Le Portrait En Acte

Les Fausses Confidences , Marivaux Acte I, scène 2Introduction Marivaux est l’un des plus grands dramaturges du XVIIIème siècle. Ses comédies sont à la croisée de la commedia dell’arte burlesque (comique extravagant) et d’un théâtre galant et psychologique ; qui se caractérisent par des jeux d’inversions et de déguisements virtuoses.Marivaux interroge également les pouvoirs du langage, l’opposition de l’être et du paraître, les inégalités sociales tout en amusant le public.Les

Dom-Juan , laisse présager une pièce légère ( présentée par Molière comme une comédie) Le sous titre oriente vers une autre interprétation : D.J. et sa destinée tragique . On peut donc parler de pièce baroque et de tragi-comédie . LES LIEUX ACTE I : Lieu : intérieur : un palais Scène 1 La pièce s’ouvre sur un éloge étonnant du tabac . Il s'agit en fait d' un éloge paradoxal, c'est à dire l'éloge de quelque chose que l’opinion commune a tendance à condamner, c'est une pratique rhétorique

pop-art .Cartel d'identification de l'œuvre «  double portrait dit d'Arnolfini » Auteur : Johannes Van eyck Période d'activité : Première moitié du XV ème siècle Titre : Double portrait dit d'Arnolfini et de son épouse Date de la création : 1434 Dimension / cm : 82 x 60 cm Technique : Peinture à l'huile sur panneau de bois de chêne Genre : Portrait Localisation : National Gallery, Londres

HERNANI ACTE III « LE VIEILLARD » SCÈNES 6 ET 7 RAPPEL DE LA SCÈNE 5 Don Ruy Gomez arrive, surprend H. et d. S. « tous les deux dans les bras l’un de l’autre, se (regardant) avec extase ». (p.115)  Duc : fou de colère et de jalousie.  H. assure pureté de d. S, sa seule culpabilité et offre sa vie   Arrivée du roi (fin, dernière didascalie) cf. Duc l’hospitalité :  devoir sacré + met en jeu son honneur  Introduit Hernani dans cachette dissimulée sous son propre portrait  SCÈNE 6

Acte 1 scène 1 I - Portrait d’un séducteur : - pèlerin -> péjoratif : va de fête en fête - 5 énumérations : (deux phrases) hyperboles (idem) croyances de Dom Juan -> Ø (3 phrases) ternaire -> ordre décroissant du plus au moins important -> c’est pour le spectateur (4 phrases) ternaire -> Dom Juan ne respecte pas le sacrement du mariage, donc il ne croit pas à la religion -> prédateur des fêtes (5 phrases) gradation décroissante -> hiérarchie - Sganarelle se flatte de son maître -> démonstratifs

la confusion qu’entraîne la dissolution du ménage * Situation favorable à la disparition d’un objet * Il va insister sur la loyauté de l’entourage : La fidélité des domestiques. - L’évocation du vol du ruban : * Acte sans autre signification que celle d’un simple caprice. Acte sans grande importance. Usage de la parataxe dans tout ce paragraphe 2 : phrases qui s’enchainent par simple juxtaposition. Succession rapide d’action * La mention de la perte du ruban, son usure ainsi que la subordonnée

XVIII siècle Travail sur la mise en scène sur le Jeu de l’Amour et du Hasard (p.176-177) Biographie de Marivaux Mariage de Figaro, Beaumarchais Texte 1: Lesage, Turcaret(1708) Acte III, Scène 11 & 12 [pic] Texte 2: Marivaux, Le Jeu de l'amour et du hasard(1730) Acte III, Scène 6 Lisette. Encore une fois, Monsieur, je me connais. Arlequin. Hé, je me connais bien aussi, et je n’ai pas là une fameuse connaissance, ni vous non plus, quand vous l’aurez faite ;

premier volume des Scènes de la vie de province. |Sommaire | | [masquer]  | |1 Résumé | |2 Caractéristiques | |3 Portrait d'Eugénie | |4 Bibliographie | |5 Adaptations | |6 Liens externes | Résumé[modifier] Félix Grandet a été tonnelier. Grâce à un

Dom Juan Acte I, scène 1 " Je n’ai pas grande peine (…) je dirais hautement que tu as menti. " Introduction Molière de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin est un dramaturge du XVII° siècle. Don Juan est une tragi-comédie écrite en 1665 après la censure du Tartuffe. Cette pièce aurait été inspirée par Tirso de Molina. Cette tirade est extraite de l’Acte 1 scène 1. Cette tirade de Sganarelle est extraite de la scène d’exposition. Sganarelle discute avec Gusman de son maître Don

récente censure de tartuffe en 1664, il reprend un mythe déjà traité par l'espagnol Tirso de Molina en 1630 : Dom Juan. Dans la scène 1 Acte 1, nous allons voir que la tirade finale est une présentation du maître de Sganarelle, DOM JUAN. Après avoir étudié les caractères de ce double portrait nous nous intéresserons au registre comique de la scène I – Le portrait d’un séducteur Sganarelle présente Dom Juan, il met en avant son impiété par une nouvelle énumération (« le plus grand scélérat que