Passer un bon moment et oublier ses soucis est recherché par beaucoup et le rire semble être le moyen le plus efficace. C’est pour cette raison qu’il est devenu aujourd’hui une industrie en plein essor.Le film Bienvenue chez les Ch’tis de Dany Boon, sorti en 2008, est l’exemple le plus frappant de ces dernières années. Mais il n’y a pas que le cinéma : Nathalie Simon dans son article publié dans Le Figaro du 23 avril 2010 et intitulé « De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette », fait le tour du commerce du comique et analyse sa place dans notre société. Quant à l’essai d’Olivier Mongin, De quoi rions-nous ? Notre société et ses comiques, il tente de comprendre, en 2006, le succés de Jean-Marie Bigard. Enfin, Le Schpountz, une comédie de Marcel Pagnol datant de 1938, met en scène le personnage d’Irénée qui se désole de faire rire. Il aborde, par la même occasion, les clichés qui courent contre et le comique. On peut ainsi s’interroger sur la place du rire dans notre société. En effet, est-ce un véritable divertissement populaire ou simple commerce ?
Si le succPasser un bon moment et oublier ses soucis est recherché par beaucoup et le rire semble être le moyen le plus efficace. C’est pour cette raison qu’il est devenu aujourd’hui une industrie en plein essor.Le film Bienvenue chez les Ch’tis de Dany Boon, sorti en 2008, est l’exemple le plus frappant de ces dernières années. Mais il n’y a pas que le cinéma : Nathalie Simon dans son article publié dans Le Figaro du 23 avril 2010 et intitulé « De Gad Elmaleh à Florence Foresti, le rire fait recette », fait le tour du commerce du comique et analyse sa place dans notre société. Quant à l’essai d’Olivier Mongin, De quoi rions-nous ? Notre société et ses comiques, il tente de comprendre, en 2006, le succés de Jean-Marie Bigard. Enfin, Le Schpountz, une comédie de Marcel Pagnol datant de 1938, met en scène le personnage d’Irénée qui se désole de faire rire. Il aborde, par la même occasion, les clichés