Le Père Sorel

à « la destinée de Napoléon ». La nature est présente tout au long du texte, avec notamment les « bois de Vergy », dans lesquels Julien se promène régulièrement et trouve une consolation. De plus, il est notable que, plusieurs fois, lorsque Julien Sorel a des décisions importantes à prendre ou qu’il est assailli de doutes, il passe « une soirée à la campagne », chez un ami qui le réconforte et le conseille, tout autant que paraît le faire la rupture avec la vie mondaine. Finalement, on remarque le

…………………………… Le Rouge et Le Noir de Stendhal 1. Déterminer l’organisation générale du roman. Le livre est divisé en deux. Ces deux parties sont similaires. Elles représentent la division en deux grandes parties de la vie de Julien Sorel. La première se passe à la campagne chez M. Le Maire, où il vit une histoire d’amour avec Mme de Rénal et la deuxième à Paris, chez M. de la Mole où il tombe « amoureux » de sa fille, Mathilde de la Mole dont la situation sociale sert son ambition

Le rouge et le noir de Stendhal Personnages principaux M de Rênal Le vieux Sorel Julien Sorel M Valenod M le vicaire Maslon L’abbé Chélan Mme de Rênal M Appert M Noiroud Fouqué Stanislas-Xavier de Rênal Elisa Mme Derville M de Moirod M de la Mole Falcoz Mme Valenod M le grand vicaire de Frilair Amanda Binet M Pirard L’abbé Castanède Chazel L’abbé Chas-Bernard La marquise de Rubempré Géronimo M le comte Norbert de la Mole Mme la marquise de la Mole Mlle Mathilde de

vraiment se trouver. Stendhal a publié Le Rouge et le Noir en 1830. Ce roman est sombre, violent. Il dévoile une société encore traumatisée par la Révolution... L'histoire: Julien Sorel, fils de charpentier a dix-neuf ans. D'origine modeste, sa condition le prédestine aux travaux de force. Mais Julien Sorel, avide d'ambitions, rêve de gloire et s'évade dans la littérature. Il s'y découvre une passion pour Napoléon et se verrait bien épouser une carrière militaire. Mais sur les conseils de l'abbé

le narrateur dépeignait la réalité sans qu’elle soit idéalisée, était perçue comme banale et vulgaire. Le XIXe siècle va donner ses lettres de noblesses au réalisme qui mélangera l’ironie et le sérieux. Stendhal, communément reconnu comme étant le père du réalisme, a éprouve dés son adolescence le besoin d’ « être soi », impliquant l’énergie, la révolte et l’analyse quotidienne de ses sentiments tout en atteignant le bonheur et la liberté. Comme nous l’avons vu, dès 1801, il tient son Journal pour

chartreuse de parme, Stendhal Fabrice Del Dongo Illusions perdues, Balzac  Lucien de Rubempré Madame Bovary, Flaubert Un amour de Swann, Proust Le bruit des trousseaux, Philippe Claudel La dame pâle, Victor Hugo Le rouge et le noir, Stendhal  Julien Sorel Les misérables, Victor Hugo  Jean Valjean Eugénie Grandet, Balzac Vous les entendez ?, Nathalie Sarraute Stupeurs et tremblements, Amélie Nothomb Bel Ami, Maupassant  George Duroy Le Horla, Maupassant Tous les matins du monde, Pascal Quignard Les

Maria Juliana Gambogi Teixeira Daniel Rochebois Quintão Belo Horizonte 2010 Julien Sorel « Incedo per ignes »[1] Julien Sorel. Pour dresser un portrait de Julien Sorel, héros du roman Le Rouge et le Noir de Stendhal (de son vrai nom Marie-Henri Beyle, né le

il écrit La Chartreuse de Parme en 1839. Il sera reconnu après sa mort pour sa sensibilité et ses écrits. 
Le Rouge et le Noir décrit l’ascension sentimentale et sociale d’un jeune paysan ambitieux et arriviste. 
II - Résumé de l’œuvre 
Julien Sorel est un charpentier de 19 ans parlant couramment le latin et connaissant la bible par cœur grâce au curé Chélan. Il entre comme précepteur chez M. de Rênal, maire de la ville de Verrières. Il fait son éducation sentimentale en séduisant Mme de Rênal

retrouvèrent Gaspard Hari, son fidèle compagnon. Mais dans les romans, n’y a-t-il pas une part de vérité, de réalisme ? Oui, les romans ne peuvent pas être que de la fiction. On peut avoir une évolution du personnage au fil du roman comme dans Le Père Goriot de Balzac. C’est un roman d’apprentissage qui met en scène un personnage, Eugène de Rastignac, qui est au début du livre, jeune et sans expérience. C’est un provincial qui arrive à Paris pour y faire ses études. Il va se laisser gagner par l'ambition

la terrible voix de son père. Enfin, malgré son âge, celuici sauta lestement sur l'arbre soumis à l'action de la scie, et de là sur la poutre transversale qui soutenait le toit. Un coup violent fit voler dans le ruisseau le livre que tenait Julien ; un second coup aussi violent, donné sur la tête, en forme de calotte, lui fit perdre l'équilibre. Il allait tomber à douze ou quinze pieds plus bas, au milieu des leviers de la machine en action, qui l'eussent brisé, mais son père le retint de la main gauche