Le Rire Pour Quoi Faire

BOSSER Morgane De quoi rions-nous ? Notre société et ses comiques Olivier Mongin De quoi rions-nous ? est un ouvrage paru en 2006 écrit par Olivier Mongin. Celui-ci est un écrivain français d’influence gauchiste né en 1951 à Paris. Il est alors dans les années 1970 en contradiction avec le mouvement gauchiste de l’époque et s’inscrira dans une tendance plus antitotalitariste. Il se penche ainsi au travers de rencontres sur des problématiques urbaines, s’intéresse beaucoup à la politique et la

aussi lots of love. Il st utilisé comme MDR (mord de rire), ptdr (péter de rire) et autre. Ce mot surtout utilisé par les adolescent est souvent incompris par les adultes. Il est souvent utilisé en début ou fin de phrase dans un texto pour faire comprendre au récepteur que quelque chose est drôle. Très souvent les personnes utilisant lol ne rigole même pas avant de l'écrire, mais peux importe... Le smiley XD peux aussi signifier un fou rire, si vous pencher votre tête sur la gauche vous verrez

 Aujourd’hui on retrouve le rire partout, dans des livres, des films, des émissions radio ou télévisée mais aussi sur internet. Les gens aiment rire car cela leur permet de penser à d'autres choses que leur vie quotidienne. On peut rie de mais a quelle conditions ? : Tel est l’enjeu de ce corpus qui nous interroge sur le droit de rire de tout. Le premier document est un article issu du magazine Label France, écrit par Pierre Siankowski « Peut-on rire de tout? » parut en 2004, Le second document

Le rire, s'il produit des effets bénéfiques sur l'individu, n'est pas toujours sans porter atteinte aux autres. Le corpus nous rappelle qu'en effet le rire contre autrui a une place importante dans les relations sociales. Olivier Mongin, dans l'essai De quoi rire? rappelle que le rire est d'autant plus fort qu'il est collectif. Le groupe est donc son milieu naturel : la classe, dans le roman de Gustave Flaubert, ou encore les réunions de famille analysés par Régis Tomàs. Ces deux derniers cas montrent

Lecture du Rire d’Henri Bergson, chapitre III Lecture du Rire d’Henri Bergson, chapitre I.1, I.2 et chapitre III Notions du programme en jeu : la société, la liberté, la raison et le réel, la matière et l’esprit, la vérité, l’art, le langage, le vivant, le désir Chapitre I – Du comique en général. Le comique des formes et le comique des mouvements. I.a) §1 - Position du problème et enjeux . Qu’est-ce que le rire ? Un mouvement spontané et incontrôlé du corps manifestant une sorte de

"Le rire est le propre de l'homme d'après" Rabelais, le rire à une fonction sociale. Afin de nous aider à mieux comprendre ce qu’est le rire populaire. Nous possédons un corpus composé de quatre documents. Le premier document est un dialogue entre Irénée et Françoise, deux protagonistes du film Le Schpountz de Marcel Pagnol réalisé en 1938. Irénée rêve d’être une vedette du grand écran. Il est alors engagé pour jouer un rôle tragique qui se révèle être une farce. Irénée joue en fait le rôle d’un

oublier ses soucis est recherché par beaucoup et le rire semble être le moyen le plus efficace. C’est pour cette raison qu’il est devenu aujourd’hui une industrie en plein essor.Le film Bienvenue chez les Ch’tis de Dany Boon, sorti en 2008, est l’exemple le plus frappant de ces dernières années. Mais il n’y a pas que le cinéma : Nathalie Simon dans son article publié dans Le Figaro du 23 avril 2010 et intitulé « De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette », fait le tour du commerce du comique

Synthèse de documents Le rire est un comportement réflexe, exprimant généralement un sentiment de gaieté mais aussi des émotions fortes ou même parfois violentes. Le rire est essentiellement causé par l'humour, le chatouillement ou le rire lui-même. Paradoxalement, le rire est étroitement lié à son contraire émotionnel, les pleurs, avec qui il peut parfois se retrouver mélangé. Alors de quoi peut-on rire et pour quoi rit-on ? Nous verrons dans un premier temps que le rire permet à l’homme d’extérioriser

en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas. Sa face riait, sa pensée non. L'espèce de visage inouï que le hasard ou une industrie bizarrement spéciale lui avait façonné, riait tout seul. Gwynplaine ne s'en mêlait pas. Le dehors ne dépendait pas du dedans. Ce rire qu'il n'avait point mis sur son front, sur ses joues, sur ses sourcils, sur sa bouche, il ne pouvait l'en ôter. On lui avait à jamais appliqué le rire sur le visage. C'était un rire automatique, et d'autant plus

la nécessité d’une répartition égalitaire. Mais Kaufmann observe des différences selon les classes : chez les couples de couches les plus défavorisées de la société, on remarque une normativité plus forte, sans que Kaufmann explique précisément à quoi elle serait due. On peut émettre l’hypothèse que les couples de classes les plus aisées seraient plus sensibles à ce discours progressiste du fait de leur éducation, ou bien que ce même discours soit l’apanage des classes favorisés, dans la mesure