Le Père Sorel

dans la maison de son grand-oncle maternel, Louis Weil, au 96, rue La Fontaine. Sa mère, née Jeanne Weil, fille d'un agent de change d'origine alsacienne, lui apporte une culture riche et profonde. Elle lui voue une affection parfois envahissante. Son père, le Dr Adrien Proust, fils d'un commerçant d'Illiers (en Eure-et-Loir), professeur à la faculté de Médecine de Paris après avoir commencé ses études au séminaire, est le premier grand hygiéniste français, conseiller du gouvernement pour la lutte contre

prémices puis l’épanouissement de l’amour entre Julien Sorel et Mme de Rénal. Mme de Rénal est en effet la seule femme que Julien aimera vraiment tout au long du roman. C’est cette femme qui va lui permettre de s’élever socialement, c’est elle qui va lui apprendre les règles à respecter en société. Elle sera la première a l’appeler Monsieur, La première a être douce et tendre avec lui, qui a vécu toute son enfance entre le joug d’un père violent et des frères qui le considéraient comme leur souffre

concurrence à l’état civil » et écrire « l’histoire […] des moeurs ». Si l’on assigne au roman cette mission, il devient logique de gommer le plus possible les traces de fiction dans les personnages créés : en leur donnant un nom – Mme Vauquer dans Le Père Goriot –, un milieu et un décor minutieusement calqués sur la réalité – une pension comme il y en avait beaucoup à Paris –, une existence sociale, le romancier fait son oeuvre de « peintre de la réalité ». Le roman se lit alors comme un témoignage

Chapitre 1 : Présentation de Verrières, petite ville de Franche-Comté. Chapitre 2 : En 1830, son maire est l’ultraroyaliste M. de Rênal. Chapitre 3 : Le curé est le vieil abbé Chélan. M. de Rênal décide d'engager comme précepteur de ses enfants Julien Sorel, le fils d’un charpentier. Chapitre 4 : Présentation du charpentier et de Julien, jeune homme instruit par de nombreuses lectures et qui, nourri des rêves napoléoniens, aurait voulu devenir soldat, mais qui, par ambition, se destine à l’état ecclésiastique

d'Espagne, avec la traduction du Don Quichotte en 1614-1618. La première version, très audacieuse, de l'Histoire comique de Francion, de Charles Sorel, paraît en 1623, période où règne encore une grande liberté de parole ; mais en quelques mois, tout change : Théophile de Viau est jeté en prison, les libertins sont pourchassés... en 1626 et 1633, Sorel publie de nouvelles versions, bien plus sages. La version de 1623 ne nous sera restituée qu'en 1924 • Le roman héroïque :Il est incarné par les

Grenoble en 1783 et est mort à l’âge de 59 ans à Paris. C’était un grand écrivain français qui a marqué le XIXe siècle par ses romans à la fois romantiques et réalistes. Sa mère étant décédée, il a eu une enfance assez difficile. Il a été éduqué par son père autoritaire et mesquin et un prêtre tyrannique. De plus il n’avait pas beaucoup d’amis. Il était passionné par l’Italie, l’art de vivre, la peinture la musique, les paysages,… C’est pourquoi il a beaucoup voyagé entre Paris et Milan. Pour commencer

être un modèle ou représenter un idéal. Tout comme le personnage de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal qui représente un idéal par son destin exceptionnel. Il est avant tout un héros romantique, beau, porté sur sa jeunesse, son ambition et son sentiment amoureux, avant de devenir ''rebelle'' et accomplir son destin tragique. Un personnage hors du commun peut aussi être un personnage merveilleux comme (le père) dans Toutes ces choses qu'on ne s'est pas dite de Marc Levy. Ce personnage

Zola, texte D (§ 2) - son portrait : exemples, Mme Vauquer dans Le Père Goriot, Julien dans Le Rouge et le Noir, Mme de Clèves dans La Princesse de Clèves ou P. A. Destinat dans Les âmes grises. - son histoire et son évolution : par exemple, tous les romans d’éducation, comme Une Vie de Maupassant, qui relatent soit une réussite comme celle de Duroy dans Bel Ami soit une déchéance comme celle de Gervaise dans L’Assommoir ou du Père Goriot dans le roman de Balzac. - son histoire amoureuse : par exemple

et on decouvre que le père est un ... 2-> Phrase + un petit bout de dialogue (grâce ausx tiret ) 3-> 3eme perss.sing prise en cahrge oar un narrateur . il s'agit d'un narrateur externe Ligne 1 à 6 = point de vue externe ( vue de l'exterieure ) ligne 6 à 10 = point de vue omniscient ligne 11 à 23 = point de vue externe ligne 24 à 27 = point de vue omniscient Marque de subjectivité : " voix de stendor " jugement défavorbale superlatif = degrés superieure l.7 son père ne sait pas lire = bête

Julien Sorel, le fils d’un simple scieur, devient le précepteur des enfants de M. de Rênal, le maire de Verrières. Le succès de Julien auprès de ses élèves, et auprès de Mme de Rênal surtout, les soirées sous le tilleul, la stratégie amoureuse du jeune homme, finissent par éveiller des soupçons. Pour faire taire les rumeurs, Julien doit quitter son amante et sa position. Grâce à ses talents brillants au séminaire, Julien obtient une place de secrétaire à Paris auprès du marquis de la Mole. De