Le Port de l'angoisse

et la caverne. Au printemps 2015, Aliénor Dauchez et Dmitri Kourliandski collaborent à Moscou autour d’une partition musicale basée sur les mouvements de gouttes d’eau créées par la conden- sation de la respiration sur des parois de verre. Portes vitrées, verres à vin, miroirs… sont alors leur terrain d’expérimentation. Forts du constat que les gouttelettes se forment sur une paroi froide qui empêche l’évaporation, ils décident de travailler à partir d’un espace scénique original,

pour faire quelque chose de spécial. On apprend à la fin que ce quelque chose sera de voler le sac à main d’une dame. Mais l’auteur ne laissera pas ce crime impuni. Il y a énormément de descriptions physiques, et des sensations des jeunes filles. L’angoisse, le stress, la paranoïa et la torpeur sont décrits de façon très précise. On note aussi la présence des couleurs -le rouge, le bleu, les éclats de lumière- qui sont omniprésentes tout au long du récit. Les rues sont désertes, mis à part les protagonistes

grandiloquents comme -3- Facultad de Filosofía de San Dámaso Seminario de profesores de filosofía: Las cuestiones metafísica, antropológica y ética en el existencialismo de J.-P. Sartre y M. Heidegger L’angoisse Angoisse et mauvaise foi Kierkegaard et l’angoisse Abraham et l’ange L’angoisse ne conduit pas á l’inaction Angoisse et responsabilité angoisse, délaissement, désespoir. Comme vous allez voir, c'est extrêmement simple. D'abord, qu'entend-on par angoisse? L'existentialiste déclare

comportements, les pensées et les relation de la personne dans sa vie de tous les jours. DSM IV : outils pour deceler les maladies mentale (Diagnostical end Statistical Mananual of Mental Disorders) Maladie mentale est différent de handicap mental L’angoisse : Il y a 2 grandes catégories de maladie mentale : * Les néphroses (= nom de la maladie). * Les psychoses (= nom de la maladie). Celui qui souffre d’une névrose est un psychotique Adjectif : psychotique Les névroses : Celui qui souffre

non contraint, libre de son engagement. Quelles pourraient être alors ses motivations ? Faire le bien, aider les autres, faire quelque chose d’utile, rendre à la communauté ce que l’on a reçu, s’occuper, rencontrer d’autres personnes, résoudre ‘‘L’angoisse du Roi Salomon ’’, vivre une vie ailleurs… ou même expier et manger son pain dur, tels pourraient être ses motifs. Il parait qu’’On ne naît pas bénévole, on le devient ’’. L’engagement bénévole correspondrait en effet souvent à un moment de la

Hennezel des éditions Robert Laffont (de1995) chez POKET. 2- Les raisons du choix de se livre Tout d’abord je tiens à dire que je ne suis pas une assidu des livres, mais j’espère le devenir grâce a ma formation. Mon choix c’est porter sur cette ouvrage car il m’est arrivé d’être confronter a des résident en fin de vie de part mon métier et dans ma vie personnel. Je me suis souvent demander comment les accompagner dans leurs derniers moments et ce livre me semblait être un bon ouvrage

comme s'il avait la fièvre. Le mot « peur » est d'ailleurs en position d'inversion par rapport au verbe  (« que de peur je ne tremble »). Et pourtant, nous lecteurs, nous ne soupçonnons aucun signe de faiblesse dans ces aveux. Nous nous laissons porter par cet humour noir aussi mordant que le froid. L'image du mourant fait horreur à lui-même et aux lecteurs. Ne manque dans ce tableau clinique des plus blafards que les plaies cruentées, imprégnées de sang !  Mais dans le même temps,  on comprend

suit sa propre loi, celle de sa condition à la jouissance. Chez le personnage dans le Horla, on ne retrouve pas ce scénario pervers. Il ne cherche pas à devenir l’objet de l’autre, ni à faire de l’autre l’objet de sa jouissance et ne suscite pas l’angoisse chez l’autre. Est-ce une névrose ? A première vue, on pourrait effectivement penser que le personnage dans le Horla a des troubles névrotiques. Les premiers symptômes du sujet étaient une grosse fièvre, la sensation d’un malheur latent et des

siècle , de nombreux poètes ressentent ce manque essentiel qui se fait sentir dans leurs œuvres car il semble être le seul moyen d’expression pour définir ce besoin d’idéal. Baudelaire en écrira plusieurs poèmes, comme « Les longs ennuis » et  « L’angoisse atroce » du recueil Spleen. Certains individus cherches un monde meilleur mais seule la mort apparait comme une solution a leur mal existentielle. D’autres poètes vont utilisée la mélancolie comme moyen de faire comprendre leur besoin de connaissance

“Ce signe est la joie.” Cela signifie-t-il que nous avons trouvé, là, “la signification de la vie” et “la destinée humaine”? La joie est-elle la réponse à notre problème? Assurément non! Elle est bel et bien la clef du problème, celle qui ouvre les portes de la difficulté, laissant entrevoir la solution, ce pour quoi nous sommes faits. En effet, si la joie est signe, elle ne peut être signe d’elle-même. Il est le propre d’un signe de signifier autre chose que lui-même, ce sans quoi il se nierait comme