Le Père Goriot Malheur

comtesse polonaise qui sera l’amour de sa vie, il prévoit de regrouper tous ses romans en trois grandes parties dont Les Etudes de mœurs qui présenteront un tableau complet et réaliste de « la société dans son entier, telle qu’elle est ». Dans Le Père Goriot publié en 1835, à travers le microcosme de la pension tenue par Mme Vauquer, il évoque l’époque de la restauration et de la Monarchie de Juillet. Comment, grâce au portrait de la propriétaire de cette « maison bourgeoise », illustre-t-il sa conviction

Lecture analytique : Balzac, Le Père Goriot, 1839 Plan du commentaire : Problématique : Comment cet extrait s'inscrit-il dans une démarche rréaliste ? Ière partie : Portrait de Mme Vauquer 1) Une description physique repoussante "nez à bec de perroquet" + "dodue comme un rat d'église" > comparaisons peu flatteuses vocabulaire grassouillet pour plus de réalisme : "vieillotte", "grassouillette" 2) Un portrait psychologique peu charmant dissimulation de sa véritable personne, hypocrisie

l’intérêt matériel. Le conflit est donc tellement méchant et dramatique dont le résultat serait compté d’avance à la faveur de l’argent, à la sécheresse des sentiments. La souffrance serait la même comme si la vie était déja détruite par le malheur et personne ne pourrait la rendre heureuse. Ainsi, Balzac nous découvre « comment la réalité sociale détruit tous les idéaux et comment le rêve utopique s’évapore et s’anéantit au moment où il touche le réel économique 2 ». Pour bien comprendre

Question de Corpus n°1 : « Quels sentiments (/réactions) les personnages de ces 4 textes suscitent-ils chez le lecteur ? » Nous avons affaire ici à un corpus de quatre textes, extraits de La Princesse de Clèves de La Fayette, du Père Goriot de Balzac, des Misérables de Victor Hugo et de l’Etranger d’Albert Camus. Ces œuvres appartiennent tout les quatre à des mouvements littéraires différents. En effet ils descendent respectivement du classicisme du XVIIème siècle, du réalisme et du romantisme

Études sociales, qui deviendra La Comédie humaine en 1842, en référence à La Divine Comédie de Dante6,7 L’idée de relier entre eux les récits en faisant revivre les protagonistes de chaque roman ou nouvelle ne vient à Balzac qu’en 1835 avec le Père Goriot où l’on voit reparaître pour la deuxième fois l’important Eugène de Rastignac déjà présenté en 1832 dans Étude de femme et Autre étude de femme publié alors sous le titre Une conversation entre onze heures et minuit inséré dans les Contes bruns

la censure s’arrête ; également Dom Juan ou encore le Misanthrope. Honoré de Balzac : Balzac est un auteur du 19ème siècle. Il est né le 20 mai 1799 et a donc commencer à écrire de nombreux romans, par la suite. On trouve Gobseck, ainsi que le Père Goriot et le Colonel Chabert. C’est aussi lui qui créa la Comédie Humaine qui est un ensemble d’ouvrages, comprenant des romans réalistes, fantastiques ou philosophiques mais aussi des essais, des contes et des nouvelles. Charles Perrault : Né le 12

ses bienfaits . ▶ Le 2d huitain commence par une périphrase élogieuse du soleil qui contraste avec l’image du soleil cruel qui en avait été donnée dans la 1re strophe : « Ce père nourricier, ennemi des chloroses ». Si le titre fait du soleil le sujet du poème, nous comprenons que « ce père nourricier » est également le poète. ▶ Cette strophe est consacré aux conséquences bénéfiques du soleil (ou du poète) auquel il prête un pouvoir thérapeutique et transfigurateur.

" Qui décidera de ce qui est plus horrible à voir, ou des coeurs desséchés, ou des crânes vides ? ", Le Père Goriot, Honoré de Balzac, classique de poche, Le livre de poche, n° 757, page 49. " Eugène de Rastignac, ainsi se nommait-il, était un de ces jeunes gens façonnés au travail par le malheur, qui comprennent dès le jeune âge les espérances que leurs parents placent en eux, et qui se préparent une belle destinée en calculant déjà la portée de leurs études, et les adaptant par avance

Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet ; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d’église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s’est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire l’air chaudement fétide sans en être écoeurée. Sa figure fraîche comme une première gelée d’automne, ses yeux ridés, dont l’expression passe du sourire prescrit aux danseuses à l’amer

de leur père, Œdipe, pour la possession du royaume de Thèbes. * Œdipe-roi de Sophocle Il s’agit d’une tragédie grecque qui date d’environ 430 av. JC. Elle explique comment Œdipe commit le parricide et l’inceste et comment il s’en rendit compte. Sophocle présente Œdipe comme un héros vieillissant, heureux roi de Thèbes. Il montre comment l’univers d’Œdipe va s’effondrer lorsqu’il apprendra que, sans le savoir, il a tué son père et épousé sa mère et qu’il est l’unique cause de malheur de Thèbes