Le Roman Peut Il Intéresser Son Lecteur

critique: a. Résumé : Il n’est pas aisé de résumer les liaisons dangereuses, un roman épistolaire, de façon linéaire. Car en effet la « platitude » d’un résumé linéaire, ne permet pas, de comprendre, l’intelligence des lettres ou mettre en valeur la diversité des styles et du tempérament de chaque épistolier. Les liaisons dangereuses se divisent donc en quatre grandes parties disctinctes. Le roman s’ouvre sur une lettre de la jeune Cécile de Volanges, qui sort tout juste du couvent pour

naissant est contrarié par des obstacles insurmontables ; les deux amants doivent se séparer ; ils se retrouvent enfin, et leur union donne au roman une heureuse conclusion, trois récits venant, à la fin, renseigner, éclairer, redonner foi : celui du brigand, celui du pêcheur, celui d’Astarté. Les divers médaillons sont ainsi réunis en un solide collier. On peut voir en Zadig un nouvel Ulysse qui, cherchant le bonheur, finit par le trouver après de multiples et dures épreuves, retrouve sa Pénélope.

général des succès de par la satisfaction chez le lecteur d’un besoin d’authenticité et son goût du secret. Toutefois, l’autobiographie présente une particularité. Constatant que « la particularité de l’autobiographie est qu’elle affiche plus que d’autres genres son contrat de lecture », Philippe Lejeune, théoricien de la littérature et spécialiste de ce genre, annonce que « pour qu'il y ait une autobiographie, il faut que l'auteur passe avec ses lecteurs un pacte, un contrat, qu'il leur raconte sa vie

Gustave Flaubert était un romancier réaliste français du 19 siècle. En 1857 il publie un roman éponyme Madame bovary, après 7 ans et un procès car son ouvrage ne correspondait pas aux bonnes mœurs de l’époque. Son roman est devenu un véritable succès lui permettant de se hisser au rang de classique de la littérature française. L’œuvre nous raconte l'histoire d’Emma qui souhaite vivre sa vie comme dans un roman, elle est mariée à un homme médecin avec lequel elle s'ennuie. Pour échapper à son quotidien

Peut-on dire que le comte est l'apologue sont le meilleur moyen de montrer la vérité ? Certain écrivain étaient très impliquer des affaires marquante de leur époque. Et même qu'ils y participaient intimement, n’est-il pas étonnant que ces témoins mettent leurs arts au service d’une cause politique ,ou d'un courant de pensé. Il est légitime de se demander ,si le comte et l'apologue sont les meilleurs moyen d'exprimer la vérité. Il est vrais que le comte et l'apologue sont les meilleur

Introduction : Nous sommes dans la première partie, au chapitre IV. Le héros n'a toujours pas été présenté, à la différence de M.de Rénal, l'abbé Chélan ou bien le père Sorel. Le lecteur sait seulement que Sorel était fort mécontent de son fils. Le texte nous présente Julien dans la scierie de son père, on le découvre en train de lire sur une poutre. Comment l'auteur présente-t-il Julien et quelles sont les relations de Julien et son père? I) Organisation du texte Dans ce chapitre IV, M. De Rénal

Pierre Ménard, auteur du Quichotte, qui est au même temps un exercice de critique littéraire où l’auteur invite au a réfléchir et faire son propre commentaire textuel. En plus, il faut dire que le Quichotte est une œuvre universel qui a toujours intéresse au Borges, car il a commencé à lire et à s’inspirer au Quichotte depuis l’âge de six ans. 3. L’AUTEUR Buenos Aires, le 24 août 1899 - Genève le 14 juin 1986. Jorge Louis Borges a été un des écrivains plus remarquables de la littérature du XXème

Sujet sur le roman anti-utopique, à partir d'un propos du critique Irving Howe. Le roman anti-utopique se développe en opposition à l'utopie. Il se veut parfait mais se révèle néfaste pour les individus qui le subissent. Loin d'être une prophétie, il critique sa société actuelle, en exagérant certains de ces traits. L'anti-utopie cherche à mettre en garde le lecteur contre le pouvoir totalitarisme. Il s'appuie sur la fiction pour exprimer ses craintes. Cependant, la société ayant pour but d'effacer

extrait de la première partie chapitre 1 - Zola I. Un personnage anonyme : Le personnage : " L’homme " (x 4), l. 2, 13, 30, 48. " il " (plusieurs fois). Le personnage est évoqué par des sujets qui ne fournissent presque aucune information. Le lecteur se déplace dans le paysage avec le personnage. Identité : Il est une victime et il est démuni : - " seul " (l.3). - " coton aminci " (l.14, 15), il est pauvre (ses habits). - " faisaient saigner " (l. 20), il souffre (ses mains). - " ouvrier

en première ligne dans une violence aveugle ont transformé ses sentiments antimilitaristes dans une véritable « religion séculière », une idéologie sur laquelle nous allons nous focusser dans les pages suivantes. Excellement présentée dans les deux romans qui font le sujet de cette exploration, la philosophie barbusienne apparaissait, en 1916 à l’opposé de ce qui était attendu de la part d’un soldat français à l’époque. En somme, les principes de l’écrivain étaient basés sur le socialisme, le pacifisme