Le Respect De La Parole Donnée

d’Ulysse. Il se fait l’observateur de sa propre maison et se cache sous les trais d’un mendiant. Le passage débute in medias res dans une scène typique de festin qui regroupe les prétendants, Ulysse , Téoclimène, Télémaque et Athéna. D’emblée le texte donne à sentir une tension entre la dissimulation de l’hôte silencieux ,Ulysse, et la révélation progressive des crimes des prétendants. Ainsi nous poserons la question suivante. Problématique : une perversion de l’hospitalité qui répond aux principes

UN SENS ? Le mot « silence » possède de nombreuses significations. Le premier est de ne pas parler, donc de se taire. Le silence est ainsi l’absence de parole, le fait de ne pas s’exprimer. Il s’agit de savoir si le silence a un sens ou non. S’il possède des significations, des explications cachées. Le silence comme absence de parole veut-il dire quelque chose ? Ces questionnements nous rapprochent donc de la notion de langage et de la communication. Le silence fait-il partie du langage et

fille Mathilde et va l’épouser car elle attend un enfant, quand une lettre de Madame de Rênal donne au marquis des renseignements peu flatteurs sur Julien. Furieux, il retourne dans sa province d’origine, tire sur Madame de Rênal et la blesse. Arrêté, il sera condamné à mort et exécuté. « Messieurs les jurés, « L’horreur du mépris, que je croyais pouvoir braver au moment de la mort, me fait prendre la parole. Messieurs, je n'ai point l'honneur d'appartenir à votre classe, vous voyez en moi un paysan

On n’a besoin de personne, on est autonome. Or, une promesse est un acte, une parole à quelqu’un dont on a fait le choix. Pour faire une promesse, nous n’avons besoin de personne, nous seul prenons la décision de la faire. Nous agissons librement. Ne peut-on pas aussi affirmer que le fait de faire une promesse peut en un sens permettre d'augmenter sa liberté ? En effet, si un homme s'engage de lui-même, qu'il respecte ce qu'il vient de dire, nous pouvons affirmer qu'il est autonome et donc libre

que l’homme invente des lois, il est par nature un être culturel. Dans le livre La Politique , livre I, chapitres 2 et 8, Aristote nous exprime l’idée qu’un homme est fait pour vivre dans une cité, une société donnée “celui qui vit hors cité [...] est soit un être dégradé, soit un être surhumain”. Un être humain vivant hors d’une cité est un être qui n’a ni loi, ni foyer, ni cadre de vie. Il vit donc sans limites. Un homme vivant seul hors d’une cité, n'apporte

examiner une interprétation non littérale du « tu dois » : dans ce cas, il est possible d’entendre de la part d’un Autre un « tu dois », sous la forme d’une injonction, d’une admonestation ou d’une supplique qui n’impliquerait pas nécessairement la parole articulée. I. La mère, le père, les lois (le « tu dois obéir ») Dans cette première je partirais du Criton (« prosopopée des lois ») pour évoquer l’autorité des lois, pour la rapprocher de celle de la mère, tout en l’en distinguant ; puis je m’appuierais

une hyperbole doublée d'ironie puisque les meilleurs philosophes du monde étaient les Grecs. «De petit esprits» utilisé à la place de grand, et «exagèrent trop» pour dire pas assez. Ce registre sert parfaitement le projet de Montesquieu car il donne à entendre les propos de partisans de l'esclavage qui s’autodétruisent par eux-mêmes. Chaque paragraphe, à part le premier qui sert à introduire la thèse de Montesquieu, aborde des arguments différents : - Le premier paragraphe présente des

« Persepolis » les paroles de Zarathoustra «  Il va falloir baser tout sur ces trois règles : bon comportement, bonne parole, bonne action » sont des performatifs car ses trois règles vont avoir de l’influence et des conséquences sur la vie de la petite fille de la bande dessinée. Pour la règle « bon comportement  » elle va célébrer toutes les fêtes religieuses, pour la règles « bonne parole » elle tient un livre sacré où elle y retranscrit ses paroles et pour la règles « bonne action » elle donne elle-même

dominer les assemblées, avec sa parole , n'aura qu'à passer de la région des idées dans le domaine des lieux communs.» Cette citation écrite par Victor Hugo, que l’on retrouve dans Carnets Intimes , résume le texte de Pierre Clastres. Selon lui, la parole et le pouvoir ont

Quel est le pouvoir de la parole dans les chants V à XIII ? L'odyssée, oeuvre antique écrite par Homère, pose aujourd'hui encore problème. On ne sais avec exactitude qui était Homère, et, surtout, l'on a tendance à penser qu'il était aède, donc qu'il chantait ses histoires avant même de les écrire. A l'époque les aèdes et la parole avaient une importance capitale, et on retrouve cette importance dans l'épopée d'Homère. Quel est le pouvoir de la parole dans les chants V à XIII? Nous allons voir