Le Père Sorel

du juge Othon. Le premier résultat sera tout entier négatif, puisqu’il n’aura servi qu’à prolonger les souffrances de l’enfant. Mais en véritable savant, Rieux refuse le découragement, l’humiliation et l’abandon devant un mystère comme le suggère le père Paneloux. Il se remettra au travail, et quelques mois plus tard un nouveau sérum sera mis au point, qui commencera à sauver des vies. Mais il constate avec modestie que le recul de la peste provient davantage de l’évolution interne du fléau que de

d'une même éthique supra ou extra-humaine. Le « héros de roman », par contre, obéit à la loi du changement. Il suit un itinéraire jalonné d'obstacles ou de conflits qui le modifient, sinon le transforment. Au terme de leur aventure, Rastignac, Julien Sorel, Raskolnikov, Emma Bovary, Lord Jim ne sont plus les mêmes êtres qu'à son début. I - Les aspects de la personne La variance, les accidents, les détours qui caractérisent l'existence des personnages romanesques ont une cause sociologique profonde

maison de son grand-oncle maternel, Louis Weil, au 96, rue La Fontaine. Sa mère, née Jeanne Weil, fille d'un agent de change juif d'origine alsacienne, lui apporte une culture riche et profonde. Elle lui voue une affection parfois envahissante. Son père, Adrien Proust, fils d'un commerçant d'Illiers (en Eure-et-Loir), professeur à la faculté de Médecine de Paris après avoir commencé ses études au séminaire, est le premier grand hygiéniste français, conseiller du gouvernement pour la lutte contre les

personnage de Rastignac dans « Le Père Goriot » d’Honoré de Balzac. Ce héro qui commence au plus bas a envie d’atteindre le beau monde parisien et de faire fortune. Il a beaucoup d’ambition et peu à peu il commence à être invité à des soirées mondaines. Il rencontre les filles du père Goriot, de grandes aristocrates. On lit au fil du roman, toutes les étapes qu’il traverse pour avoir ce qu’il souhaite. Puis, lors des dernières lignes, après l’enterrement du père Goriot lance à Paris « A nous deux

Stendhal nous peint la société française de la République , régime monarchique sanctionné par les journées révolutionnaires appelées trentes glorieuses de juillet 1830. Le SUJET du roman: Résumez en quelques lignes l'intrigue du roman: Julien Sorel à l'âge de 19ans, désirs d'épouser une carrière militaire. Dans un premier temps il tombe sous le charme de Mme de Rénal, et devient son amant. Un soir une lettre anonyme adressée à M de Rênal dénonce cet adultère. Le mari, trompé dans une colère,

lieu en lieu et il se plait à voir du pays. Cependant il confie à Angélina qu’il n’est jamais rester aussi longtemps a une place que son séjour au Chenal du Moine. Il en découle donc que Venant à trouver une vie qu’il aimait bien sur la terre du père Didace. De plus, le Survenant, malgré qu’il soit un voyageur sans attache ni famille, affirme, lors d’une discussion avec monsieur Beachemin qu’il n’y a rien de mieux que d’avoir une terre a soit, de ne rien devoir dessus et d’avoir des

Poète, romancière et nouvelliste québécoise, Élise Turcotte née à Sorel en juin 1957 est récompensée à plusieurs reprises pour ses œuvres dont en 1989 avec le prix Émile Nelligan et en 1992, avec le prix Louis-Hémon. L’île de la merci son œuvre paru en 1997, traite d’un sujet plutôt tabous dans notre société qui est le suicide. Malgré ce côté tabous, l’auteur mène le sujet avec une grande adresse qui nous permet d’énormément apprécier le roman. Racontant l’histoire d’une famille prise dans le silence

partant du même principe, il est possible d’établir quelque rapprochement entre la vie d’Aragon et celle du personnage éponyme de son roman. L’auteur a vécu des turbulences majeures au sein de sa famille, de même Aurélien est persuadé que son père n’est pas son père et que ce dernier a tué sa mère. Nous pouvons par ailleurs établir une relation entre Paul Denis et Aragon puisque dans sa jeunesse, Aragon a participé au dadaïsme. De plus, Aragon dit lui-même qu’Aurélien est à la fois une part de lui

aventures de Julien Sorel. « Un roman est un miroir qu'on promène sur une grande route » Le rouge et le noir, Stendhal, 1830 Eugénie Grandet est un roman de Balzac publié en 1834, qui narre les aventures de la famille Grandet, sur fond de Révolution de Juillet. Le roman fait partie de la grande série de Balzac, La comédie humaine, qui comprend cent-trente-cinq œuvres réalistes relatant les histoires de personnages qui reviennent au fil des romans et des nouvelles (comme Rastignac ou le père Grandet par

rationalisme des philosophes. Au début de XIXe siècle, Chateaubriand, dans les Mémoires d'outre-tombe ou dans René, évoque déjà l'insatisfaction des futurs romantiques. Mais ceux-ci voient plutôt en Goethe (écrivain et poète allemand, 1749-1832) leur père spirituel et considèrent Les Souffrances du jeune Werther (1774) et les Affinités électives (1820) comme de purs chefs-d'œuvre romantiques. II- Les caractéristiques du romantisme 1. Le « moi » Refusant le modèle de la littérature classique