Le Premier Homme Qui Passe Est Un Héros Suffisant

| |1. la situation | |SUJET : un jeune homme inférieur, qui doit se "ten[ir] à [sa] place" | |OBJET : s'efforce de conquérir un objet précieux s'il en est, une héroïne socialement hors d'atteinte.

insistent sur les mauvais côtés des personnages ou leurs aspects communs. Par exemple, Charles Bovary est une sorte de anti-héros ; il est falot, sans envergure. Ex aussi le mari de Folcoche dans Vipère au poing => homme faible, qui ne défend pas ses enfants, ne les protège pas. • Pour Zola, « le premier homme qui passe est un héros suffisant ». Chacun peut être un héros, même les descendants des Macquart qui sont tous des personnages soit alcooliques (Jacques dans La Bête humaine), soit à petite

le vin donné par le prêtre d'Ismaros -attitude d'orgueil par rapport aux dieux (se croient sup) qui le perd , étres surnaturels, coupables d'hubris (démesure) >puni pa les dieux finalité problématique Cela donne a U. une nouvelle chance d'être un héros véritable et confirmé. Puisque la colère de Poséidon va entraîner Ulysse vers d'autres destinations, à la rencontre d'autres personnages insolites (Eole, Circé, les Sirènes, Charybde et Scylla...) qui contribuent tous au mérite et à la gloire d'Ulysse

Victor Hugo et la société de l’époque. Le XIXe siècle en France, était un siècle mouvementé. La société française était passée entre plusieurs vents politiques. Trois républiques, deux royaumes et deux empires. Ces changements brusques poussent les auteurs à écrire du romantisme, ce courant littéraire, qui leur permettait de ressortir leur état d’âme, fasse à leur vie, leur ressentie ou leur société. C’est ainsi que Victor Hugo, romancier et poète français du

moral, il consiste a apprendre a agir vis a vis des autres, il doit dépasser l’égoïsme/ besoin psycho et perso Le BESOIN, le héros ne doit pas être conscient de son besoin REEL. Sinon c’est la fin de l’histoire. DESIR= boire un verre. BESOIN= Réussir a arrêter. L’ADVERSAIRE : Personne qui va empêcher la personne d’atteindre son objectif. Dans les bonnes histoires le héros et l’adversaire ont le meme objectif. Dans ce cas les deux ne peuvent pas gagner. Il y a un conflit direct ! IL FAUT TROUVER

question qui se pose ici : Est ce que Corneille a bien reflété la notion d'honneur dans son époque en écrivant Le Cid ? Nous allons analyser l'approche sociologique laquelle Corneille a montré dans cette pièce du théâtre, nous allons voir comment les héros réagissent devant leurs problèmes et si leurs actions sont en rapport avec la vie réelle ou non. PPREMIÈRE PARTIE : La Société Française Au XVIIème Siècle I- Les classes sociales : Au XVIIème siècle les gens sont catégorisés

éditeurs successifs se sont employés à classer, ici dans l'ordre chronologique. Hier, 22 février [1846], j'allais à la Chambre des pairs. Il faisait beau et très froid, malgré le soleil et midi. Je vis venir rue de Tournon un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte et

également vivre une vie à l’intensité abusée, en effet le personnage va vivre une multitudes d’événement en un lapse de temps très réduit, c’est la cas par exemple de Phileas Fogg dans Le tour du monde en 80jours de Jules Verne. Dans ce cas là la vie du héros sera bien plus intense que celle du lecteur. Le personnage romanesque va donc par ses caractéristiques ou son destin exceptionnel susciter l’envie de s’identifier à lui. La vie du personnage, de pars une multitude d’événements semblables pour la plupart

|deuxième partie fut trouver et Zadig libéré. | |Les généreux |Babylone, fête des |Juge, le roi, le satrape, le |Fête du citoyen le plus généreux. Passe devant le| | |généreux |juge, un jeune homme amoureux, |roi toutes les personnes ayant fait des bonnes | | | |un soldat, |actions, Zadig n’est pas cité. A la fin de ces

travaille son texte selon cette technique, à la limite de la caricature. Lui aussi souligne la bizarrerie de son héros « admirablement réussi», de cet être mutilé par un rictus permanent. Gwynplaine n'est pas décrit de manière réaliste, il se confond avec son rire au point de devenir «une tête de Méduse gaie», un symbole de la misère humaine non reconnue, d'une humanité torturée, un héros très romantique par l'alliance intime de la tragédie et de la comédie. Zola, en écrivain naturaliste, soigne les