Le Rire Moqueur

expression de pitié fut vite remplacée par du mépris que celui-ci ne prit même pas la peine de cacher. "-Allons, vous me faites entrer ?!" s'impatienta le père Goriot piqué par l'insolence du domestique. Ce dernier s'exécuta en jetant un regard moqueur au pauvre homme qui en disait long sur ce qu'il pensait de lui. Il fit assoir l'arrivant dans le petit salon, avec quelque réticence, étant donné que la pièce venait d'être nettoyée. Notre père aurait dû être vexé, mais il refoula tout au fond de

besoin de se libérer, de décompresser… et, afin d’y parvenir ils vont tout simplement rire ! C’est pour cette raison que l’humour a évolué. Après 1789, l’humour passe de la cours des bourgeois au grand public. Il va transgresser les frontières sociales, interpeller le peuple dans son entièreté, envahir toutes les formes de communications et d’expressions. En réalité, ce besoin de rire représente l’envers joyeux et moqueur de la société de l’époque qui est alors en pleine voie de structuration. L’effondrement

 L’échec du séducteur : Thème de la vengeance amorcé au 1er acte avec les malédictions de Elvire et les mises en garde de Sg semble s’éloigner pdt presque tt l’acte, pour faire place a une peinture de séducteur à l’œuvre. Pr éviter la fadeur et faire rire les spectateurs Molière le met dans une situation difficile : son projet d’enlèvement échoue a cause d’une tempête et il se trouve confronter en même temps a 2 femmes qu’il vient de séduire. Il est habile en paroles mais ses diverses tentatives ne

dramatique cause un suspense dû aux émotions vécues par cette femme. L’Épopée (p.195) : Comique " À la guerre comme à la guerre Qu’est-ce que vous voulez." Effet : Ce dernier vers apporte un effet ironique et moqueur au reste du poème. On y voit que l’auteur cherche à faire rire en créant un effet plus détendu dans l’atmosphère. Cela créer un effet plus banal qui cherche à attendrir les propos dits plus haut. En lisant cette dernière ligne, on remet en question la crédibilité de l’auteur.

en avait aspiré toute la couleur. Leur teinte évoque la neige fondue qu’on aimerait voir partir dans le caniveau. Ce qu’on attend de moi, c’est que j’endosse le rôle qu’on a conçu à mon intention. Celui du symbole de la révolution : le geai moqueur. Ce que j’ai pu accomplir dans le passé, défier le Capitole pendant les Jeux, offrir un point de ralliement, ne suffit pas. Je dois maintenant prendre les choses en main, devenir le visage, la voix, l’incarnation de la révolution. La personne

note aussi le comique de répétition, comme le chapeau ôté de la tête d’Alain trois fois dans cette scène, ou la répétition du rejet d’Horace à la scène 4 de l’acte IV. LA LEçON DONNEE PAR MOLIÈRE Bien sûr, le but de Molière est d’abord de faire rire : il reprend pour cela un des thèmes favoris de la farce, le mari trompé et l’inépuisable ruse féminine, et un personnage de la commedia dell’arte, l’amoureux étourdi. Mais, à son époque, les goûts ont évolué sous l’influence de la Préciosité et de

un long bec ne put manger quoi que ce soit et, pour se venger, l'invita pour plus tard. Elle le servit, comme elle, dans un vase à long col, le renard ne peut rien manger et partit à jeun de la cigogne. Morale : Les trompeurs et les moqueurs peuvent bien rire, l'heure de la vengeance arrive toujours. 13- le lièvre et les grenouilles Un lièvre songe qu'il a vraiment peur de tout et que cette peur lui gache la vie. Un bruit le fait sursauter et s'enfuir tout comme les grenouilles. Il réalise

ses intentions. Troisième partie : la déroute de Sganarelle. → C’est le silence de Dom Juan qui fait basculer l’assurance de son valet. Dom Juan ne joue pas le jeu : il ne contredit pas Sganarelle. Il n’entre pas dans le débat. Son silence est moqueur. Il sait très bien que Sganarelle va se planter tout seul. On peut comparer cette scène à la scène 2 de l’acte 1 dans laquelle Dom Juan interrompait Sganarelle, ce qui renforçait l’assurance de ce dernier. Ici, puisqu’il s’agit de principes touchant

III. Le narrateur juge discrètement les personnages. ° ridiculise avec les clichés, quand ils parlent des sentiment ( hyperboles ) , mélange de conversations ridiculise celle d’Emma Léon , confrontation entre réel ( Homais ) et rêve ( Emma) . rire moqueur du narrateur renforce le pathétique. Conclusion: Cette conversation banale prend un tour galant et repose sur certains lieux communs romantiques ( forêt, montagnes ... ). Ces personnages «bovarysent» mais seront vite rattrapé par la réalité

trouvailles, Eyrolles, à paraître en 2010. Le Plaisir des Idées, avec la collaboration d’Anne Mikolajczak, Dunod, à paraître en 2010. Merci à Magdalena Darmas pour sa collaboration. En hommage à tous les humoristes SOMMAIRE Histoire de rire ................................................................................................. 11 27 49 Le choc de deux perceptions Une autre logique ........................................................ ......................