Le Rire Face Aux Sujets Grave

tels que « la chevelure » qu’il faut se tourner pour retrouver le plaisir sensuel du poète. [...] [...] b) L’ambivalence : On retrouve de nombreuses antithèses ou associations ambivalentes dans le texte. Sorcière/nymphe ; morsure/baiser ; déchires, rire moqueur/œil doux(+structure strophe 8 alternances des états) ; frivole/sérieuse Cette femme possède des états d’esprit différents, distille le chaud et le froid pour mieux dominer, difficile à cerner, capable de tout. Le poète est comme un jouet entre

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 Misogynie ? ..................................................................................................................................44
 LES SITUATIONS ET LES SUJETS ................................................................................................... 46
 La litote .................................................................................................................................. 46


LA PROF DE DANSE : < Déscendez de la vous deux la pose c`est fini D SARAH&MOi : < Ok on arrive > On déssend on devais aller se préparé dans la fil , pour les laissé les gens rentré .. Le spectacle a commencé et on a fini après 3h. On c`est grave bien débrouillé j`etait contente tout le monde etait contente.. J`allais me changé pour rentré chez moi , j`attend que sarah finis de s'habillé pour rentré. En attendant dans ma tete yavais < LUi !! > , Le gar de tout a l'heur , j'savais meme pas son

-190]) où le vieux paysan Euclion a perdu l’«aulula», la marmite, remplie d’or qu’il avait trouvée dans sa demeure ; le monologue de l'avare volé est très près de l'original latin. On y trouve le nom  «Harpagones» et le verbe «harpagare». En 1579, le sujet avait été repris par Pierre Larivey dans “Les esprits”, le personnage s’appelant Séverin. La même année, dans la comédie ‘’La Emilia’’ de Luigi Groto, traduite en français en 1609, se trouvait un personnage avare appelé Arpago. En 1654, “La belle

dans les questions de compréhension globale, il n’en est pas de même pour l’épreuve de français est difficile pour la majorité de nos élèves. Pour la production écrite : ‘Un sujet de réflexion en rapport avec l’un des thèmes de l’œuvre (œuvres) au programme, sans être une dissertation littéraire.’ Mais qu’est ce qu’un sujet de réflexion ? Il s’agit d’une démonstration. Vous devez expliquer quelque chose à propos des œuvres et le prouver à votre correcteur en lui démontrant ce que vous dites à partir

d'idées. 15 : Aucun cas n'est irrécupérable. Sauf après la deuxième chance. 16 : L'habillage et le physique sont une coquille. À vous de la remplir. 17 : Vos acronymes à deux balles (Lol, Mdr et co), c'est encore plus à éviter quand vous êtes face à quelqu'un. 18 : Quand vous regardez un film, soyez dedans. Enfin restez un peu disponible pour elle. 19 : C'est mignon d'être possessif, mais c'est vite chiant, à bon entendeur. 20 : N'oublier jamais ceci : « l'intelligence c'est comme

inconscientes,...) 2- Aire cachée - Ce que nous savons de nous-même et que nous ne voulons pas partager (on se protège) - Jardin secret ( sentiments, motivations, fantaisies, secrets,…) 3- Aire aveugle Information que les autres ont à notre sujet, mais dont nous ne sommes pas conscients (timbre de la voix, gestuel…) 1- Aire libre -Soi public: nom, état civil, no assurance sociale,… Connu de soi Inconnu de soi Inconnu des autres Connu des autres !*Les stéréotypes sont « le

venger, et l’acte V, quand la statue vient chercher Dom Juan. * Ici, Done Elvire apparaît comme un personnage de la tragédie. * Mélange de comique, tragique et pathétique dans la détresse de Done Elvire. Acte II Dom Juan est un séducteur, en action face à Charlotte et Maturine. -> Scène 1 : Pierrot/Charlotte * Naufrage de Dom Juan * Comique : langage paysan * Scène de dépit amoureux, (dispute) -> Scène 2 : Dom Juan/Charlotte * Dom Juan a l’art de la parole : il

n’y avait plus rien à faire dans la vie […] j’écris aussi pour crier ma peur de mourir, mon humiliation de mourir. » Dans journal en miettes, il écrit : « la mort, c’est la condition inadmissible de l’existence ». Thème obsessionnel qui est ici le sujet central de l’œuvre. Les circonstances de l’écriture de la pièce viennent d’une hospitalisation prolongée de Ionesco. Volonté d’exorciser sa hantise. Conçoit son projet comme « un essai d’apprentissage de la mort ». Titre d’abord choisi pour la pièce

situations (par exemple : la personne rire pendant l’enterrement de sa mère pour exprimer son chagrin). La personne n’a plus de plaisir, ne veut plus rien faire (par exemple ne veut plus aller à l’école ou au travail). Le comportement devient incohérent (impulsivité, agressivité). On remarque que le symptôme qui domine est l’anxiété, c’est un indice de progression vers la décompensation psychotique. Il y a aussi des insomnies. A partir de ce moment, le sujet se sent bizarre, il a la sensation d’être