Le Père Sorel

l’arrivisme d’une nouvelle classe sociale : la bourgeoisie. Stendhal relate l’itinéraire de son héros Julien Sorel, qui à travers ses conquêtes sentimentales parviendra à gravir les échelons de la société. Ce roman met donc en scène deux aspirations : d’une part la réussite sociale et d’autre part, l’amour. Nous sommes ici au chapitre VI du début du roman. Monsieur de Rênal a engagé Julien Sorel, fils de charpentier de la petite ville de Verrières, en qualité de précepteur de ses enfants. Ce passage

lecture est un moyen de divertissement puis nous verrons que pour d’autre la lecture est une perte de temps. Les personnages des trois premiers extraits s’adonnent à la lecture pour fuir un quotidien trop banal. Julien travaille dans le hangar de son père. Mais il n’est pas fait pour ce métier car il n’a pas les capacités physique « il eût peut-être pardonné sa taille mince, peu propre aux travaux de forces » de plus il étudie le latin pour devenir prêtre. Pendant ces heures de travail il préfère lire

parallèle à l'histoire du livre, où ils se répondent les uns aux autres, et parfois mettent en valeurs certaines phrases du texte (ils sont souvent sous-titrés d'une phrase extraite du texte). Le Rouge et le Noir de Stendhal Résumé Julien Sorel, fils de charpentier, acquiert une solide culture grâce à une mémoire prodigieuse qui lui permet d’apprendre par cœur l’Ancien testament. Son modèle personnel autant que confidentielle (monarchie oblige) est Napoléon Bonaparte, qui lui fait rêver d’une

Pistes de travail Perspectives d'études .........................................................................................................…. 35 ANALYSE DE L'ŒUVRE LECTURES ANALYTIQUES LIVRE I CHAPITRE IV De « En approchant de son usine, le père Sorel... » à la fin du chapitre, p. 24 à 26 Ce passage permet d'étudier la technique du portrait et la présentation du héros. Opposant le discours direct d'un personnage au silence et au monologue intérieur de l'autre, il permet aussi de faire le point

 Stendhal, de son vrai nom Henri Beyle est né à Grenoble le 23 Janvier 1783. Son père est avocat et son grand père un médecin talentueux. Il perdra sa mère à l'âge de 7 ans ce qui aura des conséquences dramatique car il ne possède pas d'affinité avec son père et son précepteur, il va se révolter contre toutes personnes susceptibles de l'éduquer (son père, sa tante, son précepteur...). Il trouvera ensuite refuge avec son grand-père qu'il adore, ainsi que dans la littérature. En 1799 il part étudier à Paris

Sorel Julien : héros. Aaaaah Juju (1) ... [soupir attendri, affectueux et désolé] De Rênal, madame : malheureuse. Pauvre tendre belle dame riche (2). "Madame de Rênal paraissait une femme de 30 ans mais encore assez jolie" (chapitre II) De Rênal, monsieur : Ciel, son mari ! (3) De Rênal, les enfants : enfants. Elèves de Julien. Ils aiment bien leur jeune professeur. L'un d'eux se prénomme Stanislas-Xavier et d'ailleurs il tombe malade ; même que ça fout le bazar entre Juju et sa

de voir et de penser le monde, elle appelle cela « l'empreinte cognitive ».   Pourquoi est-il nécessaire qu'une génération existe ?   Tout d'abord pour s'affirmer, dans « Lettre au Père » Franz KAFKA explique que ses goûts, ses amitiés et même ses projets de mariage ont été déterminés par le jugement de son père, il a donc rompu les contacts avec ce dernier pour enfin être en mesure de s'affirmer. Sigmund FREUD dans « Introduction à la psychanalyse » nous dit que pour s'identifier une génération

Fervaques commençait à en être occupée ; mais une chose la désolait : Quel dommage que M. Sorel ne soit pas décidément prêtre ! On pourrait l’admettre à une sorte d’intimité ; avec cette croix et cet habit presque bourgeois, on est exposé à des questions cruelles, et que répondre? Elle n’achevait pas sa pensée : quelque amie maligne peut supposer et même répandre que c’est un petit cousin subalterne, parent de mon père, quelque marchand décoré par la garde nationale. Jusqu’au moment où elle avait vu Julien

Stendhal, Le Rouge et le Noir, « Cette lettre extrêmement longue […] elle tomba. », livre II, chapitre 35 INTRODUCTION Julien Sorel a été nommé lieutenant de hussards, ce qui est concrétise sa réussite sociale. Il a atteint la stabilité amoureuse grâce à Mathilde de La Mole, enceinte, et qui a obtenue les terres de son père. Mais Monsieur de La Mole reçoit une lettre de dénonciation de la part de Madame de Rênal, Julien y parait comme un être dangereux et séducteur. Cette lettre aura deux effets

divise en deux livres, l’un consacré à la vie de Julien en province à Verrières puis à Besançon (trente chapitres), et l’autre portant sur Julien depuis son arrivée à l’hôtel de la Mole (quarante-cinq chapitres). Bref résumé du roman : Julien Sorel, fils de charpentier, acquiert une solide culture grâce à une mémoire prodigieuse qui lui permet d’apprendre par cœur l’Ancien testament. Son modèle personnel autant que confidentielle (monarchie oblige) est Napoléon Bonaparte, qui lui fait rêver d’une