Le Roman Le Parfum

Analyse d’un roman en cinq parties Vous choisissez vous-même après quelle page vous allez écrire. N’oubliez pas de noter les pages de chaque contribution. Écrivez un maximum de 200 mots pour chaque partie. Nous discuterons sur les parties de l’analyse pendant les cours si vous avez plus de choses à dire. 1. Descriptions Parlez des descriptions dans l'ouvrage: Comment l'environnement est dépeint ? Vêtements, bijoux, cheveux, parfum, vue magnifique et spectaculaire, le temps, si un tissu est doux ou

des jours plus tristes que les autres. Roman (1870) Arthur RIMBAUD I On n’est pas sérieux, quand on a dix-sept ans.— Un beau soir, foin des bocks et de la limonade,Des cafés tapageurs aux lustres éclatants !— On va sous les tilleuls verts de la promenade.Les tilleuls sentent bon dans les bons soirs de juin !L’air est parfois si doux, qu’on ferme la paupière ;Le vent chargé de bruits, — la ville n’est pas loin, —A des parfums de vigne et des parfums de bière… II — Voilà qu’on aperçoit un

héros subversif du XVIIIème siècle. Jaques semble être le héros principal de ce roman car son nom est l’éponyme du titre et il se trouve devant son maitre. Il est très bavard et il sait manier le langage, grâce à sa ruse il arrive à soutiré des informations à son maitre qui au fil de l’histoire commence à perdre son rang de maitre car un paysan (Jaques veut dire paysans) devrait écouter son maitre alors que dans ce roman les rôles sont inversés. Les talents du héros augmente de plus en plus et le maitre

Septième ciel, mais c'est en 1956 que commence vraiment sa carrière littéraire, avec son tout premier roman Les Faux Frères, qui d'ailleurs remporte un grand prix de l'humour. En 1952, il épousa Benoîte Groult (romancière), et ils ont eu une fille appelé Constance. En 1957, il écrit un roman qui s'intitule Rue D’Arve, qui a été aussi récompensé par le prix Interallié. En 1960, il écrit un roman avec Antoine Blondin une comédie, Le garçon d'honneur. Il a continuait à publié plein de livres comme

son premier roman, La double vie de Théophraste Longuet. Sans nul doute, Leroux reste l'homme du roman policier du XIXème siècle. On lui doit d'être le créateur des célèbres héros: Rouletabille et Chéri-bibi. Son personnage, le reporter-détective Joseph Joséphine, dit Rouletabille doit par certains aspects lui ressemblait un peu. Rouletabille faît sa première apparition dans l'oeuvre policière de Gaston Leroux en 1908 dans le fameux Mystère de la chambre jaune, suivi en 1909 du Parfum de la dame

Le roman se caractérise tout d’abord par une narration fictionnelle, l’imaginaire y a une place importante puisque les situations des personnages sont souvent extraordinaires. Le roman se destine au lecteur et donc à une lecture personnelle, ainsi le roman ne vit qu’à travers la curiosité du lecteur pour les personnages et les évènements qui traversent le récit. Ainsi la réflexion de Stendhal dans La vie de Henri Brulard : « Un roman est un archet. La caisse du violon qui rend les sons c’est l’âme

constante dans l'inspiration et une source de renouvellement poétique ? Lectures analytiques 1.Louise Labé, « Je vis je meurs », in Sonnets 2. Victor Hugo « Vieille chanson du jeune temps» in Les Contemplations (1856) 3. Arthur Rimbaud, « Roman » in Poésies 4. Guillaume Apollinaire, « Le pont Mirabeau » in Alcools Textes et activités complémentaires Les fonctions de la poésie : expression des sentiments Jacques Prévert, « Sables mouvant », Paul Verlaine, « Chanson d'automne » ; la poésie

un succès incontesté, beaucoup de romans seront adaptés au cinéma dans les mois qui viennent. Le roman d'Anna Gavalda, "Ensemble, c'est tout" sera adapté par Claude Berry ; Charlotte Gainsbourg et Jean-Paul Rouve en seront les interprètes principaux. Jan Kounen adapte le roman de Frédéric Beigbeder, "14,99 euros", l'écrivain assurera lui-même la voix off. Après Le Mystère de la chambre jaune, Bruno Podalydès continue d'adapter l'œuvre de Gaston Leroux : Le Parfum de la Dame en noir sort en septembre

douceur des idiots ! Et si, l’ayant surpris à des pitiés immondes, Sa mère s’effrayait ; les tendresses, profondes, De l’enfant se jetaient sur cet étonnement. 30 C’était bon. Elle avait le bleu regard, — qui ment ! À sept ans, il faisait des romans, sur la vie Du grand désert, où luit la Liberté ravie, Forêts, soleils, rives, savanes ! — Il s’aidait De journaux illustrés où, rouge, il regardait 35 Des Espagnoles rire et des Italiennes. Quand venait, l’œil brun, folle, en robes d’indiennes

l'élévation et l'angoisse au Spleen, les 2 valeurs de Baudelaire. De plus, le dernier est une sorte d'enterrement macabre qui pourrait être le sien. En effet, son concept des synesthésies : " Les parfums, les couleurs et les sons se répondent "est ici totalement mis à l'écart. Ce macabre enterrement est sans parfums, sans couleur de par le côté sombre, et sans " tambours ni musique ". Seuls subsistent les bruits de " cloches en furie ", mais qui connotent le moment apocalyptique. Le poète est donc ici