Le Rapport De Beveridge

l’Autriche-Hongrie. Mais on se détend en 1900 par les accords franco-italiens car Empire Austro-Hongrois proche de la Fr, dc améliore les rapports. On voit bien que l’impérialisme aurait pu conduire à des affrontements. Mais on privilégie intérêts européens sur les positions à l’ext, en Af, Asie. On est prêt à des compromis. Texte sur l’impérialisme : Sénateur Beveridge (USA) est en faveur d’une expansion commerciale car l’Amérique produit trop pr son marché intérieur et ne se dvp pas a l’international

sous réserve qu’il laisse en dépôt 10% des titres qu’il a acquis. Les Anglais à la Conférence de Gênes essaie bien de fixer des cadres à cette économie chancelante, en mettant en place le Gold Exchange Standard (toutes les monnaies sont définie par rapport au cours de l’or, valeur refuge, et de la livre). Depuis l’été le cours des valeurs de matières premières industrielle chute, les secteurs de la mécanique et de l’automobile sont en crise, et les ordres de vente se multiplient. La banque Morgan essaie

donc création d'une structure adapté au monde politique, cela est confirmé par le fait que les députés travailliste vont s'autonomiser, ils appartiennent désormais à un monde différent qui a ses propres règles et ils intègrent cette différence par rapport aux syndicalistes qu'ils ont été, il s'adapte aux rites et institutions du monde politique et intègre leurs règles du jeu. Petit à petit, ces députés vont ressembler au autre acteurs du jeu politique Cela va crée des tensions au sein de ce parti

pays en terme de population Allemagne, France, Royaume Uni disposent de 29 voix, l’Espagne en a 27, Malte dispose de 3 voix car c’est le plus petit pays…). Si on fait le rapport entre les voix de l’Allemagne et celles de Malte, cela donne 29/3 : l’Allemagne à 9,7 fois plus de voix que Malte, il faut comparer ce rapport au rapport de population soit 82 000 000/400 000= 200 : l’Allemagne a donc 200 fois plus de population que Malte. On pourrait penser que les plus petits pays ont plus de voix que les

néo-classique reste une vision micro- économique basé sur l’hypothèse de «l’homo-économicus» autrement dit l’individu est rationnel et capable de faire des choix, il a une fonction objective qui est de maximiser sa satisfaction en minimisant sa peine (rapport qualité- prix). Dans ce cas là l’intérêt général se définit comme pour les classiques par la somme des intérêts individuels. Pour Walras, une économie est en équilibre lorsque sur tous les marchés (des capitaux, du travail, des B et S) il y a égalité

étatique jusque dans les années 1980, puis stabilisation dans les années 1990 Jusqu'au années 80, en pleine période de crise, le progression des dépenses publiques continue. Mais cette progression est stoppé dans les années 90. On peut voir que le rapport des dépenses publiques avec le PIB sont tout de même bien différent suivant les pays (38,6% au Japon, 35,6% aux Etats-Unis, 54% en France, en 2002). Cependant il faut nuancer ces différences, du fait de problèmes de comparaison international et de

pour ce prémunir du risque de la vie. Ces encaisse ont tendance à croitre avec l'augmentation du niveau des revenus. Elles échappent donc à la demande par conséquent les dépenses se réalise que si le risque se réalise. C'est l'un des arguments de Beveridge pour la mise en place d'une sécurité sociale en Angleterre, car elle permet de limiter ses épargne de précaution (Etat providence). Troisièmement, les encaisses de spéculation, elles sont constituer afin de réaliser des plus value. Elles échappent

théorie générale et la théorie classique effectuée par John Hick. Plus tard il revient sur son acceptation de l’égalité entre le salaire réel et le produit marginal physique du travail. Il réaffirme, le rôle que doit avoir l’état dans l’économie par rapport à la parution de «la Route de la servitude » de Hayek en 1944 où l’auteur dénonce le socialisme et la planification. Keynes se pose alors comme défenseur de la planification économique et craint les dérives que peuvent avoir de telles thèses, notamment

organisations • Tout marché est une forme d’organisation des relations entre les agents économiques dont une des caractéristiques essentielles est que les transactions s’y font sur la base du système de prix. • Quels sont les avantages du marché par rapport à d’autres types d’organisations ? Exemple : l’entreprise au sein de laquelle l’échange se fait sans l’intermédaire d’un système de prix. • Pourquoi le marché subsiste-t-il ? Pourquoi ne disparaît-il pas au profit d’une système planifié centralement

prélèvements, l’inverse de ce qu’on a en France, on a un prélèvement beaucoup + fiscal. En Estonie les cotisations sociales représentent quant à elle 80% des prélèvements. Les systèmes Bismarckien : système de financement par cotisations. Les systèmes Beveridge : financement plutôt fiscal. 3 grandes questions peuvent intéresser l’économiste et qui donnent lieu à des débats Question 1 : Débat sur la progressivité des prélèvements obligatoires en France Le financement de la PS peut être considéré comme