Le Pont Mirabeau

Contemplations, 1832. - Charles Baudelaire, « L’Invitation au voyage », Les Fleurs du Mal, chapitre « Spleen et Idéal », 1857. - Charles Baudelaire, « Paysage », Les Fleurs du Mal, chapitre « Tableaux parisiens », 1857. - Guillaume Apollinaire, « Le Pont Mirabeau », Alcools, 1913. - Robert Desnos, « Ce cœur qui haïssait la guerre… », L’Honneur des poètes, recueil collectif clandestin, 1943. I. Questions préalables (6 points) 1. Quelles sont les fonctions de la poésie représentées dans ce corpus

l'évocation du monde industriel avec la tour Eiffel et les « hangars de Port-Aviation » . Ces deux éléments en font un poète moderne. De plus sa vie sentimentale hante énormément sa poésie comme sa rupture avec Marie Laurencin qui lui inspire Le Pont Mirabeau. Le poète ayant subit la première guerre mondiale , de ce fait il s'en inspire dans ses poèmes Et enfin Apollinaire s'inspire de nombreuses œuvres picturales comme celle de Picasso ou de Braque. Les fonctions attribuées au poète lui-même

comparaison et de l'antithèse qui entrelace intimement les thèmes de l'amour et celui de l'eau, élément mouvant, insaisissable, symbole de la vanité, comme du caractère éphémère des choses de ce monde. Lamartine dans "Le Lac", Apollinaire dans "Le Pont Mirabeau" s'en souviendront, avec certainement plus d'émotion

qui m’a beaucoup aidée à comprendre certaines choses, sont un mal très apparent, un amour perdu : Il sait qu’il ne le retrouvera pas, mais son amour lui ne s’éteindra cependant jamais. Un amour comme l’eau qui passe et ne s’arrête jamais (Le pont Mirabeau). Avec ce chagrin s’ajoute bien sûr de la nostalgie, dans ce temps où il était heureux avec Annie, mais qui s’est si vite fini. 3. « LA BELLE EPOQUE » La Belle Époque est une période est une période de progrès social, technologique

« Marie » d’Apollinaire extrait d’Alcools, un recueil poétique achevé en 1913 Guillaume APOLLINAIRE, par Marie LAURENCIN Introduction Apollinaire est un écrivain surréaliste qui a écrit de nombreux poèmes comme « Le pont Mirabeau ». Le principe premier du surréalisme est de remettre en cause le totalitarisme esthétique exercé par la beauté classique et de créer de nouveaux rapports entre les mots. Ce mouvement fait appel aux rêves, à l’exploration de l’inconscient et à une originalité

n'est pas réciproque et condamne l'un au désespoir de l'abandon de l'autre. Puis également la manière dont Verlaine semble détacher de ce dialogue, de ces personnages alors qu'il raconte probablement son histoire à lui. Ensuite, j'ai choisi le Pont Mirabeau, de Guillaume Apollinaire, extrait du recueil Alcools paru en 1913. A travers ce poéme, le poète parle de sa rupture avec Marie Laurencin, peintre. Il est composé de quatre quatrains et d'un refrain sous forme distique, des vers impairs et heptasyllabes

disposition (rimes suivies, croisées ou embrassées) et de richesse (rimes plates, suffisantes ou riches). Elle utilise aussi les reprises de sons dans un ou plusieurs vers (allitérations et assonances), le jeu du refrain (comme dans la ballade ou le Pont Mirabeau d’Apollinaire) ou la correspondance entre le son et le sens avec les harmonies imitatives (exemple fameux : « Pour qui sont ces serpents… » Racine) ou les rimes sémantiques (automne/monotone).

LECTURE LINEAIRES N°1 « Le pont Mirabeau » Alcools , Apollinaire Introduction : Ce poème s’intitule « Le pont Mirabeau » et il fais partie du recueil Alcools publié par Apollinaire en 1913. C’est le deuxième poème du recueil même si il est relativement ancien , écrite en 1912, ce qui montre que ce n’est pas dans un ordre chronologique. Dans le poème, il est question du temps qui passe et de l’amour qui s’en va, cette

hypothétique, les tournures interrogatives montrent l'inquiétude du poète face au temps. 2. L'image du passage - On l'a déjà vue dans d'autres poèmes. Les images du passage sont : l'eau qui passe, « le fleuve s'écoule mais ne tarit pas » (cf. Le Pont Mirabeau), « les brebis s'en vont », « les soldats passent », « un c_ur changeant », « je passais au bord de la Seine ». Toutes ces images rendent compte de cette fluidité de la vie de et de l'impossibilité de l'arrêter. 3. L'image de la dégradation

des vers de M.de Marbeuf. Rouen, 1628 , 90 poèmes classiques et contemporains. Pierre de Marbeuf (1596-1645) Le pont Mirabeau Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je demeure Les mains dans les mains restons face à face Tandis que sous Le pont de nos bras passe Des éternels regards l'onde si lasse Vienne la nuit sonne l'heure Les jours s'en vont je