Le Rire Moqueur

que ton palais Récolteras-tu l‘or des voûtes azurées? II te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, Comme un enfant de chœur, jouer de l‘encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton rire trempé de pleurs qu‘on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire.  Le Mauvais Moine Les cloîtres anciens sur leurs grandes murailles Etalaient en tableaux la sainte Vérité, Dont l‘effet réchauffant les pieuses entrailles, Tempérait

que ton palais Récolteras-tu l'or des voûtes azurées? II te faut, pour gagner ton pain de chaque soir, Comme un enfant de choeur, jouer de l'encensoir, Chanter des Te Deum auxquels tu ne crois guère, Ou, saltimbanque à jeun, étaler tes appas Et ton rire trempé de pleurs qu'on ne voit pas, Pour faire épanouir la rate du vulgaire. IX. Le Mauvais Moine Les cloîtres anciens sur leurs grandes murailles Etalaient en tableaux la sainte Vérité, Dont l'effet réchauffant les pieuses entrailles, Tempérait

papiers avec les noms des animaux femelles dans un panier. Ensuite, faites tirer au sort les femmes dans le panier et les hommes dans le chapeau. Expliquez ensuite qu’au signal, chacun devra imiter l’animal sur son papier et retrouver sa partenaire ! Fou rire garanti entre les moutons, pigeons, vaches ou cochons ! Le Blind test : Faites deux équipes avec vos invités. Coupez la salle en 2, mélangez les générations, femmes vs hommes, tirage au sort ou encore désignez les plus jeunes comme capitaines d'équipe

violents lorsqu’il entendit un jour deux de ses valets parler de leur maître. Le premier serviteur exprimait sa pitié pour le sorcier qui, malgré toute sa richesse et tout son pouvoir, n’avait personne pour le chérir. Mais son compagnon eut un rire moqueur et lui demanda pourquoi un homme qui possédait autant d’or et un château semblable à un palais n’avait pas été capable d’attirer une épouse. Leurs paroles furent autant de coups terribles portés à l’orgueil du sorcier. Il résolut aussitôt de prendre

menaçant s'étendent sur moi, comme des nuages noirs, impénétrables aux joyeux rayons du soleil. Faut-il donc que je te dise ce qui m'arriva ? Il le faut, je le vois bien ; mais rien qu'en y songeant, j'entends autour de moi comme des ricanements moqueurs. Ah ! mon bien-aimé Lothaire ! comment te ferai-je comprendre un peu seulement que ce qui m'arriva, il y a peu de jours, est de nature à troubler ma vie d'une façon terrible. Si tu étais ici, tu pourrais voir par tes yeux; mais maintenant tu me tiens

violents lorsqu’il entendit un jour deux de ses valets parler de leur maître. Le premier serviteur exprimait sa pitié pour le sorcier qui, malgré toute sa richesse et tout son pouvoir, n’avait personne pour le chérir. Mais son compagnon eut un rire moqueur et lui demanda pourquoi un homme qui possédait autant d’or et un château semblable à un palais n’avait pas été capable d’attirer une épouse. Leurs paroles furent autant de coups terribles portés à l’orgueil du sorcier. Il résolut aussitôt

prévu > Petite tirade assez ridicule s’adresse à la reine. Trompé > colère > venger : les nombreuses exclamations insistent sur ces émotions de Don Salluste : froid avec la reine + + grince des dents > colère + mépris. Mais il va aussi rire : il se moque violemment d’elle car il l’a hait pour ce qu’elle lui a fait, il prend même de haut la reine, manque de respect, il prend plaisir à l’humilier > compris dans les nb didascalies.…Il va dévoilé les raisons de son plan, la source de sa

Pourquoi vous riez ? - Pour rien. Pourquoi on rit ? - On rit parce qu'on rit. Pourquoi ? - Arrête, tu me fais rire. - Non, c'est toi qui me fais rire. - Tu m'en redonnes une. - Moi aussi, j'en reveux ! - Vous en prenez trop. - On a la réserve mondiale ... - Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle. - Ah non! arrête, tu m'as tout recraché dessus. - Excuse-moi, elle me fait trop rire ... - J'en ai partout maintenant. Ça pue la bière. - Elle pue la bière. Ça pourrait être pire. T'en veux une

Les différents genres théâtraux : La tragédie : D’origine de l’Antiquité Grecque. Elle se passe dans un milieu de la noblesse. Les personnages n’échappent pas à leur destin = souvent la mort. La farce : Intrigue qui a pour but de vouloir faire rire. Le ressort comique repose sur les gestes (claque, fessée). La farce est un spectacle pour le peuple. Le langage est souvent familier voir vulgaire. La comédie : Intrigue plus compliquée que la farce. Dénonce certains travers psychologiques (avare->

avec la phrase « à ses doutes railleurs, je répondais trop bas » qui donne un extrait de leur discussion. Et je constate aussi que Marceline n'est pas subjective car je retrouve dans le poème des phrases comme « une grâce insolente », « il était moqueur » « plein d'orgueil ». Nous trouvons dans le rapport au monde un champ lexical des sentiments : « impatience », « léger comme l'oiseau qui siffle avant d'aimer », « par bien des pleurs », « joyeux », « en colère », « quand vous rirez », et bien