Le Rire Désarme

devinettes naïves amusent l’intelligence sans la fatiguer. Ici, le cas est différent. Les chiffres du message se réfèrent évidemment à certains mots d’une certaine page dans un certain livre. Tant qu’on ne m’aura pas désigné la page et le livre, je suis désarmé. — Mais que viennent faire, au milieu des chiffres, les mots « Douglas » et « Birlstone » en toutes lettres ? — Soyez sûr qu’ils ne figurent pas dans la page en question. — Alors, pourquoi ne pas indiquer le livre ? — Votre finesse naturelle,

« Plaideurs » en le faisant mettre à la Bastille. Cette plaisante méprise et la connaissance qu'on eût bientôt du suffrage du monarque ramenèrent à la comédie de Racine le bon peuple de Paris; et depuis ce temps, la pièce est en possession de faire rire la justice elle-même. Il n'est pas vrai que les « Plaideurs » soient de plusieurs mains. Racine a pu recevoir de ses amis le motif de quelques scènes et emprunter à quelques hommes de palais quelques formules, quelques expressions étrangères à ses

dîner dura trois heures; dès qu'il ouvrit la bouche pour parler, le premier chambellan dit: II aura raison. A peine eut−il prononcé quatre paroles que le second chambellan s'écria: II a raison! Les deux autres chambellans firent de grands éclats de rire des bons mots qu'Irax avait dits ou qu'il avait dû dire. Après dîner on lui répéta la cantate. Cette première journée lui parut délicieuse, il crut que le roi des rois l'honorait selon ses mérites; la seconde lui parut moins agréable; la troisième

valet de la Grange. Le Vicomte de Jodelet , valet de du Croisy. Deux porteurs de chaise . Voisines . Violons . ==== Scène première ==== La Grange, Du Croisy. DU CROISY: LA GRANGE : DU CROISY: Seigneur La Grange... Quoi ? Regardez-moi un peu sans rire. LA GRANGE : DU CROISY: Eh bien ? Que dites-vous de notre visite ? en êtes-vous fort satisfait ? À votre avis, avons-nous sujet de l’être tous deux ? Pas tout à fait, à dire vrai. LA GRANGE : DU CROISY: LA GRANGE : Pour moi, je vous

Vous portez plainte, mais contre qui ? Contre quoi ? Béatrice (désignant Sharon) Contre ce… Sharon Contre moi ? Non mais je dreame là ! Si c’est comme ça, moi aussi j’porte plainte contre la viocque. Axelle Porter plainte, me faites pas rire, j’ai les lèvres gercées. Pour l’instant c’est vous qui risquez une peine de prison avec sursis et une forte amende à payer pour réparation du préjudice. Je vous conseille vivement de coopérer. Sharon Jsuis prête à super coopérer, allez-y posez

Les beaux parleurs ................................ 16 Le talent d’orateur, inscrit dans les gènes humains, est un avantage sélectif, car il tisse des liens sociaux. Sexisme à l’embauche p. 12 Le rire, un instinct vital ............................. 18 Le rire serait un instinct ancestral servant notamment à désamorcer des conflits potentiels. Porter son bébé à gauche ? ........................ 24 Huit mères sur dix portent leur enfant avec leur bras gauche

Partez, de grâce. SAVERNY Oui, mais nommez-le-moi, ce galant qui me chasse Et pour qui je me vois ainsi congédier. MARION Je ne connais de lui que le nom de Didier. Il ne connaît de moi que le nom de Marie. SAVERNY, éclatant de rire Vrai ? MARION Vrai. SAVERNY, riant Mais, pasquedieu, c'est de la bergerie Que ces amitiés-là ! c'est du Racan tout pur. — Il va donc pour entrer escalader ce mur ? Oeuvre du Domaine public – Version retraitée par Libre Théâtre

la contre-allée par où il était venu. Mais, si elles furent surprises, il fut encore plus surpris qu'elles, car, au beau milieu de cette contre-allée qu'il remontait pour sortir de l'église, il fut saisi brusquement par deux bras vigoureux, et un rire, abominablement scandaleux dans un lieu si saint, partit presque à deux pouces de sa figure. Heureusement pour les dents qui riaient qu'il les reconnut, si près de ses yeux! - Sacré nom de Dieu! - fit en même temps le rieur à mi-voix, mais pas de

des chevaux se cabra et faillit détaler. Fasciné, lui, Bran regardait s’élargir la flaque écarlate que buvait goulûment la neige. Une grosse souche fit rebondir la tête qui, en roulant, vint achever sa course aux pieds de Greyjoy. Lequel, sur un gros rire qui jurait avec son teint sombre et son allure efflanquée, l’immobilisa sous sa botte avant de la relancer. Tout amusait ses dix-neuf ans. « Corniaud ! » grogna Jon a parte puis, posant sa main sur l’épaule de Bran que la stupeur écarquillait : « Bravo

fréquemment son maître ; mais comme il n'y parvient pas, il crée un effet de parodie involontaire. Tout comique qu'il est, il n'en est pas moins contaminé lui aussi par le registre tragique. Ainsi ses revirements quand son maître le menace prêtent à rire ; mais si l'on pense à sa propre souffrance, il n'y a rien là de comique. de même dans la dernière scène, il est farcesque quand il réclame ses gages, mais il éprouve néanmoins une douleur bien réelle de la mort de son maître. Le valet ressent pour