Le Rire Moqueur

peut-on être plus malheureux et plus outragé ? (veut provoquer la pitié) • Valet : gai « riant »/ bon vivant/moqueur « siffle/chante et rie pendant que son maitre lui parle » = registre comique: comique de geste avec la bouteille de vin. Deux personnages opposées l’un est noble, sérieux, et l’autre est gai et naturel. La sympathie du spectateur va du côté du naturel et du rire. Il s’agit d’une dorme de persuasion – émotions. 2. Renouvellement du personnage comique: volonté de persuader

d’être obligée d’en rire seule » elle aurait bien voulu qu’il soit là à côté d’elle. En plus de leur complicité on peut penser qu’ils ont été amant puisqu’elle dit l (11) « je serai femme à vous enchaîner de nouveau » le mot de nouveau montre qu’ils ont eu une liaison auparavant. C’est une femme à caractère plutôt moqueur avec le champ lexical de la moquerie l(1) « fripon », l(1) « moque de vous », l(2) « folies », l(4) « plaisant », l(4) « folle idée », « ri » l(5), l(5) « rire », « gaieté » l(6)

Le jugement humain n’a pas la même base que le jugement divin. L.36 « un interprète moqueur » peut aussi juger le Prince. Le Prince est donc jugé par Dieu et par les interprètes moqueurs ( mouvement de la société : les bouffons). Le rôle du bouffon du Prince : tourner en dérision de nombreuses choses/consciences à la cour du Roi. 2 fonctions : * Distraire le roi * Epingler l’invité, tel personne… fait rire le roi. A force de vivre dans la cour, on connait les stratagèmes les bouffons se

descend dans la cave. Jean-Paul Sartre est assis à une table, il regarde les danseuses. Boris Vian : - Eh, cher ami fais attention à toi, si Simone c’est cela, elle ne sera pas très contente. (dit-il d’un ton moqueur) JP : -Elle n’est au courant de rien ! (heureux) Boris Vian arrêta de rire, le regarda , suivit son regard qui arrivait sur une des danseuses. Boris Vian : - Et Simone ? JP :- Comment ça Simone ? Depuis le temps qu’elle attend ça ! BV monte sur la scène avec les danseuses

parlais", en parlant du yoyo…", répondit l'enfantla fillette. "Je voulais simplement savoir s'il était à toi. J'en déduis que tu as mal compris dans ta paniqueTu étais à moitié endormi et tu as dû mal entendre." Puis la gamine partit d'un petit rire moqueur que Basil n'apprécia pas du tout. Exaspéré, il arracha le yoyo des mains de sa petite sœur et réclama : "- Ma batte aussi, rendez-la moi !." Les deux fillettes se lancèrent alors un regard étonné. "- Quelle batte ?" demandèrent-elles en chœur.

malade, abandonné de tous, pour survivre, mais la lutte d'un homme contre lui-même, la lutte d'un homme malade de solitude contre sa santé vigoureuse malgré tout. Le spectateur, dans cette relation privilégiée avec le héros, hésite ainsi entre le rire moqueur et la pitié. Le monologue peut donc exprimer des conflits individuels ou collectifs, établit un rapport privilégié entre le personnage et le public. Mais le dramaturge peut aussi recourir au dialogue, peut-être plus efficace encore. La forme

auprès de moi, Me dérobait du temps, qu’à présent je regrette, Le cours lent à mes voeux, quand la bouche muette, Je ne pouvais penser qu’à toi, Qu’as-tu fait – loin de moi, tu fuis, et ton sourire Vers moi se tourne encor, adorable et moqueur, Tu sais ce que toujours, tout-puissant, il m’inspire, Tu l’adresses, hélas ! il me paraît me dire : Je te quitte de gaîté de coeur ! Tu me railles, méchante, ah ! de ta moquerie, Si tu voyais combien l’aiguillon me fait mal, Ce qu’à

Naïm (pseudonyme : Gazaman) Naïm Al-Farjouk, que l’on connaît tout d’abord à travers ses courriers sous le pseudonyme de Gazaman, est un jeune Palestinien de 20 ans. Un jour, il trouve la bouteille laissée à Gaza par le frère de Tal. En apparence moqueur et cynique, Naïm donne parfois l’impression de se servir de Tal comme d’un bouc émissaire. Dans ses courriels, il répond d’un ton cassant et décharge sur elle sa colère et sa révolte. La jeune fille ne perd pourtant pas espoir et persévère. L’optimisme

deux milles’’ vers 1870.Le champs lexical de la colère rend le dialogue encore plus vif : ‘’furieux’’v1866, ‘’enragé’’, ‘’exaspéré’’. Les didascalies permettent de voir que Don César ne prend pas au sérieux Don Guritan, le ton ici est moqueur : ‘’ éclatant de rire ‘’. On peut en concluir qu’il se sait supérieur à Don Guritan. Cette effet de supériorité est mis en paradoxe avec le fait que dans la première tirade Don César se révele être un homme intelligent et possédant un sens de la répartie :

moral, ce qui montre son reniement de l’Humanisme. → « je ris de l’homme » : vénéré par de nombreux courants littéraires (Humanisme, Pléiade, Romantisme) l’Homme est tourné en dérision par Verlaine.- Nous pouvons entendre un rire moqueur avec l’assonance en “i” : rire sinueux, rire jaune? Qui ose se moquer, et rit pour ne pas pleurer ? → Verlaine en rit aux éclats pour éviter d’éclater en sanglots. - Nous pouvons repérer une gradation de l’Art, de l'Homme et de Dieu puisque la troisième chose qu’il