Le Réel Paul éluard

triptyque  La base montre des formes horizontales,  La partie haute présente des formes verticales  Le centre mis en lumière et plus clair.  Le tableau se lit de droite à gauche 4-Les formes  Cette œuvre est figurative • Picasso déforme le « réel » • Il allonge et déforme les corps . • Il agrandie certaines parties des corps Renforcement de l’idée de la souffrance des corps  C’est le principe du cubisme V- DESCRIPTION DES FIGURINES  C’est une toile de vingt sept mètres carrés.  Différents

Dissertation : Quelles sont les relations entre la poésie et le monde réel Lorsque nous songeons à la poésie, nous visualisons un monde différent du notre : Sans lois, sans interdits ou obligations, mais plutôt un monde onirique, libre, et qui, grâce aux sonorités, aux rythmes ou encore aux vers, procure de l’émotion. En apparence, ces deux univers semblent donc être opposés l’un l’autre. Mais au fond, ne sont-ils pas en relation ? N’ont-ils pas des liens qui les unissent ? Nous allons essayer de

le Teatre-Museu Gala Salvador Dalí. Cadaqués, une région qui aura une influence majeure sur son inspiration picturale tout au long de sa vie. L'intérêt du jeune Dalí pour la peinture commence très tôt, les premières peintures conservées montrent un réel talent, dès l'âge de 6 ans. L’enfance de Dali s’est déroulée au bel âge du cinéma muet. Artiste peintre à la célébrité sonnante et trébuchante. Dali, amoureux du cinéma, a travaillé aussi à Hollywood, inspiré par le cinéma américain. Dali était fasciné

en 1919 , recueil écrit par Breton et Soupault expérimentant le surréalisme en poésie - à savoir un « automatisme psychique pur par lequel on se propose d’exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou moral ». Cette nouvelle conception de la poésie offre ainsi de nouvelles voies à la création poétique, en s’affranchissant de toutes

décompose. Ceci fait référence à la guerre d'Espagne divisée en deux camps espagnol qui s'affrontent. On voit aussi que l'Espagne n'est soutenue que par un meuble et que son équilibre est fragile. Ce meuble est aussi le seul objet ayant une définition réelle contrairement aux autres formes qui émanent de l'imagination et du rêve. On peut aussi voir que l'Espagne utilise sa force: elle a du mal à vaincre ce bras qui est en plein effort alors qu'à l'opposé on observe un pied qui écrase. Comme dans tous

sourcil, Maurice SCÈVE, (1536) XVII ème siècle L'anatomie de l’œil , Pierre de MARBEUF (1625) XIX ème siècle Un Hémisphère dans une chevelure , Charles BAUDELAIRE, Le Spleen de Paris (1869) XX ème siècle La courbe de tes yeux... ,Paul ELUARD , extrait de Capitale de la douleur (1926) L'union libre , André BRETON ,  extrait de Clair de terre (1931) LE BLASON , Georges BRASSENS (1960-62) PREFACE Cette anthologie poétique intitulée «Une évocation poétique

clé qui existe pour comprendre et aimer la poésie c’est: la poésie elle-même. Parce que, comme le dit Gaston Bachelard : «le poète est celui qui a le pouvoir de déclencher le réveil de l’émotion poétique dans l’âme du lecteur». Le grand poète, Paul Eluard,  affirmait lui : «que le poète est plus celui qui inspire que celui qui est inspiré». Donc la vraie poésie est la seule qui parvient à éveiller de l’intérêt chez le lecteur. La vraie poésie s’adresse directement, sans passer par  l’intellect, au

les valeurs reçues. En 1924, André Breton le définit dans le premier Manifeste du Surréalismecomme un « automatisme psychique pur, par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale [...] ». Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations

http://www.poetica.fr/poeme-1181/francois-coppee-decembre/ http://www.poetica.fr/poeme-794/guillaume-apollinaire-le-pont-mirabeau/ http://www.poetica.fr/poeme-684/charles-baudelaire-horloge/ http://surrealisme.skynetblogs.be/archive/2009/02/08/paul-eluard-anniversaire.html http://www.parolesmania.com/paroles_danakil_54809/paroles_les_pages_se_tournent_1163605.html http://claude-monet.org/artbase/Monet/1865-1865/w0062/apc.jpg http://www.webgate-be.net/puzzles/img/la_persistance_de_la_memoire.jpg

l'agrégation » ou « l'amplification » comme pistes d'études. Le recueil Les Mains libres renverse les relations traditionnelles entre texte et image, en mentionnant dès la première page de l'œuvre : « dessins de Man Ray illustrés par les poèmes de Paul Éluard ». Les deux créateurs ont en effet inventé une collaboration, dans laquelle les dessins ont précédé l'écriture poétique. Derrière cette relation d'« illustration » assumée par le poète, la composition à quatre mains révèle toutefois un système organique