Le Piano Verlaine

ville, les passants, la rue et la guinguette, Le bal, la loge, son velours Où, du coude, s’appuie en haussant la lorgnette Quelque dame en mondains atours ; Des visages d’enfants, des visages de femmes En leur jeunesse qui sourit, La main au piano faisant vibrer les gammes ; Sur un meuble un bouquet fleuri… Je revois tout cela d’après tes toiles claires, Ô Renoir, maître dont l’art neuf Soulevait tour à tour du rire et des colères En mil huit cent quatre-vingt-neuf ! Mais pour vous

Lamartine, la force de Laforgue, la musique de Verlaine, la couleur de Rimbaud. S’inspirant de ses poètes préférés, Wang Duqing s’attache à faire de sa propre création poétique une fusion d’émotion, de force, de musique et de couleur. tel-00713100, version 1 - 29 Jun 2012 Bien qu’on lui reproche la naïveté sans la profondeur dans les envolées qu’il veut du style Laforgue, la brièveté sans la richesse et l’harmonie dans le poème qui imite Verlaine, l’occidentalisme sans la sincérité dans un poème

noir de la première moitié du siècle dernier est abondante et variée. Joséphine Baker, par exemple, dans les lithographies du Tumulte noir de Paul Colin, moderne et primitive à la fois, ou Dooley Wilson dans un flash-back de Casablanca, jouant du piano et buvant du champagne avec Ingrid Bergman et Humphrey Bogart à La Belle Aurore, bistrot plus que parisien, aux porte-verres en forme de tour Eiffel [1] Dooley Wilson incarne Sam, presque toujours assis à... [1] . Peut-être aussi des photographies

SÉQUENCE Sommaire 6 La poésie, du romantisme au surréalisme Chapitre 1 Pour débuter votre séquence Chapitre 2 Romantisme et fonctions de la poésie Chapitre 3 Le mouvement parnassien Chapitre 4 Le symbolisme : Paul Verlaine Chapitre 5 Avant-garde et surréalisme : révolutions poétiques Chapitre 6 Pour clore votre séquence ............................................................................. 118 ...........................................

arrivé un malheur 12. Après la libération, on a élu VincentAuriol président de la république 13. Un singulier enfant que mon frère Jacques ( A. Daudet) 14. Quel brave homme que ce géant ! 15. La femme, quel problème ! 16. Haute, la tour, et sèche ( P. Verlaine) 17. Il achète des livres 18. Ce livre me plaît 19. Il lit bien 20. Il lit Exercice 13Transformez les informations suivantes en titre de journaux. (= phrases nominales) Exemple : le ministre va diminuer les impôts. ( Diminution

gênais pas. Ce que je n’aime pas, c’est le côté technique, mécanique ; pas plus que ce micro que vous nous avez foutu sous le nez ! FERRÉ : Quand nous chantons, que nous sommes seuls devant les projecteurs, avec juste le costume, la guitare ou le piano, nous savons ce qu’est la solitude d’un chanteur. On s’en arrange avec ce qu’on appelle " du métier", mais ce n’est pas toujours facile. Ce que je me demande, c’est si, pour Brel, la solitude au théâtre est la même qu’au tour de chant ? BREL :

Complainte de la Lune Ah ! La belle pleine lune, grosse comme une fortune ! La retraite sonne au loin, un passant, monsieur l'adjoint ; un clavecin joue en face, un chat traverse la place : la province qui s'endort ! Plaquant un dernier accord, le piano clôt sa fenêtre. Quelle heure peut-il bien être ? Calme lune, quel exil ! Faut-il dire : ainsi soit-il ? Lune, ô dilettante lune, à tous les climats commune, tu vis hier le Missouri, et les remparts de Paris, les fiords bleus de la Norvège

voix affaiblie » et laissent s’installer un certain prosaïsme). [Laforgue dans Les Complaintes et Corbière dans Les Amours jaunes décrivent aussi l’exil du poète dans le monde moderne et chantent sur des lyres brisées ou des pianos désaccordés « À une demoiselle, pour Piano et Chant ».]  Une beauté autre Fruit d’une distillation, « le beau est toujours bizarre » chez Baudelaire. S’éloignant là encore de la conception classique de la beauté, dont on reconnaît les formes harmonieuses établies

choses, Francis Ponge (1942) Lectures cursives (au choix) :Le Spleen de Paris (Baudelaire, Une saison en Enfer d’Arthur Rimbaud (1871), Jadis et Naguère de Paul Verlaine (1884), Alcools , d’Apollinaire (1913), Connaissance de l’Est de Paul Claudel (1900), Le Parti pris des choses de Francis Ponge (1942), La Première gorgée de

ruisselante les enfants en deuil regardèrent les merveilleuses images. Une porte claqua, — et sur la place du hameau, l'enfant tourna ses bras, compris des girouettes et des coqs des clochers de partout, sous l'éclatante giboulée. Madame *** établit un piano dans les Alpes. La i56 Illuminations messe et les premières communions se célébrèrent aux cent mille autels de la cathédrale. Les caravanes partirent. Et le Splendide-Hôtel fut bâti dans le chaos de glaces et de nuit du pôle. Depuis lors