Le Républicain lorrain

très vite part aux événements qui conduisent à la destitution de Napoléon III, d’abord en tant que maire de Montmartre en 1870, puis comme député radical de l’Assemblée nationale. Il milite avec d’autres parlementaires contre l’annexion de l’Alsace-Lorraine par l’Allemagne et abandonne son siège pendant la Commune. Dirigeant du Parti radical Conseiller municipal, puis président du Conseil municipal de Paris en 1875, il est élu député du XVIIIe arrondissement de Paris en 1876. Le « programme

défendu leur capitale contre les Prussiens, s’estiment trahis. Epuisés par quatre mois de siège, ils refusent l’armistice, considéré comme une capitulation de la nouvelle Assemblée à majorité monarchiste. Les mesures prises par celle-ci, que les républicains radicaux et les socialistes trouvent humiliantes, provoquent la révolte. Cette nouvelle Assemblée est élue par les Français le 8 février 1871. Elle supprime alors la solde des gardes nationaux ainsi que le moratoire sur les loyers et les dettes

comme Voltaire > combat idéologique entre les défenseurs de la monarchie de droit divin et ceux qui la critiquent. Aussi développement d’une histoire érudite (histoire locale, des provinces) : histoire de Metz des bénédictins, Histoire de Lorraine de Don Calmette. Elévation général de l’érudition. Mais cette histoire est essentiellement descriptive : situation de post-chroniqueur. Important car fournit du matériel pour une histoire nationale. Le choc de la révolution et la recherche

reconnaissance constitutionnelle 7 Une laïcité incomplète… 7 …et fragile 7 La laïcité, valeur universelle… ? La justice sociale est le problème majeur de la société aujourd’hui et non celui du rapport entre la religion et le politique L’idée républicaine, res publica de la chose commune à tous avec une question : Qu’est ce qui fait que les hommes peuvent s’unir, par delà de leurs différences ? La laïcité Par conséquent elle peut être construite dans l’histoire, à une lutte contre ceux

développé dans son traité de la guerre. La réflexion de Raymond Aron a été publié dans Mémoires en 1983. Aron montre alors comment Clausewitz défini les types de conflit avant d’interpréter sa pensée. Le document 2 est une carte tirée de « Le Républicain Lorrain ». La carte nous montre les conflits dans le monde,

Palais-Bourbon + défaite de Sédan + capture de Napoléon III => Chute de l’Empire Régente Eugénie quitte la France 3 gvts se forment (avec tendances Π distinctes): Palais Bourbon : majorité conservatrice du corps législatif Préfecture : députés républicains Hôtel de Ville : qq élts socialistes 4 sep 1870 : Proclamation de la République  Gouv provisoire de Défense nationale I. La fin de la guerre et la Commune A) La défaite 19 sept 1870 : Prusse a complètement envahi Paris Gambetta quitte Paris

centrale, au Sénégal, dans l’Océan Indien et en Inde- avait déjà subit de lourdes pertes territoriales à la fin du XVIIIe siècle, depuis le Traité de Paris de 1763 et perd avec la défaite de Napoléon III à Sedan, l’Alsace, les Vosges et une partie de la Lorraine. Cette bataille, où Napoléon fut fait prisonnier, sonne le glas du second empire alors que Léon Gambetta annonce la déchéance de l'empereur. Un peu plus tard, en compagnie de Jules Ferry, de Jules Favre et d'autres députés, il proclame la troisième

l’emprisonnement de l’empereur. La déchéance du régime est donc réclamée, et la République est instaurée. Un gouvernement provisoire se forme, le gouvernement de la Défense Nationale. Mais la guerre n’est pas finie et il faut définir ce régime républicain. Le parti républicain est minoritaire et peu organisé. On voit déjà un clivage entre les ruraux, qui sont majoritairement partisans de l’Empire ; et Paris où il existe un milieu urbain révolutionnaire influencé par les idées de Blanqui. On voit plusieurs

En 1894, la IIIe République est vieille s. Le régime politique de la France vient d'affronter trois crises qui n'ont fait que l'affermir. Les élections de 1893, centrées sur la « question sociale », ont consacré la victoire des républicains de gouvernements (un peu moins de la moitié des sièges) face à la droite conservatrice, ainsi que la force des radicaux (environ 150 sièges) et des socialistes (environ 50 sièges). L'opposition des radicaux et des socialistes pousse à gouverner au centre d'où

exécration de la démocratie et antisémitisme, enracinement dans « le culte de la terre et des morts » et exaltation des ardeurs bellicistes. À gauche, des regroupements s'opèrent également, concrétisés par la création de deux grands partis : le Parti républicain radical et radical-socialiste (1901) et la SFIO (1905). Dénonçant l'« alliance du sabre et du goupillon », le Bloc des gauches vote les lois sur les associations (1901) et sur la séparation des Églises et de l'État (1905). Lutte contre le « parti