Le Roi Se Meurt Registre Tragique Et Comique

=> rencontre imprévu 3) Funeste : L’amour engendre ici le malheur. Hasard : « je me trouvai » passivité provoque malheur : « Hélas ; tous ses malheurs et les miens » -> amour, passion. Corruption ; perte de l’innocence annonce histoire tragique. Conclusion : Complexité du récit : superposition des moments, réalité ordinaire. Esthétique classique : analyse psychologique et morale. Conception pessimiste de l’amour. Prépare le lecteur à une histoire malheureuse suscitant la curiosité.

plainte - amour Le sujet est explicitement celui du romanesque : une lettre d'amour reçue dans des circonstances typiques (dentelle ensanglantée), nous sommes très éloignés des grandes questions morales et métaphysiques qui agitent les héros tragiques. C'est ainsi plus l'émotion qui domine tout ce monologue qu'un débat de conscience radical et violent (voir là encore le monologue de Phèdre). Intérêt général du texte : Les signes du monologue lyrique et l'appartenance du texte au genre du DRAME

montrer sur scène ce qui existe (meurtres, suicides, duels, etc. Le mélange des genres, la diversité : les romantiques prétendent qu’on peut écrire une pièce de théâtre en mélangeant les tons, refusant ainsi qu’il n’y ait que du tragique dans une tragédie, que du comique dans une comédie, etc. Séparer les genres, c'est isoler arbitrairement tel ou tel aspect, les unir, c'est exprimer l'homme tout entier. Le drame doit mêler le grotesque au sublime. [Remarque : au XVIIIe siècle, Diderot et Beaumarchais

3 Vie de Molière Jean-Baptiste Poquelin est né à Paris dans les premiers jours de janvier 1622 ; son père était tapissier valet de chambre du roi. Le jeune Poquelin fit ses études au collège de Clermont, prit ses licences de Droit à Orléans, et, pourvu de la survivance de la charge de son père, suivit à ce titre Louis XIII pendant le voyage que le roi fit à Narbonne en 1642. Mais c’est vers le théâtre que le jeune homme était attiré ; en dépit de l’opposition paternelle, il organise, avec les Béjart

Parcours de lecteur : Laurent Gaudé, La Mort du roi Tsongor, 2002 ......79 Vers le bac : « Le récit poétique » ........................................................................85 Vers le bac : « Le personnage de roman au cœur de l’Histoire » .........................88 Chapitre 2 Le texte théâtral et sa représentation, du XVIIe siècle à nos jours .....................................................91 Séquence 6 Mettre en scène la variété du comique ........................................

cours) Séance 3 : Les Obsèques de la Lionne Fables de la Fontaine N.B : Le premier recueil est dédié a monseigneur le Dauphin, fils de Louis XIV. Le deuxième (1668-1694) est une dédicace à Madame de Montespan (la maitresse en titre du roi). Elle est mariée au marquis de Montespan, qui toute sa vie, refusera cette situation de cocu royale. Il va ajouter à ses armes deux énormes Cornes de Cerf qui exhibent aux yeux de tous, sa qualité de cornard. Jean de la Fontaine (1621-1695) commence

d’un héros historique ou légendaire. Ex 1 : L’épopée de Gilgamesh : Vient de Mésopotamie. Roi dur, méchant et dictateur. Le peuple appelle à l’aide une déesse qui va créer un double inversé du roi Gilgamesh. Les personnages se rencontrent lors d’un duel. Aucun ne parvient à vaincre l’autre car ils se complètent, forment un tout. L’aide de la déesse fonctionne car ils s’allient mais par la suite le double meurt. Gilgamesh est devenu plus juste, influencé par son double et va chercher une plante d’immortalité

les esprits et on cherchait à l'apprivoiser. L'origine de l'œuvre est liée au scandale provoqué par l'ambassadeur turc Soliman Aga qui, lors de sa visite à la cour de Louis XIV en 1669, avait affirmé la supériorité de la cour ottomane sur celle du Roi-soleil. À la création, Molière jouait le rôle de Monsieur Jourdain, habillé de couleurs vives, paré de dentelles d'argent et de plumes multicolores ; André Hubert travesti jouait celui de Madame Jourdain ; Mademoiselle de Brie était Dorimène ; Armande

tapissiers depuis plusieurs générations, fonds baptisé un fils prénommé Jean-Baptiste. Dix ans plus tard, sa mère meurt, laissant cinq enfants, son père se remarie. De 1636 à 1640, le jeune garçon complète les rudiments d’instruction qu’il a reçus en famille au collège de Clemont.son père, qui espère que jean baptiste lui succédera dans la charge de tapissier et valet ordinaire du roi, lui fait prêter serment à cet effet à l’âge de 15 ans. Toutefois, le jeune homme part étudier le droit à Orléans

Cyrus, L’astrée) : se subdivise en 2 catégories = roman héroïque (Roman qui se fait une épopée en prose, épopée mais glissement de la thématique guerrière à la thématique amoureuse. Mêmes exigence que l’épopée : longueur, héroïsme…), roman comique (Le Roman comique, de Scarron : histoire d’une troupe de comédien = roman qui parle du théâtre, pas livre de farces. C’est une parodie du roman héroïque, personnages modestes, qui subite le rire, il est aussi long, foisonnant, beaucoup de personnages, péripéties