Le Rire De Séduction

d’Arnolphe ? Eléments d’intro : Horace rapporte ici ce qui n’a pas été montré sur scène : l’épisode du grès jeté par Agnès, conformément aux ordres d’Arnolphe. Mais là où Arnolphe s’attend à entendre le récit d’une déroute pour les tentatives de séduction d’Horace, c’est de sa propre défaite et de la désobéissance d’Agnès, qu’il est obligé d’écouter les détails. Le comique joue ici pleinement à ses dépens et annonce déjà l’échec de tous ses plans. I. Arnolphe : spectateur forcé de sa propre défaite

fatalité, de la mort… Le registre lyrique : Exprime les sentiments du locuteur. Le registre épique : Représentation d’un individu ou groupe, valeurs d’une collectivité, d’une société… Le registre comique : Provoque l’amusement, le sourire et le rire. Contexte/Paratexte : Le contexte : Le contexte est constitué de l’ensemble des circonstances qui entourent l’écriture d’une œuvre : Période historique, événement politique Vie de l’auteur Mouvement littéraire dans lequel l’œuvre s’inscrit

pour les ridicules » et l’infidélité est un hommage à la beauté de toutes les femmes. Dans le début de la scène que nous allons étudier survient Elvire qui est la femme que Don Juan vient juste d’épouse après l’avoir sortie du couvent. On s’attend à rire d’une femme outragée et ridiculisée. Mais ce ne sera pas la cas. Problématique Comment Molière mêle-t-il les registres pour opposer une héroïne tragique et pathétique à un libertin en action? Annonce du plan Nous mnotrerons d’abord en quoi

metteurs en scène, cinéastes, auteurs de bandes dessinées, furent fascinés par ce personnage habile et d'envergure qui défie la morale, l'ordre public, et Dieu. Le personnage évolue légèrement avec les époques. Mais la trame de fond demeure : séduction des femmes, rejet des règles sociales et morales, défi à l'autorité et à Dieu, châtiment « exemplaire ». Cependant sur ce dernier point des différences notables apparaissent chez certains auteurs de la période romantique. Le Romantisme crée ainsi

valet de comédie Sg est avant tout un être de parole (parle le + dans la pièce, parle le 1er et en dernier à la dernière scène, le + présent sur scène : 25 scènes / 27 ) Il est plus à l’aise pour parler que pour agir :  psg bouffon qui fait rire par le décalage entre ses déclarations, ses actes et son langage haut en couleur. a) Le pédantisme  Sg cherche à imiter le langage de son maitre mais le parodie de façon ridicule = étalage prétentieux d’érudition mal dominée : - L62 « inter nos

Eric Émmanuelle Schmitt, en 1991, l'adapte dans la nuit de valognes. Eric Emmanuelle Schmitt est un dramaturge, écrivain contemporain français. Il rentre à l'École Normale Supérieur en 1980 et publie sa thèse sur Diderot ou la philosophie de la séduction en 1987. La nuit de Valognes est son premier ouvrage, cette une pièce de théâtre en 3 actes. Elle mets en scène au XVIII ème siècle un procès organisé par les victimes de Dom Juan. Celui-ci est jugé par ces anciennes victimes. L'extrait que nous

lettre : « La rhétorique est la dimension amoureuse de l’écriture ». Car la lettre est communication avec l’autre et donc désir de l’autre. On retrouve dans cet extrait toutes les caractéristiques d’une lettre d’amour, avec tous les artifices de séduction permis par la rhétorique. Valmont met en effet à profit toutes les ressources épistolaires dont il dispose pour plaire à son interlocutrice dans ce courrier. Il écrit dans le registre lyrique propice à l’expression des sentiments et donc de l’amour

m’est venu conter cette affaire à moi-même ! Bien que mon autre nom le tienne dans l’erreur.»(p.44) Cette citation appuie le fait qu’Horace ne sache pas qui Arnolphe est réellement et ce dernier se sert de cet avantage pour contrecarrer les plans de séduction du jeune homme. Arnolphe ayant changé de nom mène Horace dans la confusion par rapport à sa véritable identité. Ce qui comme dit avant provoque la confusion du jeune homme et sa confession à son rival. La double-identité peut être une des causes

d’Arnolphe ? Eléments d’intro : Horace rapporte ici ce qui n’a pas été montré sur scène : l’épisode du grès jeté par Agnès, conformément aux ordres d’Arnolphe. Mais là où Arnolphe s’attend à entendre le récit d’une déroute pour les tentatives de séduction d’Horace, c’est de sa propre défaite et de la désobéissance d’Agnès, qu’il est obligé d’écouter les détails. Le comique joue ici pleinement à ses dépens et annonce déjà l’échec de tous ses plans. I. Arnolphe : spectateur forcé de sa propre défaite

qui mettent plus en relief l’expression du romantisme. Dans l’« Education Sentimentale » on assiste à une scène de coup de foudre « ce fut comme une apparition », on a l’impression d’une harmonie classique « l’ovale de sa figure » (l.12), « la séduction de sa taille » (l.23), « la finesse de ses doigts » ; le fait qu’elle soit une bonne mère, c’est un « éblouissement » pour Fréderic. On a également une focalisation interne, qui donne donc tout l’aspect lyrique du texte en traduisant ses pensées