Le Printemps Ronsard

princesse et la paysanne de se confondre, mais aussi d'échapper aux fluctuations des canons de la beauté. Marie sera toujours belle 1.2.2. jeunesse et fraîcheur : cf. annotations sur le texte, champs lexicaux de la jeunesse et de la nouveauté (printemps de la vie). Cf. expression "morte à la fleur de l'âge" ; ici l'insistance sur la jeunesse renforce le sentiment que la mort de Marie est cruelle, scandaleuse. 1.3. l'hyperbole comme procédé principal de l'éloge 1.3.1. le regard des dieux :

Du côté de chez Swann. Anthologie de la poésie baroque, de Jean Rousset : Marbeuf, « Et la mer et l’amour » ; Marbeuf, « Sur le bord sablonneux… » ; Malleville, « ce mobile coral… » ; Vauquelin des Yvetaux, « l’Amour de changer » ; D’Aubigné, Le Printemps (« Je vole haut »). Balzac, la Peau de chagrin ; le Père Goriot. Montesquieu, les Lettres persanes ; De l’esprit des lois. Voltaire, Candide ; Lettres philosophiques.Apollinaire, Alcools, « Marie », « l’Ermite » Montaigne, Essais. Hugo, les

POETIQUE : LA PLEIADE : La pléiade de 1549 à la mort de Ronsard, la pléiade n'a jamais constitué une école. Le phénomène n'existe pas au XVI° siècle. Pour la première fois, des poètes et écrivains français se sentent liés par une communauté d'intérêts, prennent conscience de visées théoriques et poétiques homogènes, se reconnaissent un chef (Ronsard). Bref, ils s'identifient comme un groupe sous une domination commune. C'est Ronsard qui en 1556 a repris le terme de pléiade par cette constellation

promène Et se promènera allègrement  Sur le cadran solaire de ta vie. Théophile Gautier « Dernier vœu » 1872 Voilà longtemps que je vous aime :  — L'aveu remonte à dix-huit ans ! —  Vous êtes rose, je suis blême ;  J'ai les hivers, vous les printemps. Des lilas blancs de cimetière  Près de mes tempes ont fleuri ;  J'aurai bientôt la touffe entière  Pour ombrager mon front flétri. Mon soleil pâli qui décline  Va disparaître à l'horizon,  Et sur la funèbre colline  Je vois ma dernière

Fren 340-01 Intro to French Literature Printemps 2011 Prof. Gaetano DeLeonibus Bureau: Walton 244; tél: x6249; adresse électronique: gdeleoni Heures de consultation: lundi/vendredi 9-10h; mercredi 13h30-14h30; ou sur rendez-vous. OBJECTIF et EXIGENCES DU COURS A travers des textes choisis, ce cours examinera les genres littéraires (et auteurs) principaux qui ont marqué la littérature française du Moyen Age jusqu'à la fin du XVIIe siècle. Nous apprendrons à analyser et à expliquer la

Nom : Rabelais Prénom : François Pseudonyme : Alcofribas Nasier Profession : prêtre catholique Date : naît à La Devinière, près de Chinon vers 1494 et mort  à Paris au printemps 1553 Production littéraire : -Gargantua, 1534, roman -Le Tiers Livre, 1546, roman - Le Quart Livre, 1548-1552, roman L’homme et son œuvre : On ne sait rien de son enfance ni de sa jeunesse. Il reçoit une éducation qui le conduit,

légereté, d’insouciance. Le désir du personnage masculin s’exprime par le fait qu’il demande à la fille de s’en aller dans les champs, ainsi que sous les arbres profonds. Enfin, nous pouvons voir que la description de la nature est érotisée: le printemps est «le mois où l’on aime»; l’évocation de l’eau amène l’idée de «caresse». Donc, le narrateur est fortement attiré par une jeune femme grâce à son naturel et cette impression qu'elle soit en harmonie avec la nature. Ici, la nature est un élément

et de lettrés. Il excelle dans les ballades et les rondeaux où il révèle une nature fine, un peu précieuse. Les poèmes sont de jolis riens délicatement ciselés dont certains exprime une mélancolie gracieuse. B) Extraits : 1) Le printemps C’est un rondel : petit poème sur deux rimes composés de 3 strophes et comportant une sorte de refrains. 2) Ballade C’est une ballade: poème en 3 strophes construites sur les mêmes rimes auxquels s’ajoutent un envoi[28]

et de la littérature courtoise, le xiie siècle prépare la maturité culturelle du siècle suivant, qui se révélera dans le cadre des universités. J'ai choiti ces deux textes de Pierre De Ronsard car il m'ont toucher et l'amour de cette homme semble réllement sincère. PRENDS CETTE ROSE... - PIERRE DE RONSARD (1523-1585) Prends cette rose aimable comme toi Qui sert de rose aux roses les plus belles, Qui sert de fleur aux fleurs les plus nouvelles, Dont la senteur me ravit tout de moi

ondulée des vagues, ou bien une nuit d’orage sous un arbre dans la campagne, ou dans une rapide automobile, Un matin de printemps boulevard Malesherbes, Un jour de pluie, À l’aube avant de te coucher, Dis-toi, je l’ordonne à ton fantôme familier, que je fus seul à t’aimer davantage et qu’il est dommage que tu ne l’aies pas connu. Dis-toi qu’il ne faut pas regretter les choses : Ronsard avant moi et Baudelaire ont chanté le regret des vieilles et des mortes qui méprisèrent le plus pur amour. Toi quand