Le Rat Et L Huitre Fontaine

camarade, et, d'un ton cordial et familier : " Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu'il te faut ; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine. " Duroy, troublé, ramassait l'argent en balbutiant : " Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n'oublierai pas... " L'autre l'interrompit : " Allons, c'est bon. Encore un bock, n'est-ce pas ? " Et il cria : " Garçon

ancien camarade, et, d'un ton cordial et familier: "Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu'il te faut; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine." Duroy, troublé, ramassait l'argent en balbutiant: "Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n'oublierai pas… " L'autre l'interrompit: "Allons, c'est bon. Encore un bock, n'est-ce pas?" Et il cria: "Garçon, deux bocks!" Puis

sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis ; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet ; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire l'air chaudement fétide sans en être écœurée. Sa figure fraîche comme une première

ancien camarade, et, d'un ton cordial et familier: "Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu'il te faut; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine." Duroy, troublé, ramassait l'argent en balbutiant: "Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n'oublierai pas… " L'autre l'interrompit: "Allons, c'est bon. Encore un bock, n'est-ce pas?" Et il cria: "Garçon, deux bocks!" Puis

camarade, et, d’un ton cordial et familier : – Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu’il te faut ; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine. Duroy, troublé, ramassait l’argent en balbutiant : – Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n’oublierai pas... L’autre l’interrompit : – Allons, c’est bon. Encore un bock, n’est-ce pas ? Et il cria : Garçon, deux bocks ! Puis

camarade, et, d’un ton cordial et familier : – Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu’il te faut ; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine. Duroy, troublé, ramassait l’argent en balbutiant : – Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n’oublierai pas... 24 L’autre l’interrompit : – Allons, c’est bon. Encore un bock, n’est-ce pas ? Et il cria : Garçon, deux bocks

sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire l'air chaudement fétide sans en être écoeurée. Sa figure fraîche comme une première

sous lequel pend un tour de faux cheveux mal mis ; elle marche en traînassant ses pantoufles grimacées. Sa face vieillotte, grassouillette, du milieu de laquelle sort un nez à bec de perroquet ; ses petites mains potelées, sa personne dodue comme un rat d'église, son corsage trop plein et qui flotte, sont en harmonie avec cette salle où suinte le malheur, où s'est blottie la spéculation et dont madame Vauquer respire l'air chaudement fétide sans en être écoeurée. Sa figure fraîche comme une première

camarade, et, d’un ton cordial et familier : « Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu’il te faut ; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine. » Duroy, troublé, ramassait l’argent en balbutiant : - 14 - « Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n’oublierai pas… » L’autre l’interrompit : « Allons, c’est bon. Encore un bock, n’est-ce pas ? » Et il cria : « Garçon

camarade, et, d'un ton cordial et familier : - Tu me rendras ça quand tu pourras. Loue ou achète au mois, en donnant un acompte, les vêtements qu'il te faut ; enfin arrange-toi, mais viens dîner à la maison, demain, sept heures et demie, 17, rue Fontaine. Duroy, troublé, ramassait l'argent en balbutiant : - Tu es trop aimable, je te remercie bien, sois certain que je n'oublierai pas... L'autre l'interrompit : - Allons, c'est bon. Encore un bock, n'est-ce pas ? Et il cria : Garçon, deux bocks ! Puis