Le Roi Lear Acte 3 Scène 4

UBU ROI Alfred Jarry © Hatier, 2002 ISBN 2-218 74130-X LIRE L’ŒUVRE QUESTIONNAIRE DE LECTURE LE TITRE 1. Le titre de la pièce est un écho au théâtre antique dont Œdipe roi de Sophocle constitue l’exemple scolaire canonique ; la première hypothèse de lecture serait alors celle d’une pièce qui s’inscrirait dans cette filiation et qui reprendrait ce modèle en vue de le détourner. Hypothèse évidemment infirmée dès les premiers mots de la pièce. Le nom « Ubu » ne renvoie pour sa part à aucune

d’opposition. Il est possible toutefois que la cérémonie ait été organisée en hâte : Anne était probablement déjà enceinte. Après son mariage, Shakespeare ne laisse que de rares traces dans les registres historiques, avant de réapparaître sur la scène artistique londonienne. La suite des années 1580 est connue comme l’époque des « années perdues » de la vie du dramaturge : nous n’avons aucune trace de l’écrivain pendant ce laps de temps et nous ne pouvons pas expliquer pourquoi il quitte Stratford

mélodrame, la féerie et le théâtre historique l’ont contestée depuis le début du siècle, et le public n’en fait plus un dogme depuis quelques décennies. À titre d’exemple, dans le Christophe Colomb de Népomucène Lemercier, créé en 1809, la scène se déplace, d’un acte à l’autre, de l’Europe en Amérique: ce sont les unités de lieu et de temps qui sont ainsi violées ensemble, et ce désordre esthétique entraîne aussitôt un désordre comportemental dans la salle: la bataille fait un mort, bilan bien plus grave

Marivaux Mise en scène David Géry Avec Philippe Fretun, Marie Matheron, Donatien Guillot, Julie-Anne Roth, Geoffrey Carey, Daniel Martin, Eléonore Joncquez-Simon, Pierre-Benoist Varoclier et Kevin Lelannier Production Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône • Création à l’Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône du 26 au 30 janvier 2010 • Scène nationale de Mâcon le 4 février 2010 • Théâtre de l’Ouest Parisien, Boulogne-Billancourt du 9 au 21 février 2010 • Scène nationale

la patte De Georges Feydeau Mis en scène par Isabelle Starkier Administration Star Théâtre / Cie Isabelle Starkier : Claudia Moroni 01 56 05 32 04 / 06 21 05 19 81 - star.theatre@wanadoo.fr Relations publiques : Loren De Landtsheer / startheatre.communication@gmail.com Découvrez nos spectacles en ligne sur : www.startheatre.fr Sommaire PRESENTATION DU SPECTACLE .......................................................................................... 3 PISTES PEDAGOGIQUES ..............

l’examen de : l’intérêt de l’action (page 3) l’intérêt littéraire (page 4) l’intérêt documentaire (page 6) l’intérêt psychologique (page 7) l’intérêt philosophique (page 9) la destinée de l’œuvre (page 10) une mise en scène (page 12) Bonne lecture ! Acte I À Séville, dans l’Espagne du Moyen Âge, Rodrigue, fils de

intemporelle, il s'attache à décrire les jeux du pouvoir et les passions humaines, mêlant joie et douleur avec « une poésie illimitée », selon les termes de Victor Hugo. Surtout connu pour ses tragédies: Roméo et Juliette (1595), Hamlet (1603), Le Roi Lear (1604) ou Macbeth (1606), Shakespeare déploie ses talents dans de nombreux registres comme la comédie (La Mégère apprivoisée (1594), Beaucoup de bruit pour rien (1600)) et le drame historique (Richard III (1592), Henri VI (1596), Henri V (1599))

Après 1945, il commence à traduire ses ouvrages antérieurs – et notamment Murphy – en français, et à écrire des poèmes et des nouvelles dans cette langue. En 1953, En Attendant Godot est représenté à Paris au Théâtre de Babylone, dans une mise en scène de Roger Blin. Cette pièce connaît immédiatement un immense succès et signale le début de la carrière théâtrale de Beckett. C’est également grâce à ses pièces que Beckett acquiert une réputation croissante qui conduit en 1969 à l’attribution du Prix

vous ne leur permettrez pas de flétrir cette indépendance qui est la plus importante des qualités qu'un lecteur puisse avoir[4]. Après tout, quelles lois peut-on formuler à propos des livres ? Il ne fait certes pas de doute que la bataille de Waterloo ait eu lieu tel jour, mais peut-on dire qu' Hamlet  soit une meilleure pièce que  Le Roi Lear ? Personne ne le peut. Chacun doit décider de la question pour soi-même. Faire entrer dans nos bibliothèques

personne n’éprouve ce sentiment, ni le personnage, être de papier, qui aurait du mal à éprouver quelque chose, ni le comédien, qui éprouve bien des émotions sur scène, mais justement pas celles qu’il montre, ni le spectateur qui éprouve aussi des émotions, mais, là non plus, ce ne sont pas les mêmes. Si l’on voit souffrir sur scène, personne ne souffre, ni le comédien qui fait son travail, ni le spectateur qui le reçoit. Quand Stani- slavski parle de mémoire affective, il ne parle pas d’autre