Le Pib Est Un Indicateur Imparfait

. . . . . 1.1.2 Pourquoi la macroéconomie ? . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Trois grands objectifs des politiques macroéconomiques 1.2 La croissance ou l’augmentation de la production agrégée . . . 1.2.1 PIB, valeur ajoutée et revenu . . . . . . . . . . . . . . . 1.2.2 PIB nominal et PIB réel . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.3 La comptabilité nationale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Le chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.4.1 Le taux de chômage

microéconométriques d’évaluation des politiques ont évolué et de nouvelles indications sont désormais disponibles (voir, par exemple, OCDE, 2006a). Ensuite, l’OCDE a construit plusieurs indicateurs des politiques et des institutions qui sont comparables aussi bien d’un pays à l’autre que dans le temps. Ces indicateurs ont été utilisés dans un large éventail d’études macroéconométriques pour analyser les effets sur le marché du travail des politiques et des institutions. Si les principales conclusions

privilégiés en macroéconomie ces dernières années : l’analyse du chômage et des inégalités, de la croissance et des fluctuations, de la hausse des prix, de la globalisation et de la polarisation de l'activité. II.1 Le chômage et les inégalités Un indicateur de santé important pour l’économie est le taux de chômage. On le mesure comme la proportion de chômeurs au sein de la population active, c’est-à-dire de la population en âge de travail et désireuse de travailler : Taux de chômage (en %) = Nb de

ce groupe est dès sa création fondamentalement hétérogène que ce soit d'un point de vue politique (bloc soviétique / bloc occidental) ou de leurs niveaux de développement. Depuis les années 1970, l'éclatement de ce bloc est encore plus net. Les indicateurs de développement confirment l'hétérogénéité du tiers-monde. L'éclatement du tiers-monde est amplifié du fait de stratégies de développement différentes. On peut distinguer trois types de pays : les NPI (Brésil, Mexique, Corée du Sud..), les produits

autour des points I, II, III, IV et VI. Le point I fait une recension des écrits sur l’aide internationale tout en établissant le cadre théorique du travail. Le point II analyse le rapport entre l’Aide Internationale et l’évolution de quelques indicateurs économiques en Haïti. Le troisième point étudie les Organisation Non Gouvernementales (ONG) évoluant en Haïti. La « présentation » de l’Unité de Gestion de Projets / Bureau de Développement Institutionnel (UGP/BDI) fait l’objet du point IV et

B. Les financements de l’innovation. Les activités d'innovation ne sont pas financées selon les mêmes modalités que les autres formes d'investissement. Par financement est affecté par deux particularités : l'incertitude et l'information imparfaite. Le lien entre financements et risques liés à l'incertitude. En cas d'échec, l'investisseur perd toute sa mise et en cas de succès de la situation dépend des modalités contractuelles de l'investissement. Si c'est un emprunt bancaire, rémunérations

de l’économie qui connaît la plus forte croissance mondiale en termes de production. Il représente les 2/3 de l’activité mondiale, le 1/3 de l’emploi et 20% du commerce international. La contribution de ce secteur au Produit intérieur brut (PIB) marocain a atteint plus de 55%[1] en 2006, soit plus que la contribution moyenne au niveau mondial (50%) selon les données du rapport de la Banque Mondiale[2]. Compte tenu de cette importance, le but de cette recherche consiste à mesurer le

| | |II – la formation des prix en concurrence pure et parfaite | | |III - La formation des prix en concurrence imparfaite | | | | | |Chapitre 5 : L’évolution

augmentation du taux des nouveaux crédits et/ou une diminution des crédits offerts. De plus, les crédits bancaires ne sont pas parfaitement substituables aux émissions de titres pour financer les projets d’investissement. Cette substituabilité imparfaite résulte des imperfections constatées sur le marché du crédit. En effet, les emprunteurs disposent d’une meilleure information que les prêteurs sur les caractéristiques de leurs projets d’investissement et sur leurs situations financières (asymétrie

(en millions de F CFA) ........................ 23 Tableau 5: Structure des recettes budgétaires totales (en millions de F CFA) ........................ 25 Tableau 6: Contribution sectorielle au PIB marchand (en million en %) ................................ 31 Tableau 7: Contribution sectorielle du PIB marchand (%) ...................................................... 32 Tableau 8: Niger : Degré d’ouverture ...................................................................................... 32