Le Poète Dévoile

Charles Marie René Leconte de Lisle est un poète français, né le 22 octobre 1818 à Saint-Paul sur l’île autrefois appelé l'Île Bourbon mais qui porte le nom aujourd’hui de l’île de la Réunion et décède le 17 juillet 1894 à Voisins. L’auteur voue à l’art un culte religieux et rationnel à la fois. Il appartenait au mouvement poétique parnassien qui est apparu en France dans la seconde moitié du XIXe siècle et qui avait pour but de valoriser l’art poétique par la retenue, l'impersonnalité et le rejet

Sujet 1 : « Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! » écrit Victor Hugo dans la préface des Contemplations. Votre lecture du recueil confirme-t-elle l’assertion du poète ? Vous répondrez au sujet dans un développement organisé, qui pourra occasionnellement s’appuyer sur d’autres textes poétiques, tels ceux du parcours. Sujet 2 : Le terme « contemplation » signifie aussi bien le fait de s’absorber dans une observation attentive de quelqu’un ou de quelque chose, que la concentration de l’esprit

 III-BÉNÉVOLEMEN¬T la poète et avant tous un homme qui a des sentiments des émotions qui a vécu une expérience personnels très intimes et qui veux communiquer au lecteur a fin de l'impliquer dans ces problèmes de partager sa joie a sa souffrance ,c est pourquoi il recourt a la poésie qui respecte le meilleur moyen des expressions de ses sentiments. La poésie est donc un mémoire qui permet au poète de dévoiler ces sentiments de traduire son expérience et surtout de c identifier au lecteur

clairement lorsque l’on en observe sa structure et sa fonction. Le poète, dans son temps, grâce à son propre langage, paraît comme le messager de notre société, mais parallèlement cela permet aux lecteurs de s’évader avec une meilleure compréhension du monde. Même si la poésie peut nous éloigner de la réalité, certains poètes nous donnent les clés pour nous en rapprocher, grâce à la beauté des mots pour une réalité transfigurée. Le poète peut éloigner le lecteur de la réalité en donnant accès à ses

restitution d’un monde onirique, fantastique comme nouvelle réalité est à l’origine de l’Univers poétique. Le poète ainsi que le lecteur cherche à récréer ce qui naît de son imagination et qui provient du fond de son être: ses désirs, ses peurs, ses rages, son amour. Ainsi dans « Mon rêve familier », Paul Verlaine, par la poésie du rêve, imagine une femme qui peut le consoler dans sa condition réelle de poète sensible et souffrant. La transformation de la réalité passe par l’utilisation des mots poétiques,

Préfèreraient-ils la beauté d'un jour pur et serein ou un jour gris et bruyant ? Désireraient-ils une chaumière au milieu d'une forêt touffue ou bien un édifice au milieu d'un espace planté de la main des hommes ? La liberté de l'écrivain, poète ou romancier, est celle de l'imagination visionnaire. C'est elle qui éclaire la ville ou l'assombrit. Pour Voltaire et Montesquieu la ville est réduite en tant qu'espace; seuls les intéressent les types de rapports humains qui s'y manifestent, la

poèmes il nous dévoile sa vision de cette ville en bien ou en mal... « Rêve parisien » Dans ce poème il va présenter son rêve de Paris, son utopie puis son retour brutal à la réalité. En effet Baudelaire débute la description de son rêve au vers 9 avec « Et, peintre fier de mon génie » dans lequel il s’invente peintre. Le fait d’être poète et de se rêver peintre révèle un certain mal être, une certaine insatisfaction dans sa profession et peut être une soif de changement. Le poète rêve d'une

fonction du poète », on voit se dessiner l'image d'un poète au-dessus de la société et au rôle fondamental pour cette dernière. Ceci n'est pas nouveau dans la pensée de Victor Hugo, et il l'applique à sa propre création. Dès ses premiers recueils en effet, il se montre engagé, à l'image des Orientales en 1828. Le recueil dont est extrait « La fonction du poète », Les Rayons et les Ombres, a été publié en 1840. « La fonction du poète » met en avant le caractère quasi-divin du poète. Par ce recueil

mots)  Sujet divisé :  L’attitude du poète face au temps  L’attente du poète envers la nature DÉVELOPPEMENT I. LE POÈTE BLÂME LA PUISSANCE DU TEMPS A. Le poète s’adresse au temps Apostrophes + vocabulaire péjoratif + accumulation d’interjections a) « Ô temps » (v. 23) b) « Temps jaloux » (v. 39), « Éternité, néant, passé, sombres abîmes » (v. 47) c) « Hé quoi ! » (v. 43) « Quoi ! » (v. 44)  Traduit l’indignation du poète à l’égard du temps, destinataire . . Il

Intro : Baudelaire est un écrivain du XIX ème siècle qui s’est d’abord consacré à la critique d’art avant de s’investir dans son activité de poète. Il est né à Paris en 1821 et est mort à 46 ans en 1867. Il a écrit plusieurs œuvres dont Les Fleurs du mal, un recueil qu’il publie en 1857. Mais il sera condamné pour celui-ci en correctionnelle pour immoralité. Il republie une nouvelle édition de son recueil en 1861 (avec 6 poèmes supprimés et des nouveaux), et ce n’est qu’un siècle après