Le Père Goriot Malheur

la destinée de l’œuvre (page 41) l’étude d’un passage (page 72) Bonne lecture ! Résumé Première partie “Les deux poètes” À Angoulême, vers 1820, David Séchard, qui a repris l’imprimerie vétuste de son père à Angoulême, désire révolutionner l’industrie de la papeterie. Pour le sauver du désespoir, il prend comme prote un ancien camarade de collège, Lucien Chardon, intelligent et séduisant poète qui est aimé de Mme Louise de Bargeton, épouse d’un notable

l’étude à propos du colonel ? Sont-ils touchés par son malheur manifeste ? Le dernier clerc dit du colonel qu’il a « l’air d’un déterré », le Maître-clerc Boucard rétorque qu’il s’agit probablement d’un « colonel », de naissance noble, qui vient « réclamer un arriéré » (p. 19) ; Godeschal, quant à lui, le prend pour un ancien concierge, un portier. Ils ont à son égard une attitude désinvolte et moqueuse, ils ne sont pas du tout touchés par son malheur manifeste. Le colonel Chabert, un héros hors du commun

intitulée Le roman dans laquelle Maupassant expose en quelques pages sa vision du roman naturaliste et critique le genre de l’étude psychologique. Résumé Pierre et Jean commence par une partie de pêche en barque, au large du Havre, réunissant le père Roland, bijoutier parisien à la retraite, sa femme, leurs deux fils, Pierre et Jean, unis et opposés par « une fraternelle et inoffensive inimitié » rivalisant à la rame devant une jeune veuve, Mme Rosémilly. Au retour, les Roland apprennent que Jean

ni de l’avenir, ni du passé, ni de certaines considérations sociales. Je ne vous ferai qu’une seule observation. Monsieur de Restaud a une mère qui mangerait des millions, une femme mal née, une demoiselle Goriot qui jadis a fait beaucoup parler d’elle. Elle s’est si mal comportée avec son père qu’elle ne mérite certes pas d’avoir un si bon fils. Le jeune comte l’adore et la soutient avec une piété filiale digne des plus grands éloges ; il a surtout de son frère et de sa sœur un soin extrême. – Quelque

Retrouve cela chez Paul Gauguin, donne au visage du christ son propre visage. A la fois élue et victime, du fait de l'incompréhension. La position poétique s'identifie à la position d'exilé. l'exil= déchirure, atteinte profonde, condamnation au malheur, pas voyageur, émigré pas de son plein gré, il est contraint. *Année 70/80, pour Malarmé le poète est exclu mais aussi celui qui prêche une religion nouvelle. Celui qui prépare dans la solitude une religion nouvelle qui reliera les hommes entre

n’a point de port, le temps n’a point de rive ; Il coule, et nous passons ! » Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse, Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur, S’envolent loin de nous de la même vitesse 40 Que les jours de malheur ? Eh quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ? Quoi ! passés pour jamais ! quoi ! tout entiers perdus ! Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface, Ne nous les rendra plus ! Éternité, néant, passé, sombres abîmes, Que faites-vous

Un spectacle d'une humanité abattue voit gesticuler des personnages qui ont tiré le mauvais numéro, qui vivent des épisodes de leur vie qui n'ont rien de glamour. Rien de plus ordinaire que l'ennui d'un quotidien morne, à l'horizon rétréci par le malheur qui frappe à la porte. L'identification au personnage est sans doute plus efficace : le vraisemblable peut émouvoir bien plus que l'invraisemblable. Le romancier s'efforce d'ancrer ses personnages dans une réalité ordinaire, comme « Bouvard et Pécuchet »

Quelles informations sur le personnage cet extrait donne-t-il ? b) Par quels moyens l’auteur apporte-t-il ces informations ? c) Quelles indications peut-on en déduire sur la suite de l’action* ? 10 15 Honoré de Balzac (1799-1850), Le Père Goriot, 1835. 1. Deux autres pensionnaires. 2. voix de basse-taille : voix grave. a) Par qui le personnage est-il présenté ? b) Qu’apprend-on sur le personnage et sur son rôle dans l’action* ? 15 par rapport à l’histoire Texte A 5 10

A travers son portrait ambivalent nous constatons qu’il a l’impression d’être mal né. Il a peur de son père, violent, auquel il ne tient pas tête. A fil de notre lecture, nous avons pu observé que ce rejet, cette humiliation de J face à sa famille et ses frères filent le texte. Cette marginalité entre J et sa famille se ressent ds la lecture. Les frères ne sont que très peu évoqués. Le pere , lui n’apparait que qq fois ds le roman de près de 600 pages. Au commencement, avt que J ne soit précepteur

pourquoi le héros romantique est solitaire, car il est rejeté de la société, comme Moïse est exclu par le peuple juif, car il a été élu par Dieu, ce qui le place au-dessus des Juifs. Lorenzo, malgré son caractère féminin, l’Albatros, Vautrin dans le Père Goriot de Balzac, Hernani, Jean Valjean, Casimodo, personnages de Victor Hugo, Edmond Dantès dans le Conte de Monte-Christo de Alexandre Dumas, tous vivent exclus de la société, car cette dernière les rejette, n’acceptant pas leur caractères supérieurs