Le Rideau rouge

dissimulée par un rideau rouge, qui est lui même illuminé par ce qu’elle lit . Son expression semble calme malgré qu’il y ait un léger sourire sur son visage . Le premier plan est constitué d’un rideau rouge qui cache une bougie dont on voit la lueur éclairée la lettre et la jeune femme qui se trouve au second plan. Le deuxième plan est constitué de la femme lisant sa lettre L’arrière plan est constitué de murs dans la pénombre Les couleurs dominantes sont le rouge du rideau au premier plan, ainsi

effet, il représente l’Empereur : il est rouge, couleur qui symbolise les passions et ainsi Néron et il est démoli comme la raison de Néron se détruit peu à peu, au fur et à mesure qu’il tombe dans la folie. De plus, un rideau rouge tombe devant ce mur. C’est alors également le lieu du complot puisque Néron s’y cache. Ce jeu avec le rideau le rend enfantin, plus la pièce avance, plus il devient capricieux, enfantin, plus il sombre dans la folie. Ainsi, ce rideau symbolise lui aussi ses passions, sa

en 1945, l’Allemagne, après douze années de régime nazi lors desquelles a été instauré le IIIe Reich qui a déclanché le conflit du fait de sa politique expansionniste, se retrouve occupée par les troupes des forces alliées : Soviétiques de l’Armée rouge à l’Est et à Berlin et militaires états-uniens, britanniques et français pour la partie occidentale. En vertu de l’accord préalable passé entre les Alliés à Yalta, l’Allemagne se voit privée de ses annexions : Autriche, Tchécoslovaquie, Pologne occidentale

personnage de manière plus fidèle. Le décor utilisé par les troupes théâtrales de la Commedia Dell’arte est un décor simple (du fait de leurs déplacements). Il se compose de quelques tréteaux en bois surélevés et d’un drap de couleur rouge qui fait office de rideau et qui sépare la scène de l’arrière-scène. La troupe peut cependant avoir recours à de nombreux autres éléments comme des carrosses, des chevaux, des ânes ou encore des fontaines, pour enrichir la représentation théâtrale. La Commedia

La première utilisation de l'expression Rideau de fer vient du rideau de fer utilisé dans des théâtres (et les boutiques). Comme analogie il avait le sens de "barrière impénétrable", et en 1918, le russe Vassili Rosanov écrit dans son livre L'Apocalypse de notre temps : "En cliquetant, en craquant et en grinçant, un rideau de fer descend sur l'histoire de la Russie. La représentation prend fin." Le terme est ensuite repris par Ethel Snowden, une politicienne féministe socialiste britannique, qui

Le rideau de fer (en anglais : iron curtain, en allemand : eiserner Vorhang) est la frontière fortifiée et en grande partie électrifiée qui traversait l'Europe pendant la guerre froide, séparant les États européens placés sous influence soviétique des États européens occidentaux. Ce rideau était concrétisé par des lignes de barbelés séparées par des no man's land, des champs de mines et des miradors armés de mitrailleuses du côté soviétique. Du côté occidental, il y avait de nombreux dispositifs

Malgré les engagements pris à Yalta, Staline est décidé à intégrer de force toute l’Europe de l’Est dans la zone d’influence soviétique. Le président américain Truman dénonce dès 1947 le « péril rouge » pesant sur le monde libre et se pose en défenseur de l’Europe occidentale. En quelques années, le « rideau de fer » fracture l’Europe, désormais composée d’une partie occidentale sous protection américain et d’une partie orientale sous contrôle soviétique. . Des années 1950 à 1989 : deux Europe face

maison close barcelonaise, située dans la carrer Avinyò. Les femmes du centre fixent les spectateurs de leurs yeux exorbités. Les cinq femmes devaient manger, d'où le panier de fruits qui est resté au premier plan. • Décor et personnages Devant un rideau, cinq femmes, partiellement dévêtues, occupent l’espace principal du tableau. Au premier plan, au milieu, il y a une nature morte (corbeille de fruits) posée sur une table représentée de façon verticale. Ensuite chaque femme forme un plan. Les personnages

le public est déjà subjugué par la beauté de la salle, avec ses boiseries d’or, l’immense rideau rouge en velours. Chacun s’imagine ce qui se passe derrière ce rideau rouge. Ainsi, Proust disait « Mon plaisir s’accrut encore que je commençais à distinguer derrière ce rideau baissé des bruits confus », ou encore Paul Claudel, dans « l’Echange » où le personnage de Lechy Elbernon raconte «ils regardent le rideau de la scène. Et ce qu’il y a derrière quand il est levé. Attention ! Attention ! Il va arriver

tableau d'un auteur inconnu de l'École de Fontainebleau, peint autour de 1594. Cette huile sur panneau de chêne est conservée depuis 1937 au musée du Louvre qui l'a acheté à la collection de Mme Goubert de Guestre. Description Un grand rideau de soie rouge ouvert (probablement issu d'un baldaquin) encadre deux jeunes femmes nues dans une baignoire remplie probablement de vin ou du lait pour leurs vertus rajeunissantes et non d'eau CAR à cette époque de la « toilette sèche », la société de cour