Le Roman Fictionnel

2008 avec son nouveau roman Chama. Le ‘‘réel’’ envahit ces nouvelles modalités sans enlever à l’œuvre son statut littéraire. Et c’est dans ce cadre d’une modernité romanesque que Siham Benchekroun dépeint avec subtilité et finesse l’une des caractéristiques de l’écriture féminine au Maroc. Celle de la question du rapport réalité/écriture et éthique/esthétique. Ce désir de répondre à un horizon d’attente préétabli, nous a conduit à nous interroger sur l’originalité de ce roman au féminin et sa place

Il le fait entrer à L'Écho des savanes Genre : Ce livre est un roman, extraordinaire, fictionnelle, fantastique ou encore sentimental . Citation : " Vous avez raté votre vie ? Avec nous, vous réussirez votre mort ! " Partie Argumentative : J'ai bien aimé ce livre de par son titre que j'ai trouvé accrocheur et pas commun qui donne envie de lire le livre, on peut ainsi penser que c'est un récit fantastique et fictionnel et non réel. Les arguments qui font que j'ai apprécier le livre

peut tour à tout être avocat, celui qui défend, procureur, celui qui accuse et juge, celui qui décide. L'auteur peut choisir de faire rire, ou pleurer selon le parti qu'il voudra que les lecteurs adoptent. C'est ce que met en scène BLC dans son roman où elle évoque dans chaque chapitre un point de vue : L'un nous fait pleurer de part la présentation du personnage, l'autre nous fait rire de par son caractère. Les lecteurs ont la possibilité de s'identifier a des personnes tous très différents les

quotidiens, de sa routine par l’intermédiaire d’un roman? En effet, tout roman constitue en quelque sorte un exutoire dans lequel toute personne se réfugie volontairement et se laisse donc border par l’histoire racontée. A travers la citation de Julien Green, « un livre est une fenêtre par laquelle on s’échappe », nous pouvons en déduire que ce livre nous plonge dans un monde étroitement similaire, selon le degré de fiction. Néanmoins, chacun de ces romans nous mènent dans une histoire, un contexte différent

l’incompréhension ou l’ennui. Premièrement, ce livre est un récit narratif fantastique. C’est donc également un récit fictionnel. Mais contrairement au récit fantastique habituel, l’histoire ne tourne pas que autour d’un sujet surréaliste. Certes il y a des élément invraisemblable comme un fantôme, mais le sujet en lui-même n’est pas basé sur du surréalisme. Le récit est baptisé fictionnel car Saad Saad est un personnage fictif. Il n’a jamais existé. Les récit narratif sont en générale apprécié par tous

langue, ses particularités, ses difficultés et les erreurs qu'elles impliquent, sont par excellence propices à solliciter l'imagination et le talent d'écrivain du traducteur. Voyons quelques exemples extraits de la traduction par Céline Zins2 du roman de Carlos Fuentes Cristóbal Nonato :3 – Pero está tan solito. Nueve meses solo ¿Con quién se entenderá? – Con sus mercedes benz. (p. 20) 1 Bastin, G. L., « La notion d'adaptation en traduction », in Meta, XXXVIII, 3, 1993, pp. 473- 478. 2 Fuentes

fiction il n’y a pas de littérature. Aussi, les romans qui pourraient paraître les plus «fictionnels» s’il se coupe du lien avec la réalité parce que, quoi qu’on fasse, c’est d’elle que les mots rendent compte. Une partie importante de la poésie repose sur cette impossibilité: faisant parfois semblant de ne rien dire, elle dit quand même et ce qu’elle dit est alors un rapport autre, particulier, au monde. Dans quel mesure la littérature fictionnelle nous aide t elle à vivre ? La fiction permettait

I.2 / Variations narrativesCorpus : récits fictionnels modifiant dans l’ incipit la structure prototypique du récit fictionnel : pronoms représentants + passé simple tiroir temporel passé d’aspect global. * Passé composé (accompli du présent) se substituant au passé simple d’aspect global : altération de la continuité narrative (Camus, La Peste ). Notions complémentaires  : repérage déictique

ces deux lectures sont régulièrement assimilées par la tradition critique à d’autres lectures, et cette habitude fausse la compréhension du phénomène. La lecture sans les yeux du théâtre, que nous appel- lerons lecture fictionnelle, est comprise comme une « lecture comme un roman », tandis que la lecture avec les yeux du théâtre, que nous appellerons lecture scénique, est comprise comme une mise en scène mentale. Notre premier objet sera donc de cerner la singularité de la lecture du théâtre en

verrons qu’il permet une mise à distance critique de la société. Pour commencer, certes, le roman a pour cadre un univers fictionnel car, on y trouve une fiction gigantesque pour des personnages gigantesques.Le personnage principal de ce roman, Gargantua est un géant tout comme le reste de sa famille. On retrouve ce coté gigantesque dans les personnages mais aussi dans des scènes précises du roman. Dès le tout début du livre, au chapitre quatre, avant même la naissance de Gargantua , lorsque