Le Rejet De La Démocratie Libérale 1930

l’instauration d’un régime démocratique. Aussi, à la veille de la Première Guerre Mondiale, l’Europe voit-elle émerger la première démocratie substantielle au monde ? La Grande-Bretagne a effectivement connu un élan démocratique remarquable entre 1850 et 1914. Toutefois, à l’aube de la Première Guerre mondiale, le régime politique britannique n’est toujours pas une démocratie sticto sensu. I/ De 1850 à 1914, la Grande Bretagne est animée par un élan démocratique remarquable… Le bipartisme britannique

GRANDS MODÈLES IDÉOLOGIQUES Introduction Dossier documentaire (manuel Nathan 2008) Un modèle possède des caractéristiques spécifiques qui le rendent immédiatement reconnaissable. Il est imitable, il peut donc être reproduit. Il peut aussi être rejeté. L’idéologie définit les idées politiques, la conception de l’organisation économique et sociale, la production culturelle d’un pays. Elle forme un projet de société. Les États-Unis comme l’URSS considèrent que leur projet de société est le meilleur

(Europe occidentale essentiellement) Séance 1 et 2: Les démocraties libérales avant 1914 Séance 3 : Les démocraties en guerre (exposés possibles : la mobilisation extrême des combattants ; la propagande de guerre ; la mobilisation économique) Séance 4 : La fragilité des démocraties dans l’Entre-deux-guerres: la fascination pour les extrêmes (exposés possibles : critique et remise en cause de la démocratie) Séance 5 : Réflexions sur les totalitarismes (exposés possibles : résistances

mondialisation et du capitalisme qui revendique un ensemble de valeurs humanistes (comme la démocratie, la justice économique, l'autonomie des peuples, la protection de l'environnement et les droits humains fondamentaux).En France, ceux qui font partis du mouvement sont en général, les communistes mais ce n'est pas parce qu'on est communiste que l'on appartient forcement au mouvement, il-y-a également les anti-libéraux et les nationalistes avec les partis d'extrême droite. La naissance du néolibéralisme

signés par la France, la Grande-Bretagne et l'Italie avant le 6 avril 1917 : le traité de Londres (26 avril 1915), l'accord de Saint-Jean-de-Maurienne (19 avril 1917), les accords Sykes-Picot (4 mars et 16 mai 1916). Ces traités sont absolument rejetés par Wilson qui dénonce la persistance des rivalités et des ambitions nationales ayant causé la guerre. Les grandes puissances européennes sont également divisées. La stratégie française apparaît contradictoire. Clemenceau est convaincu que le danger

les années 1950 et au début des années 1960 : entre attraction et rejet 1ère partie Quatre documents (un texte, une chanson et deux affiches) émanant de sources occidentales ou soviétiques illustrent l’influence exercée par chacun des deux modèles dans les années 1950 et 60 à l’époque où ils sont à leur apogée. Les EU et l’URSS provoquent des sentiments très contrastés : soit ils fascinent les populations, soit ils sont rejetés pour leurs défauts. 1. L’ensemble documentaire nous conduit

améliorations des conditions de travail. Dès la fin du XIX ème siècle, les ouvriers et salariés sont concernés par un système d’assurance sociale. Ce qui fait de l’Allemagne ,un pays précurseur . A cela , il faut ajouter le syndicalisme chrétien qui rejette la lutte des classes et prône la concertation , les œuvres charitables des églises, et le paternalisme patronal qui chacun à sa manière entendent améliorer le sort de la CO sans pour autant lui donner les moyens de sa propre émancipation. 1.3 Les

prend corps au cours de la Révolution et va dominer dans la pratique à l'époque de la Montagne et au travers la Constitution de 1793. - Le conservatisme: rejet total ou partiel de la Révolution ou rejet catégorique ou relatif de l'héritage révolutionnaire. Partie I : LES LIBERALISMES Origine du mot « libéralisme »: substantif libéral a enrichi le politique dans les 1eres années de la Restauration (1814) suivi par le mot libéralisme. Le libéralisme = courant d'idée qui tend à l'instauration

Sur le plan politique, le 20ème a été marqué par la très lente progression des idées démocratiques issues de l'ère des Lumières du 18ème siècle. La démocratie a été ainsi imposée aux pays vaincus en 1945 (Allemagne, Japon), disséminés avec plus ou moins de succès dans les pays colonisés et étendus au pays du bloc soviétique. La démocratie est néanmoins restée relative durant tout le siècle et demeure toujours un combat perpétuel même dans les pays dans lesquels elle semble fermement établie

comparable à celle de Bismarck. C'est avant tout l'empereur qui gouverne. À l'intérieur, avec des moyens moins violents, le Kaiser – comme on désigne l'empereur d'Allemagne et en particulier Guillaume II – poursuit sans succès la lutte contre la social-démocratie, qui, en 1910, est le parti le plus nombreux au Reichstag. Dans les provinces polonaises, le gouvernement tente une germanisation forcée ; en Alsace-Lorraine, il applique une politique tantôt répressive, tantôt conciliatrice. Une politique étrangère