Le Prolétariat

il fit l'analyse systématique et historique de l'économie du système capitaliste et développa la théorie de l'exploitation par les capitalistes de la classe ouvrière à travers l'appropriation par les premiers de la «plus-value» produite par le prolétariat. La Ligue communiste fut dissoute en 1852 mais Karl Marx continua à correspondre avec des centaines de révolutionnaires dans le but de former une autre organisation révolutionnaire, mieux organisée et plus efficace. Ses efforts, alliés à ceux

bourgeois moderne », n’est autre que le mode de production capitaliste. Dans ce mode de production, comme dans les autres, il existe une structure de classe. En simplifiant, on peut opposer une classe dominante (la bourgeoisie) à une classe dominée (le prolétariat) : « les classes dominantes s’approprient une fraction du travail (le surtravail) des classes dominées, ou du produit de ce travail, selon un processus désigné comme « exploitation » » [4]. Pour Marx, l’Histoire doit donc être « interprétée

(Hugo) et les hommes politiques (Blanqui, Guesde, etc.) a imposé l’image d’une classe ouvrière française constituée selon un schéma calqué sur celui de la Grande-Bretagne : passage précoce du domestic system au factory system, exode rural massif, prolétariat démuni s’entassant dans les banlieues des grandes villes, enchaîné aux grandes machines pour un salaire de misère. Or, le processus d’industrialisation français a des caractères tout à fait originaux : la France compte par exemple une multitude

même les enfants). La bourgeoisie néglige un aspect primordial de sa survie et se fragilise toute seule. Ce facteur est l’augmentation du capital car plus ce-dernier grandit plus la masse d’ouvriers aussi. Et Marx et Engels nous disent que le prolétariat n’attend qu’un rassemblement d’ouvriers pour se soulever. Seulement la bourgeoisie est déjà en lutte avec l’aristocratie et les bourgeois de tous les pays étrangers. Dès lors, la classe dominante demande le soutient voir l’assistance des prolétaires

activement à la vie politique. Cela était fondé sur l'idée qu'il encourage les masses à accepter leur sort dans ce monde afin d'obtenir une récompense dans l'au-delà, ainsi apaiser le prolétariat révolutionnaire . Marx disait que la religion était une création des bourgeois et a été un outil pour réprimer les prolétariats qui un jour monterait et deviendrait les propriétaires . Les réalités économiques les empêchent de trouver le vrai bonheur dans cette vie, la religion leur dit que c'est correcte

eux détruire le capitalisme et reconstruire une économie seine qui répartie les richesses entre la population entière et non à une minorité. C’est pourquoi ils aspirent à la collectivisation des grands moyens de production, privilégient le prolétariat et raisonnent en terme de classes. Ainsi le parti est un mouvement de classes qui veut socialiser les moyens d’échange et de production, c'est-à-dire de transformer la société capitaliste en une société collectiviste ou communiste. b) Le marxisme

ouvrières et bourgeoises. En effet, le prolétariat vivait dans des conditions de vie et de travail extrêmement difficiles; Le taux de mortalité infantile est un niveau qui n’avait jamais été atteint depuis la fin du Moyen-âge dans des pays dit civiliser comme l’Angleterre ou la France. Les systèmes de santé sont inaccessibles ou même absent de la société pour certaines classes sociales qui se battent pour avoir juste ce qu’ils ont besoin pour leur survie. Le prolétariat vit dans les pires conditions que

au moins deux classes fondamentales : * les capitalistes ou bourgeois, classe dominante qui possède le capital et dispose ainsi des moyens de faire travailler autrui à son profit en pesant sur le cours d'achat de la force de travail * le prolétariat, regroupant les personnes qui n'ont pas de capital et sont contraintes de vendre leur force de travail pour subsister, c'est-à-dire les ouvriers. Cette lutte embrasserait tous les domaines de la vie sociale, économique, politique et idéologique

et évolution de l'enseignement Essor révolutionnaire des sciences et des arts Développement inégal des superstructures II. LE PROLÉTARIAT, LA CULTURE ET LA SCIENCE Les dessous de la science Genèse de l'« éducation » communiste L'espace du temps libre L'ultime moyen : la concentration Synthèse universelle Dialectique du progrès et de l'aliénation croissants Le prolétariat, classe la plus inculte et la plus féconde La littérature d'aujourd'hui Éloge des prolétaires incultes Le travail capitaliste n'est

On distingue bien leurs muscles tendus dans cet effort qu'ils réalisent ensemble. D'après le titre de l'œuvre, la femme est une kolkhozienne qui brandit la faucille, symbole de la branche paysanne du prolétariat. L'homme est un ouvrier, un marteau à la main, il symbolise l'autre branche du prolétariat : l'industrie. Ces deux éléments réunis forment le symbole du communisme soviétique que l'on trouve sur le drapeau de l'URSS. Cette sculpture monumentale, elle pèse 80 tonnes pour 25 mètres de hauteur