Le Pib Est Un Indicateur Imparfait

seuil critique du secteur TIC à partir duquel on constate l'apparition d'effets dynamiques et significatifs sur le reste des économies. A titre d'exemple aux Etats-Unis le secteur des TIC dépasse les 8% du PIB alors qu'en France il est à l'ordre de 5%. Il pourrait se situer autour de 6.5% du PIB marocain pour l'année 2006. VI.2. L'effet déflateur  Le second effet concerne l'impact de la baisse des prix propres aux TIC en général, et des prix des ordinateurs en particulier, sur le reste de l'économie

actifs immatériels. Par ailleurs, recherche et innovation se confondent souvent. Les dépôts de brevets sont rares dans les services. L’innovation recouvre l’application dans l’entreprise de méthodes venues d’ailleurs mais nouvelles pour elle. Quels indicateurs seraient pertinents pour les prestations intellectuelles ? Toutes les études et témoignages d’entreprises s’accordent à dire que les difficultés d’accès au financement constituent un obstacle majeur pour innover. Frédéric Brunet indique que ce colloque

nombre d’habitants La loi de Wagner se formule : Lorsque le revenu par habitant augmente, l’élasticité des dépenses publiques par rapport au revenu national est supérieure à 1, donc les dépenses publiques augmentent plus vite que le PIB en volume. La portée de cette loi : Wagner ne fait que décrire une tendance qui se développe devant ses yeux en Allemagne. On ne peut que la qualifier de loi économique, car elle manque de fondement théorique. Sur le plan empirique, depuis 20

dans une année. - Production au sens économique : création de biens et de services nouveaux. *Valeur ajoutée = production (CA du bien une fois fini) – consommation intermédiaires (valeur des biens détruits lors de la production) *PIB = somme des valeurs ajoutés -> indicateur de la croissance Facteurs de production : - Facteur travail : travailleurs  Facteur variable : s’adapte en fonction de la quantité de travail souhaitée - Facteur capital : immobilisations : stocks (capital variable) et biens d’équipement

population). […] Pour mesurer la croissance économique, on retient, comme indicateur de la production, le Produit intérieur brut. La croissance correspond donc au taux de croissance du PIB [c'est-à-dire au taux de variation du PIB]. [...] Mais une difficulté apparaît car cette hausse du PIB peut être seulement le résultat d'une augmentation des prix, les quantités produites restant les mêmes entre [deux années]. Ainsi, la croissance du PIB d'une année sur l'autre provient d'un effet quantité mais aussi d'un

commerce inter-branche sont en grande partie expliqués par les théories traditionnelles (avantages comparatifs), tandis que la partie intra-branche l’est par les théories modernes (concurrence imparfaite). Ceci permet de réconcilier deux paradigmes a priori incompatibles (avantage comparatif et concurrence imparfaite) (Helpman et Krugman, 1985), mais soulève le problème de la coexistence des deux types d’explication pour le flux majoritaire. Supposons que le flux majoritaire (ici, les exportations)

Conso interm * 1conso productive, elle représente la valeur des b et S transformée ou entièrement consommer au cours du processus de prod. A partir de prod et de la conso interm on arrive à la notion de la VA (=richesse crée par l’entp). « le PIB est la somme des VA des unités instit et non pas les diff prod totales ». * Conso finale * Elle a pour objectif la satisfaction directe des besoins humains, elle peut être individuelle comme la conso alimentaire, individualisable cad le bénéficiaire

recherche. Courbes de certains indicateurs sont tracés à partir de donnés publiés par l’OCDE en 1997 pour la période 1981-1996. Les pays sont comparés par leur : Dépenses en R&D Part du personnel de recherche dans la population active Intensité en recherche (dépense de la R&D en % du PIB) Part du gouvernement dans le financement de la R&D On peut constater que les pays avec le plus grand effort d’investissement dans R&D par rapport du PIB sont Suède, Japon, Corée, USA

Une affaire de cycle Le produit intérieur brut (PIB) est l’indicateur le plus important de la performance globale d’une économie. Le PIB rend compte de la valeur de toute la production de biens et services réalisée sur le territoire au cours d’une année. La comptabilité nationale présente deux versions du PIB : un PIB en dollars courants (PIB nominal ou en valeur) et un PIB en dollars constants (PIB réel ou en volume). La différence entre les deux PIB représente la hausse des prix des produits de l’année

Les recettes essaient d'équilibrer les dépenses. A- Les comparaisons internationales de prélèvement obligatoire taux de prélèvement obligatoire. France pour l'année 2010 de 42,5% du PIB. Trois catégories de pays : Pays ayant de taux de prélèvement obligatoire élevé : supérieur à 40% du PIB. états scandinaves, la Belgique la France, le Luxembourg, les Pays bas et l'Italie. Pays à taux moyens : 30 et 40 %, l'Allemagne le royaume uni, l'Espagne, la Suisse, l'Irlande et le Portugal