Le Rideau rouge

Avant même la fin de la guerre, la méfiance s'installe entre les vainqueurs. Alors que l'armée rouge occupe une grande partie de l'Europe centrale et oriantale, staline étend sa zone d'influence: il annexe de nombreux territoires et il installe partout de gouvernements communistes, sans organiser les élections libres promises à Yalta En 1946, l'alliance se transforme en rivalité.Tirant parti du prestige de l'URSS, certains partis communistes tentent de s'emparer du pouvoir. En Grèce une guerre

idéologie, et de nombreux conflits, depuis la guerre de Corée, la guerre du Viêt Nam jusqu’à la guerre d’Afghanistan, ont résulté de cette opposition. De 1945 à 1990, l'Allemagne et Berlin sont partagés en deux parties grâce au mur de Berlin ou bien « rideau de fer » qui sépare pendant plus de 28 ans Berlin-Est et Berlin-Ouest, plus qu'un simple mur, il s'agit d'un dispositif militaire complexe comportant deux murs de 3,6 mètres de haut avec chemin de ronde, 302 miradors et dispositifs d'alarme, 14

montrèrent à toute les fenêtres » pour le défilé. Au fur et à mesure qu’il défilé, il s’apercevait que « ces gens pensent qu’à l’argent ». On remarque, que le narrateur insiste sur la description du défilé et de la ville surtout les couleurs, « vêtus de rouge et montés sur des chevaux blancs.. », « vert perroquet « , « les habits rouges »… On constate qu’au début du texte Stendhal ne met pas en valeur une scène de rencontre, les circonstances sont inappropriées pour que Lucien face une rencontre pendant

anti-impérialiste en 1947. Ce modèle prend une double échelle géographique, d'abord européenne puis mondiale. A l'échelle européenne, le camp démocratique et anti-impérialiste dans les pays de zone d'influence, forts grâce à l'appui de l'Armée Rouge, peuvent manipuler les élections ou en ignorent les résultats, éliminent les partis bourgeoises, infiltrent puis absorbent les partis socialistes, procèdent à la socialisation de l'économie. A l'échelle mondiale, la Corée du Nord se transforme

Guerre mondiale : les EUA et l’URSS. Les deux grands se sont lancés dans un conflit idéologique ayant pour objectif de développer leur hégémonie ; ils se servent pour cela de leur superpuissance militaire (arme nucléaire et flotte pour les EUA/ « armée rouge » pour l’URSS), de leur potentiel économique et de leur rayonnement culturel. L’Europe est le premier espace géographique qui fait office de cette montée des tensions ; à l’est, de 1945 à 1947, on assiste à une soumission à l’hégémonie soviétique tandis

le communisme de l’autre. L’art et la littérature nourrissent la haine dans les cœurs des civiles, ils déshumanisent l’ennemi au point de le traiter comme un animal. Deux idéologies s’affrontent celles des deux grands l’URSS et les Etats-Unis, un rideau de fer sépare l’Europe en deux et un monde bipolaire se forme. Cependant les conflits qui en résultent ne se limitent pas à des conflits entre les deux puissances : l’Europe, le Vietnam, la Corée, Cuba et bien d’autres encore se retrouvent embarqués

de ce personnage qui effectue un monologue devant un immense miroir, l’objet maitre du dénouement. Effectivement dans cette dernière scène, tout ce passe autour de ce miroir qui est le seul objet présent sur scène avec un fauteuil en bois et un rideau rouge/bordeau en fond de scène, qui ne manque pas de faire un clin d’œil au sang versé par les différentes victimes de la pièce. Les jeux de lumière dans ce dénouement sont également très intéressants. En effet, un unique éclairage est dirigé sur le

Tourbillons de désirs paramétrant notre bonheur décadent Humanité arythmique Possessions Éblouis par la lumière les ectoplasmes en transhumance se laissent guillotiner par l’orgasme matérialiste Troupeau malade de richesse Petit Chaperon Rouge éphémère de notre société putréfiée Le Loup jubile dévore ta cervelle se régénère à la fontaine des pulsions mondaines Je ne participe pas au suicide collectif Je vais m’envoler sur une étoile apaisée sous la luciole de mes rêves Sybille Rembard

dans l’architecture, ou simplement l’architecture classique puise ses origines de l’architecture de la renaissance, mais possède également des inspirations italiennes. On remarque l’utilisation de brique, de pierres, d’ardoise ou encore de pierre rouge ; qui étaient considérés, à l’époque, comme des matériaux nobles. Les initiateurs de ce mouvement dans l’architecture sont Salomon de Brosse et François Mansart. Cette architecture, à l’époque, était le reflet de la puissance du roi de France à l’étranger

dans se tableau ». Tout les regards se tende vers la couronne qui est le point focale du tableau qui se détache derrière elle sur un pend de rideau vert comme pour attirer encore plus le regard vers cette couronne. La scène centrale est comme cadré dans un rectangle ou ne sont représenter que Joséphine et Napoléon, qui est arqué par les deux manteaux rouge. Mais ils ne sont pas enfermés pour autant car les deux manteaux les relient aux restes du tableau. La scène centrale est disposée à partir de