Le Poète Et La Foule

Baudelaire sur la Ville -Paysage urbain -L'idéal de la ville pour Baudelaire/Ce qu'elle est réellement III) La rencontre de soi et de l'autre -Une solitude dans la ville -La découverte de l'autre Introduction Charles Baudelaire est un poète du XIXème siècle dont la vie est placée sous le signe d’une double obsession : la douleur du spleen c'est-à-dire le « mal de vivre » et la lumière de l’idéal c'est-à-dire l’élan vers le beau, et se révèle comme un constant déchirement. Plus grande

Commentaire linéaire rédigé, Hugo, « Melancholia » Les Contemplations, publiées en 1856 par Victor Hugo, constituent à le lire les « mémoires d’une âme ». Il faut entendre ce mot dans ces trois sens : mémoires de sa carrière de poète, mémoires de sa fille décédé trop tôt Léopoldine, et mémoires d’un homme témoin de son temps, et dont l’engagement social lui a valu d’être exilé par le nouvel empereur Napoléon III. L’extrait que nous étudions est tiré d’un poème particulièrement long

La construction du vers 1 montre l'enfermement de « moi », le poète, entre l'adjectif et le verbe ce qui montre l'agression qu'il subit. Le rythme du vers est rapide et saccadé, avec plusieurs coupes, ou hiatus, qui donnent une impression de halètement. Ceci est renforcé par l'utilisation de sonorités sifflantes, « assourdissante », et aussi de termes pesants et lourds. Baudelaire utilise aussi la métonymie « la rue » pour la foule : la ville est avant tout vue dans son aspect trépidant. Le verbe

sur la souffrance de l'albatros. 5. Enonciation Le poète n’utilise pas le « je » lyrique mais le dernier quatrain nous montre que Baudelaire s’adresse au lecteur en tant que poète pour lui signifier la différence des poètes. 6. Champs lexicaux, thèmes Les champs lexicaux : L’univers du bateau : hommes d’équipage, planches, navire, agace, brûle-gueule, huées, sol, avirons (vocabulaire simple, champ lexical des marins). Celui du poète sublime : Vastes oiseaux, Rois de l’azur, grandes ailes

bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des nuées Qui hante la tempête et se rit de l'archer; Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher. Problématique : Il s'agira de découvrir la signification allégorique du poète. Etude méthodique I- La parabole du poète oiseau A- Une double analogie ---- Une double comparaison Ce poème est

1840 et enfin de « ce que dit Elsa » D’Aragon écrit en 1942. Chaque poème annonce ce qui fait du poète un être différent des autres hommes. Néanmoins, on peut discerner des points communs et des différences. Dans un premier temps, on relèvera les points communs. Il convient de noter l’importance du champ lexical de la religion qui donne une dimension lyrique. Selon Baudelaire, le poète dans la société peut-être comparé à un albatros : majestueux dans le ciel mais ridicule sur terre

L'Albatros Alexandrins, Albatros est un poème de Charles Baudelaire paru dans son recueil Les Fleurs du Mal. Ce poème est extrait de la deuxième partie de ce recueil « Spleen et idéal ». Ce groupement de poème exprime déchirure du poète entre une aspiration vers un " Idéal " et le " Spleen ", c'est-à-dire l'ennui voire l’angoisse. Cette section montre la misère et la grandeur de l'homme le combat éternel de l'homme sans issue :Baudelaire : « Il y a dans tout homme, à tout heure, deux postulations

par exemple la rougeur du sang, et le poète recoure aussi à d'autres possède, par exemple le chiasme ( vers 24 ), il y a une antithèse entre petite et grand. Allitération en "t" dans "petites tâches", contraste entre la rougeur et l'ombre. Un parallélisme construit sur une opposition avec goutte d'étoile et goutte de sang, on peut noter le vocabulaire funèbres, meurtres, glas qui rassemble la mort et la guillotine. 2nd partie : Un poète témoin et juge Foule aveugle L exécution est public donc

place du fantastique puis nous regarderons comment ce même fantastique permet au poète de faire passer un message. Dès la première lecture on se rend facilement compte que le fantastique est au cœur des intérêts dans ce poème. Pourtant on peut remarquer que Béalu joue entre réel et imaginaire en les distinguant et en les mêlant tout à la fois. Le premier vers est une localisation précise du lieu que décrit le poète « devant les Galeries Lafayette (…) derrière l'Opéra », il ancre le réel dans

compris par les gens de son époque. Les trois premières strophes concernent l'albatros tandis que la dernière est dédiée au poète. Ce poème est composé de quatre quatrains en alexandrins. Les rimes sont croisés ABAB et il y a une alternance entre les rimes féminines et masculines. Ce poème est fondé sur une double comparaison. L’albatros est personnifié, il représente le poète. On remarque un jeu sur l’opposition, dans le premier quatrain, l’albatros est dans les airs. Il vole, il est dans son élément