Le Pib Est Un Indicateur Imparfait

Investor) Credit rating par Standard & Poor’s 321,13 400,12 45,25 988 36,52 371 8,72 1027 4,84 408 Service de la dette (en % des exportations) 32,08 Taux des bons américains sans risque 5,38 à 10 ans Dette faciale (en % du PIB) 43,02 dollar 68,3 Emission en : yen 3,4 (en pourcentage des émissions) euro 24,32 798 33,24 394 1032 6,11 409 798 38,12 394 1032 76,5 409 1032 1032 1,7 19,8 409 409 Endettement Banques annuel détenu (en

sont basés sur le fait qu’entre 1960 et 2002, le PIB par tête du Maroc s’est accrue en moyenne de 1.77% et les PIB par tête en 2002 en US$ constant sont : Tunisie : 2122, Botswana : 3372, Corée du Sud : 11936, Malaisie : 3883, Maroc : 1234 et Etats Unis : 34789. Source WDI 2004. Banque Mondiale. 1 croissance du PIB global et par tête que la Tunisie, le PIB du Maroc aurait été en 2002 de 56 milliards de dollars au lieu de 37 milliards et le PIB par tête aurait été de 2064 dollars au lieu de 1234

mesurer cette croissance sur base du PIB. En Belgique le PIB s’élève à 334 milliards €. Pour comparer deux pays on se sert du PIB. PIB = C + I + G + (X-M) où G = dépense publique Pour mesurer l’intervention de l’Etat dans l’économie on regarde la part des dépenses publiques (G) dans le PIB. En Belgique les dépenses publiques s’élèvent à 162 milliards € soit 50% du PIB. →→ unité → dépense publique PIB Grâce à ce pourcentage on peut

Questions « L’essentiel à retenir » 1 Section 2 : Les formes de la monnai e Ch 1 apitre tion de l’évalua Les limites Section 2 : n est faite L’évaluatio » «par excès n est faite L’évaluatio t» «par défau Le PIB ou PNB se Le PIB ou PNB À comptabili la la totalité de production tions R E T E N I R Exemples Exemples à la consacrées Dépenses par exemple dépollution stiques Activités dome oles Activités bénév s non déclarées Activités

comparatifs et de la théorie des avantages absolus ? Tous les pays tels que les EU, la Chine, la France et l’Afrique renvoient en économie à un échange avec un niveau de développement et d’économie différent. Pays développés PIB/tête > 10 000S Pays en voie de développement PIB/tête 365S Se spécialiser là où on est le moins inefficace La théorie des avantages comparatifs ne vaut que pour les pays qui ont un niveau différent. Echanges en Afrique et l’Europe peuvent illustrer des situations

les valeurs publiées soient entachées d’une relative incertitude d’autant qu’il est difficile de quantifier certaines données (économie souterraine ou informelle), rendant moins aisée l’évaluation précise de certains agrégats économiques, comme le PIB. La consommation, l’épargne et l’investissement Le revenu d’un agent économique a deux affectations : la consommation et l’épargne : R = C + S La consommation consiste en l’acquisition de biens et/ou services utilisés pour la satisfaction de

Nous avons bénéficié, comme beaucoup, d’une conjoncture internationale favorable et en avons profité, mais pas mieux que nos concurrents, loin s’en faut. Le chemin à parcourir reste long : notre croissance demeure beaucoup trop faible, et nos indicateurs de développement humain insuffisants. Les méta-contraintes Pour passer à un palier de croissance supérieur, celui à même d’assurer à la prochaine génération un niveau de vie meilleur (comparable à celui des Malais par exemple), nous devons nous

secteur a crû les dernières années de manière plus forte que tous les autres. Cette évolution s’est traduite notamment par une croissance régulière de l’emploi, avec une moyenne de près de 3 % par an, et une augmentation de leur contribution au PIB, de 4 à 4,6 %. Près d’un travailleur salarié sur dix, aujourd’hui en Belgique, est actif dans une association (hors enseignement). »2 Dans cette note, je définirai et préciserai tout d’abord le champ abordé par l’économie générale. J’aborderai ensuite

d’objectifs, cela suppose au préalable une connaissance de l’environnement économique et une mesure des variables que l’on décide d’utiliser mais aussi une connaissance des instruments sur lesquels on souhaite agir pour atteindre les objectifs. A. INDICATEURS ET VARIABLES Les différentes variables macroéconomiques prises en compte dans la politique économique correspondent d’une part à des concepts théoriques impliqués dans des interactions, d’autre part à des valeurs qui peuvent être mesurées ou

Centrafrique et le Niger ont des taux inférieurs à 10% en 2007. Dans les zones économiques de l’UEMOA et de la CEMAC qui regroupent des pays de développement, le taux de bancarisation est très faible. A travers une comparaison internationale des indicateurs de bancarisation, nous pouvons prendre acte qu’il existe un fossé de bancarisation entre les pays de ces deux zones économique et les pays développés. Les comparaisons faites sur des statistiques collectées entre 2004 et 2007 ont confirmé la hiérarchisation