Le Père Sorel

qu'il convient à sa position sociale de donner un précepteur à ses enfants pour cela, il sollicite Sorel dont le plus fils Julien sait le latin. Première apparition du héros dans le roman mis en scène dans une situation qui le classe immédiatement comme un être à part. Stendhal y propose un portrait mêlé au récit qui fait de ce passage un moment important du roman. Un fils différent accent mis sur le père et ses fils c'est donc progressivement et par contraste que Stendhal fait ressortir ce qui différencie

TEXTE : En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor ; personne ne répondit. Il ne vit que ses fils aînés, espèce de géants qui, armés de lourdes haches,équarrissaient les troncs de sapin, qu'ils allaient porter à la scie. Tout occupés à suivre exactement la marque noire tracée sur la pièce de bois, chaque coup de leur hache en séparait des copeaux énormes. Ilsn'entendirent pas la voix de leur père. Celui-ci se dirigea vers le hangar ; en y entrant, il chercha vainement

description de la miniature ville de verrières. Son aisance. Portrait du maire, installé depuis 1815 : M. de rênal, propriétaire de la facture de clous. Pour regrouper ses jardins, M. de Rênal a dû parlementer endurant avec chemin de la scierie : M. sorel, père de julien. Asservissement de l'opinion à verrières. chapitre 2 : la promenade de Verrières (le Cours de la fidélité), embellie par M. entre entreprendre une rêverie idéal de l'auteur : la vue sur la offensive est somptueuse, quoique l'autoritarisme

phrase injonctive à valeur d’ordre qui marque une fois l’autorité du père et qui marque également la revalorisation du fils avec le terme « animal », on peut parler donc de gradation dans l’attitude méprisante du père envers son fils on passe de « paresseux » à « animal », l’intention du père de lui parler n’est pas vraiment significative, pas habituelle.Nous avons bien dans ces quelques lignes la description d’un monde brutal le père s’impose par la force, les coups et malgré cela Julien transgresse

vingt-cinq ans. Le Rouge et le Noir dénonce également la structure sociale de la France de l’époque, les oppositions entre Paris et la province, entre noblesse et bourgeoisie. Deuxième partie : Julien Sorel, troisième fils du vieux Sorel, se révèle très tôt doué pour les études ce qui en fait le mépris son père qui n’apprécie pas les choses intellectuelles. Si le jeune garçon bénéficie de la protection du curé de son village, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Saint-Hélène car il voue une

Dit qu’il ne doit plus voir ses amis ou famille + ne pas donner l’argent à son père + doit être mieux habillé devant les enfants et autres domestiques -> lui donne une de ses redingotes Julien impose son sérieux devant les enfants en récitant par coeur des pages de la bible en latin, tout le monde en était étonné —> le soir

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Description de la petite ville de Verrières. Son aisance. Portrait du
maire, installé depuis 1815 : M. de Rênal, propriétaire de la fabrique de
clous. Pour agrandir ses jardins, M. de Rênal a dû négocier ferme avec le
propriétaire de la scierie : M. Sorel, père de Julien. Tyrannie de
l'opinion à Verrières. Chapitre 2 :
La promenade de Verrières (le Cours de la Fidélité), embellie par M. de
Rênal, enclenche une rêverie poétique de l'auteur : la vue sur la campagne
y est somptueuse, quoique l'autoritarisme

a fait la connaissance d’Elise, laquelle est très rapidement devenu sa maîtresse au point que le petit Henri, né le 19 mars 2005, est très certainement le fruit de cette passion. Toutefois, l’enfant a été déclaré à l’état civil comme né des époux SOREL. En l’état de ces faits, il convient de répondre aux questions suivantes : comment Antoine et Elise peuvent-ils se libérer de leurs liens matrimoniaux respectifs (I) ? Comment garantir un lien de filiation entre Antoine et les deux enfants (II)

écrivit également des journaux de voyage, des critiques et des biographies. Stendhal, né Marie-Henri Beyle le 23 janvier 1783 à Paris, a grandi dans une famille qu'il appréciait peu, plus particulièrement son père. En 1790, sa mère meurt. Il reportera son affection sur son grand-père maternel, le docteur Henri Gagnon. Son précepteur l'abbé Raillane le tyrannisera, ce qui développera sa haine vis à vis de la religion. Après avoir suivi un cursus dans deux Écoles, il s'engagera dans l'armée de

Deux femmes et l’Amour dans Le Rouge et le Noir. Contrairement à Françoise Sagan, j’adore Julien Sorel. Comme personnage de roman. Il est génialement névrosé et profondément complexé par ses origines paysannes qu’il n’aura de cesse de vouloir transcender, dévoré par une ambition et un ego particulièrement développés (il a pour modèle Napoléon !). C’est le point de départ qui l’amène vers deux femmes qui constitueront l’alpha et l’oméga de son éducation sentimentale : une fois le vrai amour trouvé