Le Romantisme N Est Que Le Lyrisme Personnel

Introduction : Baudelaire, poète de la modernité, publie son grand recueil Les Fleurs du mal en 1857. Il expérimente en passant du romantisme, au mouvement parnassien, puis en insufflant le symbolisme. De même, il remet au goût du jour la forme oubliée du sonnet, et popularise le poème en prose (Spleen de Paris, 1869). Il mène une vie de tourments et de difficultés dont l’angoisse se retrouve dans son concept central du Spleen (humeur dépressive). (accroche avec informations sur l’auteur). D’ailleurs

d’inspiration peuvent se révéler créatrices. La poésie est un moyen pour le poète d'extérioriser ses sentiments, notamment par le biais du registre lyrique. Elle lui permet d'exprimer l'authenticité de ses émotions, de sa sensibilité, de son intimité. Le lyrisme est ainsi une tonalité majeure de la poésie, et se retrouve partout, du Moyen Age où les troubadours chantaient l'amour, jusqu'au XXème siècle. En effet, la poésie est souvent reliée à des sentiments mélancoliques, de désespoir ou encore de souffrance

est liée aux mythes : - d’ORPHEE : il chantait et jouait si bien de la lyre que nul ne pouvait lui résister. Mais la perte de son épouse Eurydice le voua à exprimer sa peine et sa solitude.  émouvoir, séduire, confesser, exprimer ses sentiments personnels - d’APOLLON : intermédiaire entre les dieux et les hommes, il les aide à lire dans le réel la volonté divine  révéler les secrets du monde, inciter à la méditation - de DIONYSOS : Dieu du vin et de l’ivresse qui suscitait les excès des Bacchantes

standardisation du français plutôt que du latin et a ainsi sa place dans l’illustration de la langue française dans la renaissance littéraire. Poème : -Pierre de Ronsard «  Mignonne, allons voir si la rose » page 450 Ici l’auteur exprime un lyrisme évident où il magnifie la femme aimée comme un être divin. -Joachim du Bellay «  Heureux qui, comme Ulysse » page 448 Ici l’auteur exprime une critique de la ville de Rome et exprime la nostalgie de son pays natal, tout en utilisant des termes

verrons alors la place de la forme dans un poème, puis nous étudierons ce que nous trouvons autour du poème, c’est dire les sentiments inspirés, l’Imaginaire, le combat mené par le poète etc. Enfin, nous nous attacherons à donner une définition personnelle de la poésie. Les premiers éléments constituant la forme d’un poème sont sa construction, et les règles qui l’entourent. Ainsi, suivre des règles déjà définies n’est plus ressenti comme une contrainte par le poète. Nous pouvons par exemple

roman historique, social et philosophique. L'auteur accorde une grande importance à ce roman. - William Shakespeare (1864, essai) : Au départ il s'agissait juste d'une biographie de Shakespeare mais elle s'est transformée en un manifeste pour le romantisme de plusieurs centaines de pages. - Les travailleurs de la mer (1866, roman) : Ecrit à Hauteville House durant l'exil du poète dans l'île anglo-normande de Guernesey - L’homme qui rit (1869, roman) : Roman philosophique dont l’action se déroule

est éphémère, n’a pas de règles. * Importance de l’illusion, la métamorphose * Le monde est parfois représenté comme un désordre, importance du chaos * Goût pour le bizarre | * Imitation des Anciens, sans renoncer à faire des œuvres personnelles * Goût de l’analyse * L’écrivain =moraliste, but : atteindre un Homme éternel, un Beau idéal, une vérité universelle * Désir de plaire, d’instruire tout en distrayant | * Dvpl connaissances, vulgarisation de la pensée * Foi dans le

ses métaphores, ses jeux de miroir, la description des métamorphoses de la nature et des sentiments humains, la fuite du temps et les aléas de la destinée on retiendra les noms de Saint Amant, Marbeuf et Voiture La poésie évolue ensuite car le lyrisme qui lui était propre jusqu’alors se développe amplement dans les tirades de la tragédie (Corneille et Racine) et parce qu’elle doit aussi instruire et plaire (la Fontaine ou Boileau). La poésie devient entièrement didactique au siècle des Lumières

Utilisation du « Ô » lyrique (apostrophe)/exclamatif sert ici à personnifier le lac. L’auteur s’adresse à lui. → Le cadre spatial : Le « lac » semble s’opposer ici à l’« océan ». Il ramène le lecteur à la réalité, au lac du Bourget, aux souvenirs personnels du poète. Le cadre temporel est également plus précis, « l’année », permettant de situer l’écart entre le présent et ses souvenirs. → Adjectif mélioratif « chéris » : notion affective de l’eau Le lac est un lieu associé à un souvenir heureux,

celles du malheur : Le noir « noir de barbe » évoqué aussi avec l'image de la nuit « nuits hirsutes », le rouge sanglant « l'affiche qui semblait comme une tache de sang » Un sentiment de tristesse et de désolation est présent dans le poème. Un lyrisme qui s'établit tout d'abord entre le résistant et l'ensemble des hommes comme le suggère « a tous » et « à ceux » Puis il adresse un adieu a la vie, à la nature. On y retrouve aussi la tristesse et la douleur, à l'idée de quitter la vie « que le cœur