Le Rap Marocain

appris Tu es bien le seul que j’oublie Telle l'étoile fidèle à la nuit Je n’oublierai Jamais mon pays Jamais mon pays Refrain ! LE RAP: Le rap est né aux Etats-Unis à la fin des années 70. Il s’agit d’un genre musical qui associe à un côté festif un fort caractère d’engagement social et de contestation. En France, c'est avec l'apparition des radios libres que le rap commence à 25 être diffusé sur les ondes. Il s’affirme comme un espace de critique et de contestation sociale qu’investissent

les objectifs généraux et les objectifs opérationnels (les missions) de ces services : Source : L. Guérin-Schneider, Thèse sur la régulation des services de l’eau, 2001, ENGREF, France Tel qu’il est aujourd’hui mis en place dans l’administration marocaine, le suivi de la performance prend appui sur les éléments de ce genre existant pour chaque champ d’intervention. Il les synthétise, les met en cohérence et, au besoin, les complète, afin d’apporter une vision forte et équilibrée des orientations,

sein de l'OCPTT. Juin 1956 : Institution de la commission consultative des émissions arabes de la Radiodiffusion marocaine. Juillet 1961 : Rattachement du service de la Radiodiffusion au Ministère de l'Information, des Beaux-Arts et du Tourisme, en lui attribuant le nom de la RTM, avec capacité juridique et autonomie financière. Octobre 1966 : Promotion de la Radiodiffusion marocaine en un établissement public, doté de la personnalité civile et de l'autonomie financière. Janvier 1968 : La RTM redevient

parisienne,créateur franco-malien de vêtements de sport et de rue (sporstwear et streetwear), fondateur de la marque M.Dia. Après une jeunesse vécue à Sarcelles, au milieu des années 1990 il crée des prototypes de vêtements portés par des chanteurs de rap,des collectifs Secteur Ä et Ministère Amer. Régulièrement promu modèle de réussite pour les jeunes de banlieue par plusieurs magazines français (dont l'émission Capital), il signe en 2001 un accord de licence avec la NBA américaine, dont les principaux

où sa mère tient une librairie et son père travaille à l’hôpital. El Général n’avait même pas été repéré sur la scène du rap tunisien, dominée par des artistes comme Balti, Lak3y, Armada Bizerta ou Psyco M. Une scène en proie aux habituelles rivalités internes et éclipsée par celles, bien plus prolifiques, des raps marocain et français. El Général Lebled : la relève du rap tounsi (Adieu Balti)

de gamme - se porte désormais combiné avec des marques purement hip-hop. La fin des années 80, avec l’arrivée massive en France, du fameux genre musical américain le rap, il constitue un des facteurs importants de l’identification et la reprise de la marque Lacoste par les jeunes de banlieue. En effet, de nombreux groupes de rap - surtout parisiens - s’habillent en Lacoste que ce soit dans les clips musicaux ou dans la vie de tous les jours. Les rappeurs ont donc servi de levier « involontaire »

tentent de s’établir entre la redécouverte de sa propre histoire, de ses propres traditions et le désir d'être dans un monde qui construit chaque jour une nouvelle modernité. . On note dans les deux cas la référence à un art typiquement algérien ou marocain, en particulier à travers l’artisanat d’art mais aussi des tentatives de se réapproprier des formes culturelles sur la base d’une personnalité nationale. Faut-il pour autant en conclure que ces villes n’aspirent qu’à être des capitales modernes et

i re marocain est occupé par l’homme depuis la préhistoire comme en témoignent les grav u res rupestres des sites de l’anti-Atlas, du Tafilelt et de l’Atlas. Mais, ce n’est qu’à partir du Ve siècle avant JC que les auteurs antiques rapportent des témoignages sur les traditions et les modes de vies rencontrés par les Phéniciens lorsqu’ils fondèrent des comptoirs sur ses côtes méditerranéennes et atlantiques (Lixus, Mogador, Sala). Les Romains ont fait du Nord de l’actuel territoire marocain une

plaines occidentales et le Haut-Atlas ; les Sanhadja, chameliers dans le Sahara occidental ou transhumants dans le Haut et le Moyen-Atlas ; les Zenata, nomades du Maroc oriental. Les grandes dynasties berbères constituèrent les premiers royaumes marocains, et bâtirent les premières grandes villes. Sous l'influence des Arabes, les Berbères se convertirent à l'Islam au VIIe siècle, mais gardèrent un esprit fort d'indépendance qui se manifeste dès le VIIIe siècle par le succès de l'hérésie kharidjite

américaine qui disposait d’un cantine à la ville de Tanger, Casablanca, Fès, Oujda, Marrakech, Agadir, et Rabat. En terme d’investissement, la société COCA COLA a contribué, en 1999, à hauteur de 1,3 milliards de dirhams aux recettes de l’état marocain, soit 1,4 % du total des recettes ; plus de 70.000 emplois dépend de l’activité de Coca Cola au Maroc, soit 0,7 % de l’emploi total du secteur privé ; par ailleurs 72 % de détaillants interrogés affirment que la vente des produits Coca Cola est