Le Rire Moqueur

Un regard distrait ou moqueur,Peuvent donner à qui vous aimeUn coup de poignard dans le coeur. Oui, votre orgueil doit être immense,Car, grâce à notre lâcheté,Rien n’égale votre puissance,Sinon votre fragilité. Mais toute puissance sur terreMeurt quand l’abus en est trop grand,Et qui sait souffrir et se taireS’éloigne de vous en pleurant. Quel que soit le mal qu’il endure,Son triste rôle est le plus beau.J’aime encor mieux notre torture Alfred de Musset OndineTon rire est clair, ta caresse est

Maria Chapdelaine de Louis Hémon « Nous avions apporté d’outre-mer nos prières et nos chansons : elles sont toujours les mêmes. Nous avions apporté dans nos poitrines le cœur des hommes de notre pays, vaillant et vif, aussi prompt à la pitié qu’au rire, le cœur le plus humain de tous les cœurs humains : il n’a pas changé. » (p. 51 de l’anthologie) Extrait no. 2 : Menaud, maître-draveur de Félix-Antoine Savard « Ils pêchaient la confiance dans le calme, enseignaient la valeur du travail et le

significativement, le portrait : manger aura été son unique préoccupation, malgré la maladie et la décrépitude («il s’est fait porter à table jusqu’au dernier soupir») et peut-être même malgré la mort. Son obsession pourrait en effet, d’après le moraliste moqueur, lui faire accomplir le miracle d’une résurrection: «s’il revient au monde, c’est pour manger». Finalement, par delà son goût excessif pour les plaisirs de la table, Cliton, comme Gnathon dans le portrait précédent, apparaît comme un homme d’un

cas d’infraction au conformisme comportemental. Cette sanction peut, par exemple être prévue dans le système des règles juridiques et prendre une forme violente comme châtiments corporels ou la privation de liberté. Formes plus douces comme le rire moqueur ou être mis à l’écart du groupe, ce type de sanction serait dû par exemple par la manière de se vêtir sans tenir des coutumes de la société dans laquelle on vit. Le troisième de sanction consiste tout simplement dans l’échec. Cette force sociale

pourpre est tombé :
 Dans un petit manteau d'abbé 
 Sa veuve expire. Tu t'es bercé sur ce flot pur
 Où Naple enchâsse dans l'azur 
 Sa mosaique, 
 Oreiller des lazzaroni
 Où sont nés le macaroni 
 Et la musique. Qu'il soit rusé, simple ou moqueur, 
 N'est-ce pas qu'il nous laisse au coeur 
 Un charme étrange, 
 Ce peuple ami de la gaieté 
 Qui donnerait gloire et beauté 
 Pour une orange ? Catane et Palerme t'ont plu. 
 Je n'en dis rien ; nous t'avons lu ; 
 Mais on t'accuse 
 D'avoir

une image de mouvement de la chevelure. (même métaphore que vol d’une flamme). Joyau de l’œil : met. In abs. de l’iris de l’œil. Effet : Rendre le regard précieux, brillant. Véridique ou rieur : opposition. Le regard est tantôt honnête tantôt moqueur. Effet : il précise l’ambiguïté du regard. 3ème strophe : Une nudité de héros tendre : met. In prae. du « je » du vers 3. Effet : il éloigne son image dans le tableau. Feux au doigt : met. In abs. de la bague. Effet : il ne sublime pas la

Argan, un hypochondriaque égoïste, proie des docteurs, l’intermède final le met ridiculement en scène dans une cérémonie burlesque aux côtés de médecins, d’apothicaires et de chirurgiens qui le sacrent “médecin“ dans un balbutiement franco-latin moqueur des discours prononcés lors des réceptions à la faculté de médecine à Paris. Ce qui donne à voir un impressionnant spectacle, par exemple dans la mise en scène de Claude Stratz où les étranges personnages portent des masques de la commedia dell’arte

son empire.César dans sa pourpre est tombé :Dans un petit manteau d’abbéSa veuve expire. Tu t’es bercé sur ce flot purOù Naple enchâsse dans l’azurSa mosaique,Oreiller des lazzaroniOù sont nés le macaroniEt la musique. Qu’il soit rusé, simple ou moqueur,N’est-ce pas qu’il nous laisse au coeurUn charme étrange,Ce peuple ami de la gaietéQui donnerait gloire et beautéPour une orange ? Catane et Palerme t’ont plu.Je n’en dis rien ; nous t’avons lu ;Mais on t’accuseD’avoir parlé bien tendrement,Moins

os dans la gorge, promit une récompense à la Grue, si elle voulait avec son bec retirer cet os, dont il se sentait incommodé. Après qu’elle lui eut rendu ce bon office, elle lui demanda le salaire dont ils étaient convenus. Mais le Loup avec un rire moqueur et grinçant les dents : » Contentez-vous, lui dit-il, d’avoir retiré votre tête saine et sauve de la gueule du Loup, et de n’avoir pas éprouvé à vos dépens combien ses dents sont aiguës. » Esope Le loups et la cigogne :(réécriture) Les Loups

oublier la réalité parfois difficile. C’est aussi le cas de certaines œuvres cinématographiques, certains films cherchent simplement à nous distraire, à nous faire rire, à nous détendre et ainsi transporter le spectateur dans un monde différent et dépaysant. C’est le cas du film bien connu « les bronzés » qui apporte du plaisir du rire et de la détente et ce sans aucune réflexion. C’est le cas également de l’œuvre d’Albert Camus L’étranger, en effet Camus avoue lui-même avoir écrit l'Étranger dans