière étoilée. Il tient à bout de bras un soldat russe reconnaissable à la couleur de son uniforme et à la faucille et au marteau (symbole de l’URSS) visibles sur l’épaulette de sa veste, qui semble visiblement terrifiée (expression

d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. Les expressions

affectueux donné aux soldats français de la guerre de 1914-1918. Ils sont appelés ainsi car ils ne pouvaient pas se raser. Tranchée : fossé creusé dans le sol destiné à abriter les combattants. Génocide : terme inventé en 1943 qui correspond à l’extermination volontaire et systématique de tout un peuple. Nationalisme : croire en la supériorité de sa nation par rapport aux autres. Cela implique aussi souvent la xénophobie (le rejet de l’étranger). Minorité nationale : petit peuple dominé par

d'employer l'armée contre les Parisiens, couplé avec l'exposition des soldats aux idéaux révolutionnaires contribuent à mettre à mal l'autorité du Roi et celle des officiers. L'attitude de l'armée durant l'année 1789 est surtout marquée par une réticence des soldats à porter leurs armes contre les révolutionnaires. Face à cela, un certain nombre d'officiers et de membres de l'administration royale sont bel et bien persuadés que les soldats n'obéiront pas si on leur ordonne de s'en prendre à la foule. Le

trains, ils ont enlevé les banquettes pour faire de la place. Mais beaucoup de soldats sont entassés dans des wagons à bestiaux. Tout le monde est excité. On chante, on s’embrasse, on dirait une fête. Les wagons sont couverts de banderoles qui disent « A Berlin ! » Pourquoi faut-il aller si loin pour gagner la guerre? Je ne sais pas pourquoi il y a la guerre. Le train de Paul est parti à cinq heures. Quand les soldats sont montés dans le train, on leur a donné des fleurs qu’ils piquaient dans leurs

30 000 soldats, français et allemands, tués. 2° Quelle fut l’existence des combattants français et allemands sur ce front ? Les conditions de vie dans les tranchées étaient très rudes. Tout d’abord, en hiver il faisait très froid, et dans les abris il n’y avait ni chauffage ni électricité, certains soldats ont perdu leurs doigts de pieds et ont du se faire amputer à cause du froid. De plus, la nourriture était très mauvaise et en quantité très limitée. Pour se laver, les soldats devaient

cachés. Le jet de la mitrailleuse a repassé plusieurs fois. On entendait un sifflement perçant au milieu de chaque détonation, les coups secs et violents des balles dans la terre, et aussi des claquements sourds et mous suivis de geignements, d’un petit cri et, soudain, d’un gros ronflement de dormeur qui s’est élevé puis a graduellement baissé. Bertrand et moi, frôlés par la grêle horizontale des balles qui, à quelques centimètres au-dessus de nous, traçaient un réseau de mort et écorchaient parfois