Le Pib Est Il Un Indicateur Parfait

car l'allocation par le marché supposent la réalisation de cinq conditions pour être optimale au sens de Pareto: Les cinq conditions introuvables de l'optimum de Pareto: 1) rationalité des agents 2) agents qui ont des comportements de prévision parfaite ou interviennent sur des marchés à terme et contingents pour tous les biens 3) agents preneur de prix 4) rendements non croissants (i.e. Rendements constants ou décroissants) 5) indépendance des fonctions d'utilité et des fonctions de production

maximiser leur utilité: •consommation pour les ménages, profits pour les entreprises; bien être collectifs et/ou intérêt personnels pour les administrations. –les agents agissent indépendamment les uns des autres dans un univers d’information parfaite (complète et pertinente). Ces postulats de rationalité ne laissent aucune place à la politique économique dans la mesure où des agents rationnels intègrent immédiatement l’information. De plus, LUCAS (1976) montre l’impossibilité d’utiliser

faut peut-être mesurer autrement le développement économique : le PIB est un mauvais indicateur. Pour les pays en développement, il n’est pas pertinent de regarder le PIB. A. Sen avait déjà proposé l’IDH en réponse au PIB, mais cette réponse est très ancienne. Il faut un nouvel indicateur unique. La France propose un indicateur d’épargne nette ajustée à l’issue de la commission Sen-Stiglitz : il n’est pas assez mure pour remplacer le PIB mais il est sur la bonne voie pour vraiment corresponde à la situation

travers les relations existantes entre les grands agrégats éco  outil essentiel d’analyse des pratiques politiques (qui dit étudier les liens/ les causes à effets). Agrégats : grandeur mathématique/synthétique qui mesure un phénomène économique (ex : PIB qui mesure la richesse). On considère donc d’ensemble les liens qu’il peut y avoir entre les agrégats. Pour prédire l’impact de certaines actions éco (ex : choc pétrolier 1990 qui n’était pas volontaire). Une prédiction n’est pas obligatoirement réelle

économique - 11 - 6 I. Définition : - 11 - 8 II. La Mesure de la croissance économique : - 12 -10 III. Les limites du PIB : - 14 - 11 Section II : Les nouveaux indicateurs de mesure de la croissance : - 16 - 13 I. Les indicateurs du PNUD  et l'indice de sécurité sociale: - 17 - 15 II. Le BIP 40, l' ISP et les Indicateurs territoriaux : - 19 - 17 III. Jugement entre les indicateurs : - 21 - 17 Chapitre II : Les théories de la croissance et ses déterminants 23 17 Section I : Les théories de la croissance

Chapitre 2 –Les Mesure de la Monnaie en Circulation I. Agrégats monétaires 1) Définition et fonction des agrégats monétaires Agrégats monétaires sont des indicateurs statistiques qui regroupent dans des ensembles homogènes les moyens de paiement détenus par les agents sur le territoire national. On désigne ainsi la somme de la monnaie en circulation et des encours de certaines exigibilités d'institutions financières. Ces agrégats vont du plus restreint au plus large : De M1 (agrégat ne comprenant

la déterminat° d’1 prix de marché * Le prix constitue la variable d’ajustement de l’O & de la D * Il rend compatibles les décis° d’offrir et de demander formulées par les multiples agents éco Le prix, parce qu’il & notamment 1 indicateur de rareté, influence les décis° des agents éco : Qui font des prévis°, suite à 1 analyse coût/avantages/risques, pr décider de consommer, d’épargner, d’investir. Chapitre 3 : Fonctions et qualités de la monnaie. Les fonctions de la monnaie

* MESURER * PIB : somme des valeurs ajoutées des différents secteurs de production résidants y compris si la société appartient à des étrangers. PIB= VA +TVA + droits de douanes- subventions reçues. PIB donne des informations en valeur. Soit utilisé brut ou divisé en nombre d’habitant. Il est aussi utilisé en comparaison, d’une année à l’autre pour définir le taux de croissance. Avant 1976 , les services non-marchands n’étaient pas comptabilisé dans le PIB. On essaie d’évaluer

périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en terme réels » (F. Perroux). La croissance est donc appréhendée comme un phénomène quantitatif, et l’indicateur de dimension généralement retenu est le Produit Intérieur Brut, dont on calcule la croissance au cours d’une période déterminée en volume (à prix constants) ou en valeur (à prix courants). C’est le taux de croissance en volume qui est le plus pertinent. En effet, l’augmentation du PIB en valeur est la résultante

de concurrence pure et parfait ? La concurrence pure et parfaite est un modèle théorique idéale du marché qui repose sur les conditions suivantes : * L’atomicité de l’offre et de la demande (beaucoup de vendeur et de demandeur). DIFFERENT marché concentré (Oligopole). * Homogénéité du produit échangé : Les marques. * L’information parfaite * Libre entrée et libre sortie du marché différentes barrières à l’entrée et à la sortie des marchés * Parfaite mobilité des facteurs de