Le Plaisir Selon Aristote

objet vital, c'est la traduction d'un manque physiologique par exemple le corps à besoin d'eau, ou vers un objet considéré comme nécessaire. Il est essentiel à la survie et son manque s'exprime sous la forme d'une carence. Pour certaines personnes, selon leur métier ou leur état de santé , un objet qui n'apparait pas comme vital peut le devenir. Par exemple, l'outil pour un artisan ou un médicament pour une personne malade. Qu'ils soient acquis ou naturels, les besoins peuvent être satisfaits par un

Aristote ; philosophie, science, religion. Socrate est né en 470 av. J.C. et son décès fut en 339 avant notre ère. Platon lui est né en 426 et est décédé en 348. Platon est l’élève de Socrate. Le problème de Socrate c’est qu’il se demande s’il faut obéir ou désobéir à la loi. Lorsqu’il a pris sa décision de désobéir, il décéda. Aristote, surnommé Stagirite, fondateur de la secte des péripatéticiens, né à Stagire en Macédoine, née à l'an 384 avant Jésus Christ et décédé en l’an 322 av. J.C. Il eut

de vue philosophique alors que les théoriciens du 1è° siècle le définissent en dramaturges, d'un point de vue pratique. Aristote définit et distingue tout d'abord trois genres théâtraux qui sont la comédie, la tragédie et l'épopée dans son deuxième chapitre. La tragédie ainsi que l'épopée se distinguent de la comédie par la mise en scène de personnages nobles. Aristote se consacre majoritairement à définir et expliquer la tragédie qu'il qualifie dans le sixième chapitre de La Poétique de "Représentation

en intensité – de l’ensemble de nos désirs. Telle est du moins la définition que Kant donne du bonheur. D’emblée, en effet, au mot « bonheur » est plus ou moins distinctement attaché une idée de perfection, de plénitude, qui le distingue du simple plaisir pris à ceci ou à cela. Cette définition amène à Kant affirmer que le bonheur est « un idéal de l’imagination ». Autant un « idéal de la raison » est un idéal susceptible d’être réalisé, puisqu’en principe justifié ou fondé rationnellement : on se

domaine changeant des sens et des opinions subjectives 1. L’art vise le plaisir des sens 2. L’art sans règle : une critique négative de l’inspiration 3. L’art donne lieu à des jugements subjectifs B. L’art comme illusion nous éloignant de la réalité 1. Réalité sensible et réalité intelligible 2. Un double éloignement II. LA RÉHABILITATION DE L’ART A. L’art mobilise la raison 1. L’art plaît à l’esprit : un plaisir désintéressé 2. L’art a des techniques et des règles spécifiques 3.

§116 Dans la Généalogie de la morale , Nietzsche cherche à mettre en évidence l’origine de la morale , de la conscience morale. L’homme est un animal qui prend plaisir à la souffrance, à faire souffrir et qui a dû se retrouver dans des conditions telles qu’il ne pouvait plus que se faire souffrir lui-même. Pour Nietzsche, il faut supposer qu’à un moment donné les instincts dominateurs ont cessé de s’exercer

cette version, tels que Spinoza, Aristote ou Épicure. Pour d'autres comme Nietzche ou Kant, le bonheur est un idéal inaccessible et virtuel et que le but de la vie ne peut être d'atteindre un idéal iréel. Il est donc important de savoir définir ce qu'est la notion de bonheur avant de partir dans une recherche qui, à défaut d'être renseignée, serait sans doute vaine. Si on peut faire du bonheur le but de la vie, il faut savoir également le distinguer de la joie, du plaisir, du contentement ou de la béatitude

L’ART RÉPOND-T-IL A UN BESOIN ? Depuis les temps préhistoriques les hommes font preuve d’une activité artistique qui peut être envisagée selon deux acceptions. Que l’art soit considéré du point de vue de la technique et d’un savoir-faire comme objet utilitaire, ou bien qu’il le soit dans une acception plus récente comme une production esthétique visant à procurer un sentiment esthétique. L’art sous ces multiples formes est donc une activité humaine qui est présente depuis les temps les plus

ARISTOTE et la Hiérarchie des êtres Préface: la confondante diversitéÀ chaque fois que nous nous apprêtons à nous mettre en chemin vers un philosophe, à aborder une philosophie, il est bon de nous demander ce que nous y cherchons. Ce que nous en attendons. La chose semble absurde: ce n'est pas le lecteur qui apporte ses attentes, mais bien le philosophe qui offre un discours inédit, et la seule chose qu'a à apporter le lecteur, c'est sa disponibilité, sa capacité à recevoir ce que précisément il

« comique et tragique » peut circuler selon plusieurs perspectives : * L’histoire littéraire, * Les genres et registres, * Argumenter, * Travail de l’écriture ( voir à ce sujet la dernière version des œuvres de Racine, par Georges Forestier) Il sera abordé dans la continuité du collège et du lycée, dans sa conformité et ses variations par rapport aux codes. Comique et tragique sont des catégories esthétiques normatives qui se concrétisent selon des règles et des codes directifs. A