Le Romantisme Madame De Staël

de Genève, Rousseau-adolescent rencontre des hommes bons sur son chemin. Il y a les paysans de sa connaissance qui le « reçurent avec plus de bonté que n’auraient fait les urbains », il y a aussi le curé de Confignon, « bon homme ». Il y a surtout Madame de Warens dont la beauté et la bonté sont indéniables aux yeux de Rousseau. Plus tard, il fait la rencontre de l’abbé Gaime, l’original du Vicaire savoyard. De cet abbé, Rousseau nous apprend qu’« il était jeune encore, et peu répandu, mais plein

l’Académie des sciences de Paris. Voltaire, qui avait déjà parlé du savant britannique dans ses Lettres philosophiques, participe à la diffusion de ses idées en publiant Élémens de la Philosophie de Neuton (1738), fruit d’un travail en commun avec Madame Du Châtelet, authentique savante passionnée de physique : elle a installé un cabinet de physique dans son château de Cirey, où se retrouvent les partisans de Newton, Maupertuis, Clairaut, Bernouilli. Elle traduira les Principes mathématiques de la

du raisonnement dans un esprit de parfaite liberté. Elle est en prise sur l’actualité, comme en témoignent les gazettes, non seulement de France, mais encore de Hollande et d’Angleterre – échappant, elles, à la censure royale. Doc. 2 : Le salon de Madame Geoffrin Au XVIIIe s., la cour n’est plus le seul lieu où se forge l’opi© Hachette Livre – Histoire Seconde – La photocopie non autorisée est un délit. Ce texte du Grand Orient de France, l’une des principales organisations maçonniques du XVIIIe

entière du même côté. » © Éditions d’Organisation Le management et le théâtre Mme Sirelli : Selon vous donc on ne pourra jamais savoir la vérité ? Mme Cini : Si on ne peut même plus croire à ce qu’on voit et à ce qu’on touche ! Laudisi : Mais si, madame, croyez-y ! Seulement, je vous dis ceci : respectez ce que voient et ce que touchent les autres, même si c’est le contraire de ce que vous, vous voyez et touchez. (...) pour moi la réalité, elle (est) dans l’âme de ces gens où je ne peux pénétrer

entière du même côté. » Le management et le théâtre © Éditions d’Organisation Mme Sirelli : Selon vous donc on ne pourra jamais savoir la vérité ? Mme Cini : Si on ne peut même plus croire à ce qu’on voit et à ce qu’on touche ! Laudisi : Mais si, madame, croyez-y ! Seulement, je vous dis ceci : respectez ce que voient et ce que touchent les autres, même si c’est le contraire de ce que vous, vous voyez et touchez. (...) pour moi la réalité, elle (est) dans l’âme de ces gens où je ne peux pénétrer

entière du même côté. » Le management et le théâtre © Éditions d’Organisation Mme Sirelli : Selon vous donc on ne pourra jamais savoir la vérité ? Mme Cini : Si on ne peut même plus croire à ce qu’on voit et à ce qu’on touche ! Laudisi : Mais si, madame, croyez-y ! Seulement, je vous dis ceci : respectez ce que voient et ce que touchent les autres, même si c’est le contraire de ce que vous, vous voyez et touchez. (...) pour moi la réalité, elle (est) dans l’âme de ces gens où je ne peux pénétrer

est conforme à la justice, dans une circonstance particulière, sans passer par le droit, ses règles et ses raisonnements. Un auteur a écrit : « L’équité est la conception subjective que chacun a du droit et de la justice … elle est tout à fait le romantisme judiciaire, c’est le gouvernement des juges » ( Bonnecase ). Mais alors, l’équité peut être le nom de l’arbitraire. Sous l’Ancien régime, un adage général, critique envers les juges, disait : « Dieu nous protège de l’équité des parlements ». Et