Le Pib Est Il Un Indicateur Fiable

Logistique et gestion de la chaîne d’approvisionnement : Analyse des indicateurs de rendement clés Secteur de la fabrication, Canada et États-Unis Octobre 2006 Cette publication est également offerte par voie électronique en version HTML à l’adresse web suivante : http://strategis.ic.gc.ca/epic/internet/indsib-logi.nsf/fr/h_pj00220f.html Autorisation de reproduction À moins d’indication contraire, l’information contenue dans cette publication peut être reproduite, en tout ou en partie et

peut induire des fluctuations boursières durables. Ce rendement exigé s’écrit comme la somme du taux d’intérêt sans risque et de la prime de risque. ❖ Les ratios PER Les PER (price earning ratio) ou ratio prix/bénéfice par action sont les indicateurs les plus regardés lorsque l’on cherche à savoir si les marchés boursiers sont correctement évalués. En pratique, deux types de PER peuvent être calculés selon le type de bénéfices retenus dans le calcul : -          des PER historiques qui utilisent

est un indicateur fiable du fonctionnement du marché intérieur. Il semble qu’à long terme, la dispersion des prix se réduise constamment, tendance renforcée par l’entrée en vigueur de l’euro et la comparabilité des prix permise par Internet. En 2002, la Commission européenne a réalisé une étude sur les effets économiques du marché intérieur « Le Marché intérieur. Dix années sans frontière » qui, par le biais d’une modélisation économétrique, parvient aux résultats suivants : en 2002, le PIB de l’UE

exportations + ses importations divisible par le PIB (et souvent aussi à diviser par 2 car 2 flux)). Taux d’ouverture : 4.6% en 1870  7.9% 1913  19.9% en 2005 (c’est-à-dire 20% du PIB qui fait l’objet d’échange (importations ou exportations)). Les grands pays qui ont un grand PIB ont un taux d’ouverture plus faible (EU et Japon). Et plus le pays est petit, plus son taux d’ouverture va être élevé (Belgique). le taux d’ouverture = (X+M)/PIB Récapitulatif : points communs entre

période : 1870/1980 Au 19e siècle, les dépenses publiques étaient peu importantes et se limitaient à quelques secteurs. Elles représentaient à la fin du siècle à peine 10% du PIB, contre 53% actuellement L’Etat circonscrit du 19e siècle. Les dépenses de l’Etat évoluent faiblement : entre 8 et 12% du PIB. En 1872, le remboursement de la dette représentait 41,5% du budget. Les quelques interventions de l’Etat se limitaient au financement de quelques infrastructures (chemins de fer) et

compagnies aériennes Lan Chile et Sky Airline qui relie Santiago aux principales autres villes du Chili. Lan Chile fait partie du groupe One World est la meilleure compagnie du Chili et relie la Chili aux autres pays. Le réseau routier et aérien est très fiable et le transport en commun (bus) est régulièrement utilisé. Elle dispose de plusieurs classes de confort avec des lits en fonction des trajets. Il n’existe qu’une seule ligne ferroviaire publique reliant les différentes villes dont la compagnie est

dépenses en « capital public infra-structurel » (dans les secteurs des transports, des communications, dépenses publiques en matière de Recherche et Développement, éventuellement aussi, en matière de sécurité publique intérieure, si des données fiables sont disponibles). Nous avons donc étudié ces catégories de dépenses afin de mettre en évidence les effets sur la croissance de ces investissements dans les pays étudiés, à l'aide des « outils d'analyse » que fournissent les travaux récents de

très volontariste et structurelle. Le principal problème de la France est celui de l’hyper-inflation, qui monte à 60-70% par an. En investissant pour la reconstruction, de plus, l’Etat crée un déficit énorme : en 1945, ce déficit touche les 43% du PIB (contre 3% seulement aujourd’hui). Pierre Mendès-France propose une politique radicale : ponctions sur la liquidité, politique de rigueur, blocage des prix et des salaires, blocage des comptes en banque. Mais de Gaulle préfère la proposition de Pleven

LA DECROISSANCE SOMMAIRE Introduction I. Les limites de la croissance 1. Les PIB, un bon indicateur de bien-être? 2. Les risques de la croissance 3. La surconsommation et ses conséquences II. Le concept de la décroissance 1. La naissance de la notion 2. La décroissance aujourd'hui 3. Qu'est ce que la décroissance ? III. La décroissance est-elle possible? 1. Les critiques de la décroissance 2. La décroissance : vers un mouvement ? 3. La décroissance est-elle réalisable ? Conclusion

permettre au responsable d'analyser les situations, d'anticiper les évolutions, de réagir dans des délais brefs. Le tableau de bord de gestion s'enrichit pour devenir le tableau de bord stratégique. Ce dernier associe à la fois des indicateurs financiers et des indicateurs qualitatifs non financiers pour donner au fonctionnement de l'entreprise et à son évolution au fil du temps, une vision globale et transversale permettant de voir si réellement les décisions stratégiques prises produisent l’effet