Le Reve Conclusion

Retour à la page d'ouverture Suite VERLAINE : Mon rêve familier (Poèmes saturniens/melancholia VI 1866) Poème Mon rêve familier " Mon rêve familier " 'est le 6ème poème de la section initiale Melancholia des Poèmes saturniens. je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend. Car elle me comprend, et mon cœur, transparent Pour elle seule

problématique suivante : L’utopie est-elle indispensable pour les hommes ? I-L’utopie n’est qu’un rêve 1-Les origines de l’utopie Le nom utopie est donné par thomas MORE où il décrit un pays imaginaire dans son livre optilo republicae statu en 1516. Il place un peuple parfaitement sage, puissant et heureux grâce à des institutions idéales dont il jouit. Le terme même d’utopie se nourrit bien de rêve c’est à dire de cette possibilité à imaginer le meilleur état possible. 2-L’utopie pour annuler

bouillonnement tiède picoré d'oiseaux marins au sein de laquelle coïncideront rêve et réalité : la plage des songes et l'insensé réveil. Contrairement au début du texte, l'extrait se termine sur une vision onirique pleine de douceur, la relation intime et pacifiée avec la nature est mise en valeur par les allitérations en « s » et en « g » et la douceur des sonorités ouvertes (assonance avec le « e » muet et ouvert en finale). Conclusion Reprenant la tradition du poète engagé tel Hugo dans Les Châtiments

FICHE LECTURE : Paul VERLAINE : "mon rêve familier", Poemes saturniens, 1866 I. Situation Poèmes Saturniens: Saturne symbole de la mélancholie Section Melancholia Inspirations romantiques: femme idéalisée II. Plan 1. Contraste rêve/réalité 2. Problème de l’identité 3. Thème du temps III. Etude 1. Contraste rêve/réalité · Confusion rêve accompagne la réalité de l’auteur: “je fais souvent” à passivité “familier” mais “étrange et pénétrant” à confusion : il s’agit d’un

et il a été écrit en 1669.Pascal s’intéresse aux liens entre le rêve et la réalité.Le rêve est une suite de phénomènes psychiques se produisant pendant le sommeil tandis ce que la réalité est caractère de ce qui est réel, de ce qui existe vraiment.Pascal définit ce qu’est le rêve en expliquant ce qu’il se passerait si nous avions tout le temps les mêmes rêves.Ensuite il différencie rêve et réalité.Quelles sont les similitudes entre rêve et réalité ? Les différences ?Ce texte démontre que si nos rêves

Commentaire Paul Verlaine, « Mon rêve familier » Poèmes Saturniens, 1866 « Mon rêve familier », extrait des Poèmes Saturniens publié en 1866, est l’œuvre du poète français Paul Verlaine. Ce dernier appartient au mouvement du Symbolisme. Dans ce poème, nous étudierons d’abord la vision quasi parfaite et aboutie d’un amour idéal basé sur une forte réciprocité. Puis nous verrons l’expression de l’insaisissable, du rêve qui éloigne l’image de la femme aimée et éveille la nostalgie du poète.

mien, ô mon amour! nage sur ton parfum. D J'irai là-bas où l'arbre et l'homme, pleins de sève, E Se pâment longuement sous l'ardeur des climats;
F Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève!
E Tu contiens, mer d'ébène, un éblouissant rêve
E De voiles, de rameurs, de flammes et de mâts: F Un port retentissant où mon âme peut boire G À grands flots le parfum, le son et la couleur
 H Où les vaisseaux, glissant dans l'or et dans la moire
 G Ouvrent leurs vastes bras pour embrasser

captive. Verlaine reprend ici quelques amours impossibles de la littérature. II- L'amour, la perdition Qui n'a jamais rêvé, dans sa solitude, de faire une belle rencontre amoureuse ? Le rêve pour Verlaine, c'est un mirage, toute sa vie il essaiera d'y échapper. Le rêve est souvent associé à l'inaction, à la paresse, "arrête de rêver, travaille" entend-on souvent. Pour Verlaine, le rêve est un exode, une sorte de mort pour les vivants qui les arrache à eux-mêmes sans pour autant leur donner la paix.

n’est qu’une promesse de voyage s’épanouissant dans le rêve. C’est une invitation à se rendre dans un lieu privilégié, un lieu idéal censé apporter un remède et un réconfort au poète qui lutte avec le spleen. La quête de ce pays lointain se confond un moment avec l’évocation de la femme aimée. Baudelaire s’adresse à elle car il est sûr qu’elle communie à sa vision inspirée. Cette invitation au voyage prend le triple visage d'un lieu rêvé et imaginaire, d'un paradis originel et du bonheur sensible

Fiche de lecture : Pouchkine « La Fille du Capitaine » Extrait : Le rêve prémonitoire. Après la rencontre avec le guide. De « Je fis un rêve… » page 26, à « l’horreur et la consternation s’emparèrent de moi… » page 28. Cet extrait se situe au début de l’œuvre (chapitre 2), juste après la rencontre avec le guide et avant qu’il n’arrive à l’auberge. Ils sont perdus, en pleine tempête par la faute de Griniov alors qu’ils doivent se rendre à Orenbourg. Pouchkine fait référence à la révolte